Si tu n’as plus de pain à manger, mange de la brioche…

je-suis-une-mer-d-e

Aide-toi toi-même, les associations feront le reste…

Papalacaz est un homme (eh oui, il en existe encore quelques-uns, désolé…) de 45 ans, d’apparente bonne santé, éduqué (si si !), cultivé, curieux, amoureux de sa planète et des êtres qui la peuple, en gros, je suis juste un poil presque pareil que tous le monde tout en étant différent quand même, parce que je suis humain et que tous les humains se ressemblent entre autres choses grâce à leurs différences…

Depuis quelques mois (années…), je subis un harcèlement absolument pathétique de la part d’une personne que j’ai aimé plus de 23 ans et qui aujourd’hui me fait payer des crimes inexistants que j’aurais commis contre elle toutes ses années. Quand on connaît aussi bien une personne pour avoir partagé sa vie plus de 20 ans, il ne faut pas plus de quelques mots ou de quelques actions pour reconnaître l’influence de « l’autre ».

Cet autre qui ira jusqu’à l’agression physique à mon encontre (j’ai déjà raconté cette histoire dans un autre billet)…

Financièrement, j’ai été ruiné le lendemain de son départ (abandon du domicile conjugal et des enfants avant de réaliser l’impact de son acte trois semaines plus tard, quand même, merde !), chômeur, handicapé, ce n’est pas ce que l’on fait de mieux pour rebondir dans la vie et tout recommencer.

Par la suite, elle ne se confortera pas à ses obligations pourtant écrites noir sur blanc dans l’Ordonnance de Non-Conciliation et c’est encore moi qui vais de voir payer les frais bancaires provoqués par ses oublis…

Elle viendra chez moi en mon absence, et ce en présence de mes enfants pourtant en garde alternée chez moi ce jour-là. Elle leur dira simplement, qu’elle est chez elle, que cette maison est encore à elle, bla-bla…

J’ai fait lire l’ONC à mes enfants, ils ont été véritablement choqués par l’énormité du mensonge de leur mère…

Mauvais père…

Un enfant malade, elle me refusera le carnet de santé…

Quelques mois plus tard, elle ira jusqu’à m’accuser d’être un mauvais père parce que je refuse de m’occuper du vaccin de l’autre de mes fils…

Entre temps, elle à bien pensé à me virer de la MGEN…

Elle, prof majorée avec quelques échelons, vire son mari chômeur de sa mutuelle et l’accuse ensuite d’être un mauvais père qui ne s’acquitte pas de ses obligations de santé envers ses enfants…

Elle refuse encore aujourd’hui de me fournir une copie de sa carte de mutuelle pour que je puisse m’occuper des enfants quand ils sont chez moi, mais c’est moi le mauvais père qui ne veux pas soigner ses enfants.

Pratiquement deux ans plus tard, aucunes des exactions commises par mon ex ne lui ont été reprochés, aucunes (elles se comptent pourtant par dizaines), et son petit ami à vu ma plainte classée (là aussi, vous trouverez l’histoire dans un autre billet).

Pendant ce temps, ma situation se dégrade encore et encore, les frais s’accumulent, les découverts se pointent, le réfrigérateur se vide, le moral baisse, la motivation disparaît, remplacée petit à petit par de la haine envers ce système totalement déconnecté de la réalité des affaires que subissent pourtant nombre de justiciables presque tous les jours ici en France en 2014 !

Meurtre ou suicide ?

Car il ne faut pas être un expert pour comprendre qu’à force de prendre quelqu’un pour un con, celui-ci finit fatalement par le devenir forcément pour ensuite en adopter le comportement.

Je ne suis pas violent, au contraire, mais au bout de deux ans et une liste longue comme le bras de délits commis par mon ex et son copain alors que la procédure de divorce est en cours, il faut bien reconnaître que quelque part, je suis un peu en droit de demander réparation. Mais comme l’appareil judiciaire semble incompétent en la matière, je n’ai pas d’autre choix que de me défendre par mes propres moyens. Surtout lorsque que l’on est en mesure de constater par les faits, que cette situation semble parfaitement convenir au législateur, qui dès lors adopte un train de sénateur (et les frais de fonctionnements inhérents, bien sûr…) et fait bien traîner les choses.

J’ai bien pensé me venger en rendent œil pour œil, mais comme l’abruti en question n’est pas un chat, qu’il est bien plus lourd que moi et que je ne vois pas de murs conséquents près de chez lui, j’hésite à reproduire l’affaire du chat de Marseille, et ce malgré la célérité avec laquelle l’appareil judiciaire à procédé au règlement de ce préjudice.

Recherche, arrestation, jugement et incarcération en moins de 48 h, à leur décharge, ils ont été ralentis par l’identification, sinon c’était plié dans la journée !

Pour ma part, j’ai fourni l’adresse et le nom de mon agresseur, ce qui explique les 14 mois qu’aura pris l’enquête et le classement qui s’en suivra.

Citoyen d’en bas, descend encore un peu s’il te plaît, tu bouge encore et ce n’est pas normal…

Aujourd’hui 24 octobre 2014 à 11 h, je sors d’une association d’aide aux nécessiteux, je suis allé demander un colis alimentaire pour pouvoir nourrir mes enfants…

Cette étape de ma vie restera à jamais gravée dans mon esprit, ce n’est pas facile d’aller demander ce genre de choses, on essaye toujours de repousser l’échéance, par fierté sans doute.

De père au foyer heureux, s’acquittant de sa tâche depuis plus de 10 ans pour que Mme puisse développer sa carrière, je suis passé à « personne vivant en dessous du seuil de pauvreté », agressée et harcelée presque tous les jours avec la reconnaissance et l’impunité accordée par l’inaction de la justice.

En gros, ma situation est normale !

Moi, chômeur, j’ai dépensé trois ans de salaire en 19 mois (et d’où vient le fric d’après vous ?), pendant qu’elle, prof majorée, volait les comptes et épargnait…

C’est un préjudice absolument énorme pour moi, et cela va bien au-delà des sommes annoncées, je ne suis pas du genre à m’attacher à ce genre de richesses, mais que l’on me rembourse au moins ce qui m’a été volé et les frais associés, ce serait la moindre des choses, presque 20 000 € pour un chômeur, ce n’est pas rien.

Aujourd’hui, j’ai passé un cap dans ma déchéance et vous imaginez bien que psychologiquement j’ai aussi passé un cap dans la haine qui me nourrit désormais.

Alors, quand on regarde le nombre de délits produits par les parties adverses, et que l’on compare cette longue liste à l’absence totale de réaction de la justice, que l’on me donne une seule bonne raison pour que je ne me venge pas « violemment » ?

J’ai vraiment très peur à ma France parce que ce que je vis n’est qu’un exemple parmi de très nombreux autres.

Les petits justiciables « d’en bas » et « sans dents » comme moi ont bien compris que seules les armes désormais pourront nous soulager.

Comprenez bien, au point où nous en sommes tous, toutes les solutions seront explorées et les dégâts collatéraux seront royalement ignorés.

J’ai peur parce que je ne vois pas d’autre issue que la révolution et l’éradication systématique des parasites qui pourrissent notre belle planète.

J’ai peur parce que les responsables semblent vouloir au contraire faire tout ce qui est en leurs pouvoirs pour que justement toute cette merde finisse par imploser sous son propre poids.

