Apple m’a tuer…

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Dear Tim Cook

Je ne suis qu’un humble utilisateur de Macintosh depuis 1989 et depuis ce temps-là je n’ai jamais utilisé quoi que se soit en provenance de la concurrence, jamais.
J’ai toujours défendu Apple, notamment quand la société était au plus mal et semblait sur le point de péricliter, gardant confiance en l’avenir, car je savais que cette entreprise avait les moyens de retourner la situation.

J’ai vu venir OS X, je le sentais et je n’ai pas été contredit, quand Apple à annoncé le rachat de neXt j’ai été plus excité qu’étonné, ayant eu la chance de manipuler un neXt-Cube, je savais que le choix était très bon.

Quelle aventure que cet OS X premier du nom, le fameux Mac OS X 10.0.3, le truc le plus instable que je n’avais jamais eu sur Mac (avant Yosemite bien sûr), mais qui n’annonçait que du bon pour la suite (contrairement à Yosemite), c’était encore une bêta et ce qu’elle faisait quand elle ne plantait pas était juste énorme malgré tout.

Je suis revenu sur 9.2.2 pour bosser et quand j’ai reçu mon CD de la mise à jour 10.1 (parce qu’à l’époque Apple t’envoyait le CD à ton nom), je l’ai installée dans la foulée.

Je ne suis jamais retourné sur Mac OS 9, profitant de Classic pour les quelques applications qui n’avaient pas encore été transposées sur le nouvel OS, mais bootant définitivement sur OS X depuis ce jour.

Puis vinrent les versions suivantes, 10.2 (naissance d’iChat), puis 10.3 (naissance de Safari que j’avais prédit dans un article publié sur mon site perso) et les suivantes jusqu’au dernier système exploitable, 10.6, Snow Leopard.

Jamais un plantage, pas une seule perte de données, les mises à jour installées sans réfléchir par-dessus les anciennes et qui se sont toutes déroulées sans le moindre accroc.
Je dis bien dernier système exploitable, car c’est à partir de là qu’Apple va commencer à emprunter une pente très glissante vers la médiocrité.

Encore aujourd’hui, j’entends de nombreuses voix qui pensent comme moi que Snow Leopard est le dernier « vrai » système d’exploitation produit par Apple, je connais même des professionnels qui sont restés sur SL par peur de ne plus pouvoir travailler sur les versions suivantes, quand je regarde ça avec du recul, j’en viens à me demander s’ils n’avaient pas raison finalement.

Puis vint le tour de Lion… aie…

Ah Lion et cette nouvelle procédure d’installation qui passe par App Store et qui nécessite un téléchargement.

J’habite à la Réunion, une île magnifique située au milieu de l’océan Indien, ne cherche pas dans la mer sur ta carte Tim, pour ta boîte, cette île se trouve sur le continent africain…

La Réunion, c’est aussi (comme la Nouvelle-Calédonie que j’ai aussi eu la chance d’habiter) l’une des connexions les plus mauvaises que je n’ai jamais eues, les débits sont exécrables et le passage à Lion se fera sentir, le téléchargement prenant entre 2 et 185 heures, oui oui, 185 heures ! Je dis entre 2 et 185 parce que bien entendu, le téléchargement plantera plusieurs fois avant de finalement passer.

Qu’à cela ne tienne, j’ai toujours eu une confiance aveugle en Apple et je ne me laisserai pas impressionner par ce genre de petits détails.
D’ailleurs, à l’époque, je travaillais pour toi Tim, j’étais Technicien Certifié pour un revendeur local.

Pour l’anecdote, j’ai eu ma certification ce jour triste du départ de Steve.

Le matin, je me suis levé, excité et un peu nerveux quant à la perspective qui s’ouvrait à moi, et comme d’habitude, je suis allé faire un petit tour sur mes sites d’infos favoris, pour y lire l’information qui me mettra sur les genoux, un véritable choc.

Fortement ému, je vais hésiter à me présenter au centre de certification, incapable que j’étais d’accepter cette réalité… et de me concentrer.

Mais c’est en me remémorant ses propres paroles que je vais avoir le coup de fouet qu’il fallait, comme il aurait voulu que je le fasse