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Je ne suis pas un sale zor et j’emmerde ceux qui le pensent !

wp-media-13

Lettre ouverte

Monsieur le Maire du Tampon, Mesdames et Messieurs les Maires des autres communes de l’Île, Réunionnaises, Réunionnais,

Je tiens à exprimer toutes mes excuses aux habitants du quartier du marché couvert, pour le bruit causé par mon altercation avec un employé communal ce matin 10 octobre 2014, j’ai bien dit le bruit, pour les propos, je clarifie ci-après.

La rue Machin [1] est très étroite à cet endroit près du garage de réparation automobile, et nous, habitants du quartier, avons l’habitude de slalomer pour nous frayer un chemin, surtout en journée la semaine, et franchement, même si des fois c’est limite, cela ne me dérange pas plus que ça, c’est la vie, et puis quelque part, cela fait partie des charmes du quartier, aussi…

Maintenant, si quelqu’un se met à faire des travaux sur la rue, il est tout de suite moins facile de circuler, surtout si la zone de travaux n’est pas déclarée par des panneaux, ou que lesdits panneaux sont placés directement sur la chaussée, rendant alors la circulation pratiquement impossible dans de bonnes conditions, c’est le moins que l’ion puisse dire.

Bon, je ne suis pas du genre à chipoter pour quelques centimètres, ni quelques minutes non plus, mais voyant sept personnes en train de travailler sur le chantier, dont quatre qui ne font rien, fument leurs cigarettes ou papotent ente elles, je me permets alors de les interpeller pour leur demander de déplacer le panneau de quelques centimètres, histoire de faire sauter le bouchon de la rue.

Je ne puis décrire la réponse d’un des personnages inutiles du chantier (comprendre, un de ceux qui papote), car celle-ci sera visuelle, disons que « fait pas ch… » est la première expression qui me vient à l’esprit pour traduire le geste.

Pas content, je réitère ma demande avec un peu plus de vigueur, et sa réponse déclenchera toute la procédure : « biiip sale zoreil… »

En 2014, sur notre Île, il y’a encore des comportements comme celui-ci, et tout cela commence à devenir inacceptable pour les victimes.

Marre de ce silence, de cette paix sociale, qui sous prétexte de ne pas froisser certaines catégories sociales, dénigre le blanc de métropole pour tous les crimes commis par des centaines de générations avant lui, et qui petit à petit à finit par entrer dans le langage commun, c’est vrai quoi, pourquoi s’offusquer quand quelqu’un vous traite de sale zor, ce n’est pas si grave finalement…

Sauf que c’est souvent, très souvent… trop souvent, et le fier Réunionnais que je suis en a un peu marre de se faire insulter par ses frères parce qu’il est français…

C’est quand même un comble non, oser demander à un inactif (accessoirement employé communal en service), de bien vouloir offrir quelques calories à un concitoyen et se voir insulter en retour est une situation tout à fait normale que le sale zor que je suis aussi devrait apparemment accepter et vivre sans réactions, sauf révérence et soumission, peut être… et encore.

Oui ma réaction de ce matin a été virulente, mais quelque part, ce n’était qu’une goûte d’eau, le vase était déjà à ras bord, et ce qui en est sorti n’était que le fruit de cet emmagasinage qui me pourrissait l’esprit depuis tant d’années, fatalement, ça à pété…

Oui j’ai pété un plomb, mais c’est toujours mieux que de les distribuer non ?

Quelque part, ce n’était que justice après toutes ses années à subir ce racisme patent, on ne peut reprocher à quelqu’un de décider d’arrêter de subir des agressions, et il serait temps de s’attaquer aux agresseurs, ou plus simplement, d’essayer de faire évoluer leurs idées.

Ils étaient sept, quatre regardant les trois qui bossaient…

Cette image qui pourrait prêter à sourire, sera pourtant confirmée quelques instants seulement après et par le plus grand des hasards, par une publication sur Internet d’une habitante d’un autre quartier du Tampon, qui photographie à l’appui, s’étonne de voir 10 employés communaux sur un chantier de quelques mètres carrés, coïncidence ?

Non, réalité, qui même prise au énième degré n’en est pas moins constable par les faits pratiquement tous les jours.

Nos impôts… avouez qu’on est un peu en droit de se poser des questions non ?

Et que dire alors lorsque l’on se voit ainsi insulté pour avoir osé demander à un travailleur de faire son travail ?

Ils étaient sept, quatre regardant les trois autres bosser, mais c’est moi le sale zor ?

Quant au concerné, je n’ai pas grand-chose à lui dire, si ce n’est que je suis vraiment désolé pour lui, au moins pour cette vie-là.

Ils étaient sept et six ont baissé les yeux pour regarder par terre, validant par leur lâcheté, le comportement raciste de leur collègue…

Il y’a un véritable danger dans la démocratisation de cette expression et la laisser ainsi gangréner le langage commun jusqu’à pratiquent devenir une réalité n’est pas vraiment la meilleure des voies à suivre et n’augure rien de bon pour l’avenir.

Il ne faut pas laisser certaines expressions accéder au langage commun, ou alors, bien les cadrer, sale zor n’est pas une expression sans conséquence, elle traduit une pensée qui ne souffre d’aucune ambigüité, une pensée obscure, car raciste.

Je ne suis pas un sale zor, je suis Réunionnais, je suis fier de l’être et je dis non à cette expression, elle doit disparaître des habitudes locales pour intégrer la réalité de sa fonction, c’est une insulte raciste, et son usage doit être réprimé, ou tout le moins cadré.

Un Réunionnais,

Notes
[1] : Le nom de cette rue n’a pas d’importance finalement, le but de cet article n’étant pas de faire sanctionner qui que se soit, les concernés se reconnaîtront… ou pas.

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

 

Aux armes citoyens, sortez les guillotines !

palestine4everArticle 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793

Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

M. Hollande, comme suite à votre déclaration de soutien envers le gouvernement israélien actuel au sujet de leur nettoyage ethnique en cours dans la bande de Gaza, je me retrouve dans l’obligation de sortir de ma réserve et d’annoncer qu’officiellement, le citoyen français que je suis ne peut moralement continuer à vous soutenir, comme le devrait pourtant tout citoyen envers son président légitimement élu.

En soutenant officiellement un gouvernement considéré comme criminel par une grande majorité des populations de notre planète depuis plus d’un demi siècle [1], vous stigmatisez la France et les Français en donnant l’impression aux autres peuples du monde que nous, citoyens de ce pays, vous soutenons !

Non, M. Hollande, les français ne vous soutiennent pas, ni sur ce coup-là, ni sur bien d’autres, voire sur presque tout ce que vous entreprenez (entendre aussi, ce que vous n’entreprenez pas), ils ne sont pas d’accord avec votre politique en général et encore moins avec cette pathétique campagne de « soutien » envers le gouvernement criminel de Sion

Il n’est pas question que les Palestiniens puissent croire un seul millième de seconde que je suis en accord avec les déclarations du président officiellement élu de mon pays, il est donc urgent de montrer mon total désaccord envers lui.

Moi citoyen français, suis donc dans l’obligation de renier ma patrie de naissance et de cœur tant que mon président continuera à se prostituer devant un gouvernement illégitime et criminel et qu’il ne sera jugé et condamné pour ce crime.

Non, les Français ne soutiennent pas les sionistes, oui, ils soutiennent les Palestiniens et oui, ils se souviendront de vous comme du plus lâche président qu’ils aient jamais eu.

Espérez maintenant que la foule ne réclame son dû, les traîtres seront traités comme ils l’ont toujours été, et il n’y a aucune raison pour que vous échappiez à la sentence qui vous est réservée.

Amis Palestiniens, croyez les peuples du monde, n’écoutez pas leurs gouvernements, la grande majorité des enfants de la Terre que nous sommes, vous soutiennent vous et non vos agresseurs. J’emploie ici le pluriel, car la politique de Sion ne serait jamais devenue ce qu’elle est aujourd’hui sans la collaboration d’autres puissances internationales qui ont depuis trop longtemps apporté leur caution voire leur contribution pour certains, afin d’aider le peuple élu à commettre tous ses crimes, hier comme aujourd’hui et, si on les écoutait, demain….

Sauvons la Palestine, écrivons, parlons, partageons, bloguons, crions, chantons, que le monde entier, et les Palestiniens en premiers sachent combien sont nombreux les gens qui les soutiennent.

Et que le Temple de Sion et leurs alliés, prennent conscience dans le même temps, du nombre grandissant d’enfants de la Terre qui ne les supportent plus.

Aujourd’hui, c’est donc le cœur gros que je décide de brûler ma carte d’identité française.

J’en aurai une nouvelle quand les traîtres auront été jugés et condamnés.

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Notes
[1] : Israël est connu et reconnu pour être « l’état » qui viole le plus de lois internationales depuis près de 70 ans sans pour autant qu’une seule sanction n’ait été appliquée par la communauté internationale. Cette même communauté internationale qui dans le même temps, reconnaissait pourtant les violations en elles-mêmes. D’autres pays ont vu leur sol bombardé pendant des décennies pour bien moins que ça, mais avec l’accord de la (toujours et même) communauté internationale qui bien souvent, préfère baisser sa culotte devant l’envoyé de Sion…

Dur dur d’être un Papalacaz !

wp-media-46Il faut avoir foi en la justice de son pays…

Pour la justice française, utiliser ses connaissances pratiques dans un art de combat pour casser la gueule au mari de sa copine, qui est accessoirement diminué comme suite à un accident de la route, qui est de corpulence et de force inférieure (même en faisant abstraction du handicap), qui n’a pas la moindre connaissance dans un art de combat quelconque (plutôt même au contraire non-violent de conviction), sous les yeux de ses enfants, tout en lui bousillant son matériel de travail (matériel personnel dont la valeur approche celle d’un mois de salaire), un simple rappel à la loi suffit

Le classement n’étant pas sans suite, j’ai encore la possibilité de poursuivre mon agresseur pour dédommagements (ça m’a coûté 2 000 balles quand même), mais je n’ai pas les moyens de payer (encore) un avocat, je reste donc un peu dubitatif, et cela se comprend au demeurant, quant à la valeur réelle de l’adage cité en sous-titre…

Un an et deux mois pour conclure qu’une agression de personne handicapée par personne en bonne santé n’est qu’un banal fait divers qui mérite tout juste son petit rappel à la loi, pas de quoi fouetter un chat me direz vous, et le chat vous répondra qu’en cas de violences sur animal, l’agresseur est immédiatement condamné à de la prison ferme, peine qu’il devra effectuer quelques heures seulement après avoir commis son crime odieux, l’appareil judiciaire et policier français étant alors immédiatement mis en branle, on parle quand même d’un félin.

Pour les humains, c’est pas tout à fait pareil, et 14 mois plus tard, mon agresseur continue de se pavaner avec ma femme dans les boîtes de nuits de la Réunion, n’a subi qu’un petit rappel à la loi, mais la SPA est contente.

Bon, maintenant qu’on s’est fait plaisir avec les bonnes nouvelles, abordons la suite, qui est un poil moins drôle… quoique, au point où j’en suis, seule l’ironie me permet de continuer à avoir encore un semblant d’optimisme dans cette société complètement déconnectée.

Concernant mon ancienne avocate, je sais maintenant, grâce aux aveux directs ou sous-entendus de deux avocats, qu’elle s’est littéralement moquée de moi et n’a absolument pas fait son travail. Scandaleux, dégueulasse, je n’ai pas les mots, elle n’a pas hésité à prendre le pognon d’un chômeur tout en lui faisant croire qu’elle travaillait pour ses intérêts alors qu’elle faisait tout le contraire.

Je suis outré de devoir constater par le fait accompli, qu’une telle profession soit aussi peu surveillée et à quel point ses acteurs sont autoprotégés.

Elle mériterait un procès, mais quel avocat ici bas aurait le courage de défendre un citoyen contre un de ses collègues ?

Résultat, mon divorce est pratiquement plié, et aucun de mes arguments initiaux, abandon du domicile et des enfants par la mère, adultères, l’agression de l’amant, le harcèlement moral et financier, toute ma stratégie en gros, n’est plus recevable.

Elle m’avait dit déposer un référé, jamais fait, oublié,

Intervention des enfants (ou, tout du moins une demande en ce sens), oubliée,

Divorce pour faute, oublié aussi, mais elle déposera quand même une demande de divorce simple à la place… cocasse,

Les nombreuses violations de l’Ordonnance de non-Conciliation dont s’est rendue coupable l’épouse, oubliées, non prise en compte, pas utilisées…

Le lien entre l’agression du mari handicapé par l’amant bien portant, quelques jours après le départ de madame du foyer familial, oublié… encore…

La seule chose qu’elle ait faite (dixit un avocat qui s’est penché sur mon dossier et que je ne citerai pas), c’est de se constituer défenseur dans mon affaire, elle n’a jamais transmis le moindre document à la cour, hormis la requête initiale, qui comme déjà dit, n’était pas la bonne (divorce simple alors qu’on s’était mis d’accord sur un divorce pour faute).

Il en ressort donc, que la seule action concrète dont l’avocate en question puisse s’accaparer la paternité est juste en total désaccord avec ce qu’elle avait mis en place avec son client, le reste n’est que suite logique.

Quand le juge me demande signer l’accord de principe, je le fais sans la moindre réflexion, je suis alors en pleine confiance de mon défenseur, jamais je ne me serais imaginé que ce jour-là, j’allais signer un document qui allait tout simplement mettre toute ma stratégie à la poubelle, le tout en parfaite connaissance de causes et de conséquences de mon avocate.

Je ne sais pas si vous saisissez bien le truc, vous allez voir un avocat, vous lui soumettez une affaire, vous élaborez une stratégie sur ses conseils, vous allez au tribunal, mettez en œuvre la stratégie en question avec la conviction de faire les choses bien puisqu’élaborées sur les conseils d’un professionnel, et vous découvrez bien plus tard et généralement trop tard, que vous avez fait exactement ce qu’il fallait pour faire gagner la partie adverse sans que celle-ci n’ait même à se défendre…

Et en plus, vous avez payé pour ça… ouaouh !

En gros, je suis en train de rédiger un petit texte chapitré résumant le tout. Il sera bientôt publié sur ce site au jour le jour, avec les patronymes complets des intéressés et les copies des documents attestant l’incompétence volontaire de cette avocate de Saint Pierre. Sans oublier ses amis, à commencer par certain président d’association de défense des pères, qui est devenu bien silencieux lorsque je lui ai fait part des errements de l’avocate qu’il m’avait pourtant lui-même conseillée !

Y’a-t-il un juge dans l’tribunal ?

J’ai aujourd’hui soif de réparations, mais surtout d’explications de la part de l’ordre des avocats que je vais contacter à cet effet, cette avocate à littéralement ruinée ma vie en me prenant le peu que j’avais pour le donner à la partie adverse qui venait justement de se servir et qui elle avait donc déjà tout.

Elle ment à un chômeur (le mari) pour lui prendre ce qu’il n’a pas et qui correspond au peu qu’il lui reste après que l’épouse se soit servie, et c’est le fonctionnaire (l’épouse) qui se retrouve avec le tout voire plus, car elle va très certainement obtenir une compensation, elle, prof, de moi, chômeur… bref…

10 ans de ma vie, sacrifiés pour m’occuper de mes deux enfants (et je ne le regrette pas), les nombreuses nuits blanches, les biberons, les couches… pour que madame puisse dormir.

Les balades en poussette et les week-ends tout seul avec les enfants au parc, avec ballons et vélos, pour que madame puisse travailler ses heures sup, génératrices, en plus du complément de salaire (fonctionnaire expatriée, quand même !), d’opportunités d’évolutions de carrières, qui ne manqueront pas d’arriver d’ailleurs.

Les soirées à m’occuper (avec plaisir cela dit) des enfants pour que madame puisse s’adonner à sa passion du tango (qui sera finalement l’élément destructeur de notre couple).

Le tout de Grenoble au Tampon, en passant par Nouméa et Lyon… je n’ai jamais été un frein, toujours là, à suivre et soulager madame.

Aujourd’hui, je suis handicapé, à 20 000 bornes de ma famille, je n’ai plus un rond, je me suis fait casser la gueule par l’amant, sous les yeux de mes enfants qui depuis vivent une semaine sur deux dans la même maison que le type qui a tapé papa en flippant tout le jour. Je ne vais rien obtenir de mon divorce puisque c’est finalement une sorte de divorce par consentement mutuel sans vraiment l’être, je vais très certainement devoir payer les frais de justice de madame (qu’elle a déjà payés en prenant sur le compte commun, mais bref) et ne verrais mes enfants qu’un week-end sur deux. Bien entendu, je serai viré de ma maison, avec mon salaire je trouverai un truc très cher, qui sera trop petit, et madame utilisera cet argument pour me refuser la garde.

Un avenir rose à point, n’est-il pas ?

La justice est un domaine très opaque et les avocats sont censés être là pour nous aider, nous seconder et nous conseiller. De notre côté, nous les citoyens censés ne pas ignorer la loi, nous nous trouvons dans l’obligation de leur accorder une confiance aveugle, car leur domaine nous est absolument inaccessible.

Belles théories…

Ah la la, vous n’imaginez pas la taille des bananiers Réunionnais, et quand bien même vous en seriez capables, multipliez le tout par encore plus et vous serez pas loin de la taille des petites pousses…

Pour la suite, j’hésite entre survivaliste et bonnet rouge, je vais encore réfléchir quelque temps.

Quoique… survivaliste à bonnet rouge, c’est pas mal non plus…

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Papalacaz, un métier qui n’existe pas…

DSCN2647Et ne comptez pas sur Mme Belkacem pour que cela change…

Votre conjoint vous gonfle et vous avez envie de vous barrer de votre domicile conjugal ?

Vous avez arrêté de travailler pour vous occuper de vos enfants et votre situation financière est un peu compliquée (pour ne pas dire difficile), car vous êtes un peu, par obligation envers votre progéniture il va de soi, dépendant du salaire de votre conjoint ?

Alors, comme vous êtes une personne moderne, vous vous lancez dans une quête d’informations sur le sujet avec l’aide votre grand ami Google.

Diable, que d’informations en retour, il va falloir trier le bon grain de l’ivraie…

La première chose que vous allez remarquer, c’est les conseils de base qui sont assez récurrents pour être pris au sérieux.

Quels que soient le site ou l’intervenant, vous remarquerez quelques points qui reviennent très souvent :

  • On ne quitte jamais le domicile conjugal sans ses enfants (même quelques jours),
  • On ne vide pas les comptes,
  • On n’envoie surtout pas le futur nouveau conjoint discuter physiquement avec l’ancien (comprendre, pas de contrat sur la tête de l’ancien conjoint),

Les deux premiers points ont d’autant plus d’importance si vous êtes celui qui entretien le couple, comprendre, celui qui n’a pas arrêté de travailler pour se consacrer aux enfants. Sinon, vous risquez de voir l’accusation renforcée de fait.

Le troisième est juste ce que l’on appelle en langage humain standard, du bon sens

Mais voilà, ce que les textes nous disent ne représente malheureusement que la théorie, car dans la réalité, tout ceci n’est applicable que dans le cas, très courant il est vrai, ou c’est madame qui à arrêté de travailler, qui est dans une situation financière compliquée, et que c’est monsieur qui est parti en abandonnant ses enfants.

Si jamais, comme moi, vous avez le malheur d’être un de ces couples modernes qui ont choisi de mettre « papa » à la cuisine, aux couches, aux biberons, soit en gros « à la maison », la séparation ne vas pas se dérouler « comme prévu »…

Pour faire court, votre femme peut partir sans ses enfants, elle peut vider les comptes, et elle peut même vous envoyer son nouveau mec vous casser la gueule, je vous le dis tous de suite en parfaite connaissance de cause, elle ne sera jamais inquiétée, jamais !

Vous verrez même votre plainte classée… et ce n’est pas votre situation de personne diminuée (handicapée pour être précis) qui changera quoi que se soit.

Faites une autre recherche sur le net, et vous verrez que pour ce genre de faits divers, si jamais c’est le papa qui s’amuse à cela, il est immédiatement remis sur le droit chemin par le système judiciaire français, il peut même se retrouver avec de la prison avec sursis (voir carrément de la prison ferme) et très souvent, il sera condamné à verser des sommes considérables en « dommages et intérêts ».

Bien entendu, vous ne trouverez pas ce genre d’information sur le site de Mme Balkacem, elle qui contribue à ce que cet écart de traitement soit au contraire encore plus important en attribuant à « la femme » encore plus de droits, moins de devoirs et donc beaucoup plus de pouvoirs…

Maintenant que vous savez que le fabuleux métier de père au foyer n’existe pas vraiment, ou seulement dans la tête des « faiseurs de promesses avant les élections », vous voici armé pour supporter la suite, qui est d’entrée très mal partie, sachez-le…

Le premier réflexe qui nous vient à l’esprit, nous autres papas au foyer, est de rechercher du soutien, en commençant par celui des associations qui défendent notre cause.

À la Réunion, il n’y en a qu’une et c’est donc avec une certaine logique que vous la contactez dans l’espoir que celle-ci vous aidera d’une manière ou d’une autre.

Contact pris, celle-ci vous conseille alors une avocate de votre région (Saint-Pierre pour moi) qui s’est engagée auprès de l’association et qui est censée s’occuper des dossiers des adhérents avec plus d’attention que pour les autres dossiers…

En y regardant de plus près, vous découvrez que cette association est parrainée par plusieurs personnalités locales qui ne sont pas inconnues et qui sont même, pour certaines, connues pour ne pas avoir peur de dire ce qu’elles pensent.

Le tout ne fait que vous conforter, vous vous sentez enfin soutenu, vous adhérez, vous prenez contact avec l’avocate conseillée et vous engagez alors la procédure…

Vous voici tout frais adhérent de l’association Paire 2 Cœurs, carte en main, procédure en cours, serein et attendant la suite avec confiance…

La réalité sera toute autre, et c’est un peu le but de cet article, sachez-le tout de suite, il s’agit quelque part d’une belle arnaque, dans tous les sens du terme.

L’avocate désignée est une menteuse professionnelle qui n’hésitera pas à vous expliquer le déroulement de la procédure qu’elle va initier, tout en en mettant une autre en place, et qui bien entendu dessert totalement vos intérêts.

Elle ne répondra pas à vos messages, ne vous recevra qu’une fois ou deux pour vous dire des choses honteusement mensongères pour vous rassurer et faire en sorte que vous laissiez passer le temps en faveur de la partie adverse.

Elle n’hésitera pas à rajouter une couche de mensonge, quand au cours du déroulement de la procédure, vous allez découvrir des éléments qui ne semblent pas correspondre à ce qu’elle vous avait promis. Sur ce dernier point, elle n’hésitera pas à vous raconter des histoires rocambolesques pour vous embrouiller l’esprit.

Bien entendu, elle prendra votre fric, vous n’avez aucune inquiétude à avoir sur ce point-là.

L’avocate ne répondant pas à vos messages, vous prendrez alors contact avec l’association et vous découvrirez alors qu’elle est devenue d’un coup très silencieuse.

Silence qui une fois constaté vous forcera à admettre qu’il y’a collusion et donc complicité entre elle et l’avocate…

À ce stade de la procédure, vous n’avez que deux solutions, soit vous continuez sans rien changer et vous êtes sûrs de ne pas voir un seul de vos griefs reconnus et donc au contraire de les voir se retourner contre-vous, soit vous décidez de quitter cette avocate pour tenter une autre voix avec un autre défenseur.

J’ai choisi pour ma part la deuxième voix, qui n’est pas la plus facile, étant déjà dans une situation financière compliquée, savoir que vous venez de perdre 1 500 € d’honoraires pour rien, c’est déjà insupportable, mais en plus, savoir qu’il va falloir assumer les honoraires du prochain défenseur… bref.

Mais quand le nouveau défenseur, une fois votre dossier en main et après l’avoir analysé, vous explique que vous vous êtes fait entuber d’un bout à l’autre de l’histoire et que la suite risque d’être pus que très délicate, vous évoluez alors entre deux sentiments, le premier étant de prendre les armes et d’aller vous expliquer avec vos détracteurs, l’avocate, l’association, votre femme et bien entendu son agresseur de petit ami, le deuxième étant de vous reprendre et d’envisager la suite en respectant les procédures. J’ai bien entendu choisi la deuxième voix.

Mais voilà, la première avocate ayant outrageusement menti dès le dépôt de la première requête, vous vous retrouvez dans l’obligation de demander l’annulation pure et simple de la procédure pour pouvoir enfin engager la bonne… et là, c’est chaud bouillant.

L’argument utilisé pour demander l’annulation mettant en cause votre premier défenseur, le magistrat en charge de votre dossier va devoir prendre une décision, s’il accepte votre requête, il reconnaît implicitement les écarts de votre défenseur, et dans le monde judiciaire, rares sont les magistrats qui ont le courage de s’en prendre à un membre de leur corporation.

Quand bien même il accepte votre requête en annulation, la partie adverse va alors considérer cette action comme étant une déclaration de guerre, elle mettra alors en œuvre tout ce qui est en sa possession pour faire traîner les choses, et quand une des deux parties n’est pas très riche, le temps joue généralement en faveur de celui qui a les moyens d’attendre, ce qui n’est pas mon cas.

S’il n’accepte pas la requête, vous êtes bons pour pleurer et compter vos pertes, qui sont, vous vous en doutez, innombrables.

À commencer par la perte de vos enfants, votre situation financière ne vous permettant plus de les assumer pleinement (l’argument consistant à faire reconnaître l’asphyxie financière de l’autre n’étant pas recevable puisque ce n’est pas la bonne requête qui a été initiée) et aucune possibilité de faire reconnaître cette situation comme étant le résultat du comportement de votre conjoint. Le magistrat se fout bien de savoir que vous êtes devenu pauvre grâce aux actions destructives de votre conjoint, il s’en tiendra à la requête initiale qui ne prend pas ce genre de détails en compte.

10 ans de votre vie sacrifiée pour rien, un travail à plein temps non reconnu, votre carrière au point mort et que vous devez relancer, des comptes totalement asséchés et aucun espoir d’obtenir la moindre compensation… avouez qu’il faut avoir une certaine confiance pour continuer à vivre après ça.

Mais voilà, je n’ai plus rien à perdre, alors je ne vais pas lâcher l’affaire, cela prendra le temps qu’il faut, mais je me battrai, et quoi qu’on en dise, je le ferai avant tout pour mes enfants, quand on à vécu cette aventure fabuleuse qui est celle du parent au foyer, ceux-ci deviennent de fait comme partie intégrante de votre chaire et vous avec énormément de mal à imaginer la suite de votre vie sans eux.

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Le drapeau breton interdit par Manuel Valls ?

DSCN3193Mais pas le drapeau israélien !

M. Valls, vous semblez avoir quelques trous de mémoire et je pense qu’il est temps que votre employeur, qui n’est autre que le peuple de France dont je ne suis qu’un des modestes éléments, vous les comble par quelques petites piqûres de rappels.

Vous êtes mon employé, vous me devez donc obéissance et respect, ce que vous avez manifestement oublié de faire pour l’un comme pour l’autre.

Je suis votre employeur, et en tant que tel, il est de mon devoir de vous remonter quelque peux les bretelles, qui, semble-t-il, se sont fortement distendues, d’abord parce que vous baissez trop souvent votre couvre fondement à la moindre demande des marionnettistes qui vous contrôlent, ensuite parce que vous abusez un peu sur la contenance de vos poches qui débordent à force de vouloir y glisser les étrennes invisibles de vos mécènes tout aussi inexistants… sauf que ça se voit, mais bref…

Refuser d’obéir aux ordre de son employeur, se traduit généralement, enfin, dans le vrai monde du travail, celui que vous ne pouvez pas connaître, par une invitation à aller visiter le site du pôle emploi, et accessoirement, comprendre comment il fonctionne.

Lui manquer de respect peut revêtir différents aspects, dont un très connu qui s’appelle le double triple vrillé tendu à travers ta bouche, quand même, merde !

Vous n’aimez pas la France, certes, elle n’est pas la terre de vos origines et vous nous le démontrez tous les jours, votre mépris pour cette terre qui vous nourrit n’a d’égal que la colère qu’il engendre, plus vous nous insulterez, plus notre volonté de vengeance monte en puissance, votre jeu est dangereux, enfin, pour vous surtout, nous il y’a longtemps que l’on ne rigole plus à vos très mauvaises blagues qui ne font rire personne et qui ne remplisse aucune salle. [1]

Vous n’hésitez pas à insulter vos hébergeurs, ne vous inquiétez pas, ils sauront vous le rendre, à force de mordre la main qui le nourrit, le chien finit par crever de lui-même, dans la plus parfaite indifférence des passants, qui au contraire pourraient même l’aider à crever plus vite, c’est sale, ça pue et puis, il y’a tellement d’équarrisseurs au chômage.

Nous vous avons accueillis comme nous savons si bien le faire, nous saurons aussi vous virer, car là aussi nous avons une certaine, et historique, expérience en la matière.

N’oubliez pas que vous venez de cet autre pays qui pratique la guillotine quand les gamelles sont vides, le retour de manivelle se fera donc Franco de Porc.

La collaboration ne devrait pas poser de problème le jour où nous vous jugerons, l’appareil sera Français, le bourreau viendra d’Espagne, pas de problème de conscience pour nous, l’Europe vue comme ça est une belle nation.

À bon entendeur…

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Notes

[MAJ 18 janvier 2014 – 16:20:20] L’info commence à buzzer, d’abord dénoncée par les Valssorateurs de tous poils, elle se voit au contraire confirmée par d’autres sites qui relaient.

[1] : Confirmation sur un autre site, ça craint vraiment du boudin, c’t’histoire 🙁

De la proportionnalité des moyens…

wp-media-36Pour arriver à ses fins…

En droit français, il y’a une notion de proportionnalité lors d’une atteinte, au bien ou à la personne.

Si vous utilisez un char d’assaut contre un cambrioleur muni d’un Opinel, ce n’est pas proportionnel.

Par contre, si le cambrioleur est en possession d’un char d’assaut, qui est une arme de guerre, vous êtes alors en droit de vous défendre en utilisant à votre tour une arme de guerre, vous restez dans le cadre de la proportionnalité.

Postulats :

  • Sachant que les danseuses de la LDJ ont à maintes reprises prouvé par leurs actions héroïques, comprendre, s’attaquer à des innocents non violents et désarmés, qu’ils étaient coutumiers du trouble à l’ordre public, si cher à notre ministre de l’intérieur,
  • Qu’ils n’ont de courage que lorsqu’ils sont à 10 ou 12 contre un,
  • Qu’ils n’hésitent pas à utiliser divers objets en guise d’armes, comme des bâtons ou des couteaux,
  • Sachant que ceux-ci sont catégorisés comme étant des armes blanches, voir pour certains modèles, carrément des armes de guerre,
  • On ajoute à cela, le caractère terroriste confirmé de l’association, interdite aux États-Unis et dans le magnifique territoire dont elle porte pourtant le nom.

Pour conclure :

Il est donc tout à fait normal d’envisager une riposte défensive qui utiliserait des moyens proportionnellement équivalents à ceux utilisés par l’agresseur.

Actions :

Nous, peuple de France, dépositaire du pouvoir suprême par la démocratie que nous vénérons et qui n’existe que parce que nous le décidons et le voulons, demandons, que dis-je, exigeons de nos services de polices et de nos pouvoirs publics qu’ils assument leurs responsabilités en prenant position fermement contre cette association reconnue comme terroriste par nos grands amis d’outre-Atlantique, mais aussi et surtout en agissant promptement pour défendre le peuple qui n’en attend pas moins de leur part.

La LDJ doit être démantelée et les agitateurs qui la promeuvent destitués de leurs mandats, notamment ceux qui exercent au grand jour des professions qui ne sont pas compatibles avec les idéaux de leurs employeurs, qui jusqu’à preuve du contraire sont les Français eux-mêmes.

Le peuple de France est légitimement en droit de se poser de sérieuses questions quant au comportement des élites qui sont censées le protéger, l’impunité manifeste dont semble jouir ce groupuscule est troublante pour ne pas dire fortement teintée de trahison, à commencer par celle de ceux-là mêmes qui devraient être les premiers à s’offusquer que de telles actions se produisent sur leur territoire.

Le peuple de France ne peut que constater l’incapacité de son gouvernement à faire face à ces menaces de plus en plus répétées de la part de personnes parfaitement identifiées, pour certaines très connues et contre qui rien, mais alors rien du tout n’est envisagé.

Pire, le peuple de France se voit imposé de la manière la plus honteuse, par l’intermédiaire de nominations au sein même de l’appareil de l’état et de l’appareil judiciaire, des nominations des membres mêmes de ce groupuscule à des postes de très grandes responsabilités.

Il est évident que notre gouvernement n’est plus que l’ombre de lui même et qu’il est piloté par les marionnettistes de ce groupuscule.

Français, lève toi et marche, poste-toi en sentinelle contre l’envahisseur qui essaye de s’infiltrer, recherche celui qui est déjà sur nos terres, traque-le et présente le devant son tribunal pour qu’il soit jugé !

Français, ton gouvernement t’a trahi en vendant notre âme à son banquier !

Français, il est temps de te réveiller et de te remémorer ceci :

Article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793

Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Et j’ajouterais cette petite mélopée avec laquelle je m’endors tous les soirs et dont je suis le modeste géniteur :

Maître Maa a osé commettre

Tous les soirs, je m’endors avec le doux murmure de la pierre à aiguiser glissant paresseusement sur la lame de la guillotine, tout en me fredonnant l’article 35 de la constitution des droits de l’homme et du citoyen de 1793…
Puis je dors…

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Tous des abrutis ?

wp-media-37Ou tous des cons ?

Je vous avoue me poser la question le plus sincèrement du monde.

Il est très difficile de se faire une opinion en ce moment, d’un côté les déclarations officielles puent la mauvaise foi et la manipulation, et de l’autre, les déclarations n’existent tous simplement pas.

Comment peut-on accorder le moindre crédit à un camp sur la base de ses seules déclarations, sans laisser l’autre camp s’expliquer ?

C’est pourtant ce qui se passe en ce moment en France, où je découvre, par l’intermédiaire des réactions de mes concitoyens un peu partout sur la toile, sur des sites officiels ou les réseaux sociaux, que la méconnaissance et la mésinformation sont des armes très puissantes surtout quand elle sont maniées par de mauvaises mains.

C’est quand même dingue que personne ne réagisse alors que pratiquement tout le monde sait que Dieudonné est membre d’Al-Quaida dans sa branche la plus violente.

Pas une réaction sur le sujet, personne pour dénoncer cette ahurissante vérité, pire, pas un commentaire au sujet des subventions qu’il détourne pour son association de malfaiteurs alors qu’il s’agit de notre argent, de nos impôts.

Nous sommes en 2014 et une association terroriste reconnue comme tel par pratiquement toutes les démocraties de notre belle planète est non seulement autorisée sur notre territoire, mais peut avoir un local à sa disposition, payé par nos impôts, peut agir en toute impunité, organiser de véritables pogroms sur notre sol, agresser nos concitoyens dans leurs âmes et dans leurs corps, sans que cela ne semble émouvoir les pouvoirs publics.

Alors que des associations luttant contre la pauvreté, se démènent depuis des années pour essayer d’obtenir une petite subvention, ou le quart de la moitié d’un local pour pouvoir officier, une organisation terroriste (j’insiste sur ce mot, quand même, merde !) se voit offrir un local et même un cordon d’agent des forces de l’ordre pour en protéger l’accès…

C’est une réalité, ce que j’écris est parfaitement vérifiable, il y’a en France en 2014, une organisation terroriste reconnue, financée et hébergée par nos impôts.

Les États-Unis les ont virés il y’a plus de 20 ans, et nous, pauvre France, nous les finançons ?

Et pas un citoyen pour réagir ?

T’as des terroristes sur ton sol financé par tes impôts et tu dis rien, nan mais allô quoi !

Bien entendu, les noms cités dans cet article ne sont pas les vrais, vous imaginez bien que je ne vais pas m’amuser à me mettre les vrais terroristes sur le dos, en bon pleutre lâche que je suis et à l’image de beaucoup de mes frères de France, je préfère taper sur la tête de Turc, pour ne pas dire la tête de nègre, la plus en vogue en ce moment, Dieudonné, l’alibi de notre ibère intérieur, celui-là même qui nous fait vomir plus vite que nos ombres, et à qui, je l’espère, tous sauront lui garder quelques chiots…

Cette organisation terroriste reconnue comme telle par les États-Unis se nomme « La Ligue De Défense Juive » et Dieudonné, bien entendu, n’est absolument pas membre d’Al-Quaida, mais si j’avais commencé par ce paragraphe, auriez-vous lu la suite ?

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Message du ministère de la justice

DSCN5324Mangez des quenelles

Ne riez pas, car c’est en substance ce que vient de déclarer notre actuelle ministre de la justice, qui voulant ajouter sa pierre à la destruction de l’édifice de nos libertés, comprendre, en voulant apporter son soutien à son collègue de l’intérieur, non, pas sa petite voix, l’autre, l’énervé pas drôle, el manolo, s’est fendue d’une déclaration succulente que je conseille à tous les Français de prendre au premier degré.

Le discours est digne des plus grands agitateurs de notre histoire, si ce n’est qu’il manque un tout petit ingrédient pour que la recette soit parfaite : qu’elle soit écoutée aveuglément !

Christiane Taubira a dégluti :

Sanctionner avec efficacité est indispensable mais ne suffira pas. Il faut descendre dans l’arène, disputer pied à pied, pouce par pouce l’espace de vie commune, faire reculer cette barbarie ricanante, la refouler.

Eh bien, ma bonne dame, c’est exactement ce que nous comptons faire, mais ce que tu ne comprends pas, c’est que ce n’est pas vers le théâtre de la Main d’Or que nous allons nous diriger.

Prenons-les au mot, ils nous abreuvent de discours lénifiants et dégoulinants de haine, nous incitent à la guerre civile, et ne se rendent même plus compte de ce qu’ils disent, ni du fait que cela pourrait finalement se retourner contre eux.

Oui Madame, nous allons vous écouter et défendre cet espace de vie commune qui nous tient tant à cœur, mais je ne suis pas sûr que vous puissiez en admirer le résultat.

Car c’est à vous que nous allons disputer cet espace pour le récupérer, pour la France, cette France que vous avez suffisamment piétinée vous et les marionnettistes qui vous contrôlent.

Descendons dans l’arène les amis, et disputons notre espace de vie commune centimètre par centimètre, je laisse les pouces aux soumis de l’empire qui ont oublié que dans notre beau pays, c’est le système métrique qui préfigure encore, ne leur déplaisent.

Oui madame, je vais faire ce que vous me demandez, je vais descendre dans l’arène et récupérer ma liberté, celle que nous n’avons jamais perdue de vue, contrairement à vous que l’ambition démesurée et le nombre de zéros sur le chèque ont rendue complètement aveugle.

Ne vous inquiétez pas, Madame la Sinistre ministre, pour une fois, nous allons vous écouter, et peut être, et cela ne dépends que de vous, vous aider à ouvrir les yeux.

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Papalacaz, le cri du cœur…

wp-media-15Père au foyer, le plus beau métier du monde…

L’histoire que je vais vous raconter est une histoire vraie !

Je vais vous raconter une histoire absolument rocambolesque, une aventure qui pourrait être extraordinaire si elle n’était pas banale…

C’est une histoire vraie qui est arrivée à une de mes amies, et je pense qu’il est de mon devoir de citoyen de la relater, parce que les faits qui se sont produits sont plutôt choquants et que malgré une fin plutôt bonne, personne n’en a parlé.

Comme de nombreuses femmes, elle a choisi d’être mère au foyer à la naissance de son premier enfant, et de fait, de quitter le monde du travail pour se consacrer à sa progéniture.

Pendant ce temps, son mari lui en a profité pour faire avancer sa carrière, prendre du galon, et monter les échelons.

Monsieur, grand fatigué devant l’éternel par son travail harassant, s’est trouvé une passion dans les danses de salon, car, disait-il, cela lui permettait de se décontracter et d’avoir moins de pression.

Et force fut de constater, par mon amie et les enfants (car entre temps, un deuxième était né), qu’effectivement, la pression tombait et l’homme moins stressé, affichait un bonheur que toute la famille partageait.

Elle aurait bien aimé sortir avec son mari, mais les cours de danse ayant lieu généralement le soir, il fallait bien quelqu’un pour garder les enfants… ce qu’elle fit, sans même se poser de question, le truc normal quoi.

La passion s’est malheureusement développée, et le père allait sortir jusqu’à 3 soirs par semaines… en moyenne !

Cette passion ira jusqu’à prendre de plus en plus de place dans la famille, à un point qu’il n’hésitera pas à abandonner son épouse et ses deux enfants des journées entières pendant qu’il s’y adonnait à des kilomètres de là. Et comme il prenait le véhicule familial pour s’y rendre, le reste de la famille n’avait d’autre choix que d’attendre son retour, coincé à la maison.

Avec lui, les week-ends commençaient à 17 h le dimanche… quand il ramenait la voiture.

Il sortira jusqu’à des heures pas possibles, rentrant chez lui à 6 h du matin, alors que son réveil est censé sonner à 6 h 30… pour aller travailler…

La fatigue aidant, cette passion se transforme en calvaire pour les trois autres membres de la famille, monsieur est souvent fatigué, dors beaucoup pour rattraper, les week-ends y passent et le reste de la famille attends…

Quand il se réveille, c’est pour aller travailler, quand il revient du travail, c’est pour travailler (les copies, la nouvelle réforme du machin…, bref), et quand il finit de travailler, c’est pour sortir…

Vous sentez venir le truc hein, et vous avez bien raison, un jour, excédée, elle prêche faux et obtiens fatalement le vrai, la danse n’était qu’un prétexte pour la tromper avec une de ces partenaires de danse justement.

Dur et tellement banal de nos jours, découvrir que l’être que vous aimez depuis 25 ans vous trompe depuis plusieurs années, ça fait mal.

Mon amie n’apprécie pas, et on la comprend, et annonce alors à son mari qu’il doit en choisir une des deux, normal me direz-vous.

Mais monsieur aime manger à tous les râteliers, et la valse des mensonges commence alors qui durera plus d’un an, un an où il quittera l’autre plusieurs fois, pour la retrouver juste après, puis la requittera… la retrouvera…

Elle en a marre et décide de mettre un terme à cette comédie, appréciant moyennement que monsieur et sa copine se moquent d’elle aussi impunément, elle le mettra alors devant son dernier choix, décidant elle même de s’en tenir à la décision de son mari si celui-ci décidait d’aller voir ailleurs si l’herbe était plus verte, ce qu’il fit, sans une once de courage, puisqu’il ira jusqu’à mettre la difficile décision dans la bouche de sa copine, incapable qu’il était de le faire soi-même.

La copine de monsieur ne se fera pas prier, et attrapera en plein vol et du premier coup une si belle occasion de détruire la famille de la femme de son copain.

Une fois la séparation décidée par l’autre copine, ce lâche n’ayant pas eu les corones de le faire lui même, elle lui demandera alors de partir de la maison vivre avec elle puisqu’apparemment c’est ce qu’il veut.

Il partira, la queue basse et le regard fuyant, laissant sa femme et ses deux enfants seuls au domicile conjugal.

Petite précision, entre temps, mon amie s’est blessée bêtement aux pieds en glissant sur le trottoir et elle s’est cassé, les deux chevilles… aie, les deux !

Oh, rien de grave, mais le truc bête, quand on à un pied cassé on à toujours la possibilité de marcher avec des béquilles, mais les deux, même si ce sont de petites fractures, c’est tout de suite moins drôle au quotidien.

C’est pourtant en la sachant dans cet état qu’il l’abandonnera, ainsi que le domicile et les enfants…

J’ai presque eu honte quand j’ai appris ça, et je suis immédiatement allé la voir pour lui proposer mon aide, elle déambulait assise sur un fauteuil de bureau, et s’était même inventé un système avec un manche à balai pour pouvoir attraper les denrées sur les étagères devenues trop hautes pour elle qui était assise. J’avais du mal à l’imaginer en train de s’occuper de ces deux monstres (je les adore ces deux gamins et j’ai décidé il y’a longtemps que je faisais parie de ceux qui avaient le droit de les appeler des monstres, na !)…

Sur ces entrefaites, monsieur découvre qu’il a peut être fait une bêtise en partant un peu vite et surtout en abandonnant les enfants seuls avec une épouse fortement diminuée, mais aussi, peut être, parce qu’il vient de s’apercevoir qu’il n’aurait peu être pas du vider les comptes non plus, il est fonctionnaire, son épouse est… euh… mère au foyer chômiste sans indemnités, il cherche à rattraper le coup, ça ne fait aucun doute.

Ni, une ni deux, il va en profiter un jour pour inviter ses deux enfants à aller grignoter un truc dans un resto, c’était un mercredi, les enfants étaient aussi peu enjoués que ça (ils ont déjà très mal pris le sacrifice de la danse, et moyennement apprécié la séparation pour une partenaire de danse justement), et bien entendu, il ne les ramènera pas comme promis.

Mon amie n’est pas contente (et on la comprend), le contacte et lui annonce qu’elle veux venir les rechercher, elle se déplace alors très péniblement avec des béquilles, l’un de ses pieds peut éventuellement se poser pour quelques pas, et elle a de nouveau le droit de conduire, mais pas trop.

Le mari lui propose de venir chez lui (chez sa copine en fait), elle ne se pose aucune question et s’y rend sur le champ…

Ce qui l’attend là bas est un guet-apens digne des films les plus noirs de la série du même nom, la rencontre tourne au vinaigre, le mari et sa nouvelle copine se jouent d’elle en la prenant de haut, elle ne reconnaît pas son mari, il est totalement sous le contrôle de la copine, la soumission semble totale. N’appréciant pas de se voir ainsi insultée, et comprenant qu’elle ne repartira pas avec ses enfants et que tout ceci est un vulgaire guet-apens, elle essaye alors de s’extraire de l’endroit avant que cela ne dérive de trop… elle n’en aura pas le temps.

Au sortir d’un dialogue de sourds, la copine de monsieur va lui sauter dessus (littéralement, la plainte déposée est très claire sur ce point) la plaquer au sol (elle est en béquilles je vous le rappelle) et une fois immobilisée, lui donnera plusieurs coups de poing à la tête, le tout parce qu’elle aurait coupé la parole à monsieur et que ceci constitue à son humble avis, une violence verbale qui mérite d’être réprimée par la force sans sommation.

Les enfants assistent à la scène… choc !

Retour chez elle, sans les enfants…

Et début de l’histoire judiciaire…

Quand son avocat est informé, il dépose immédiatement un référé auprès du JAF, utilisant l’agression pour le justifier, et une plainte au pénal pour l’agression.

Dans la semaine, la garde totale sera accordée à la mère ainsi que l’autorité parentale, le père sera invité à se trouver une autre copine moins violente, ou alors à assumer de ne pas pouvoir avoir la garde de ses enfants, même exceptionnellement tant qu’il vivra avec celle qui pourrait éventuellement reconnue coupable d’agression sur personne diminuée, le JAF reconnaissant implicitement le caractère délictueux de l’agression, mais ne pouvant le juger puisque hors de sa juridiction.

La complicité des deux amants sera retenue elle aussi, le guet-apens prenant alors la couleur de la préméditation.

La passion de monsieur sera retenue comme étant une des causes de la destruction de la famille, et une circonstance aggravante dans son comportement.

Le guet-apens est retenu par le TGI, la procédure suivra son cours au pénal.

Une provision, correspondant aux sommes que le mari avait empruntées sur le compte commun, sera exigée en urgence avec des frais très importants en cas de retard constaté.

Une somme conséquente sera versée pour dommages et intérêts.

Ainsi qu’un capital correspondant à la compensation du sacrifice qu’elle avait consenti en arrêtant de travailler pour s’occuper de ces enfants.

Au total, la somme permettra à mon amie de racheter le domicile conjugal.

L’agression sera jugée plus tard, et le résultat pourrait encore aggraver les choses pour monsieur, la copine elle, s’en tape, elle à pas d’enfants à perdre ni de boulot… et puis elle est riche, elle paiera…

L’histoire que je viens de vous raconter est totalement fausse.

Pour être plus précis, cette histoire est à refaire, mais au lieu de parler de mère au foyer, on va mettre un homme à la place, moi, un père au foyer.

Je vous laisse faire les conversions, mais l’histoire est la même, jusqu’au début de l’histoire judiciaire.

À partir de ce moment-là, l’histoire se déroule totalement et bizarrement, différemment pour moi.

Et je vais être très concis, puisque pour moi, rien n’a été fait, l’agression date d’un an et le seul retour judiciaire que j’ai pu obtenir, c’est d’apprendre que ma plainte pour l’agression avait été classée…

Rien, et quand je dis rien, c’est pas pour dire pas grand-chose non, rien !

Nada, Niet, Nicht, Nothing… RIEN !

Abandon des enfants… rien !

Vidages des comptes… rien !

Agression… rien !

Violations répétées et constatées de l’ordonnance de non-conciliation… rien !

Alors quand on me demande pourquoi j’ai créé une page Facebook… comment dire… à vous de voir ?

En gros, je suis un père au foyer, de ceux qui font la une des magasines féminins quand il s’agit de vendre une feuille de chou parlant des ces nouveaux héros d’Hommes modernes, mais qui lorsqu’ils divorcent, redeviennent très rapidement un simple détail inexistant dans l’inéquitable équation du divorce pour laquelle notre société à pris la mauvaise habitude de tout accorder à la mère.

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

P.-S.

J’ai laissé volontairement de côté de nombreux détails qui viennent pourtant allourdir le tableau pour me concentrer sur les plus évidents.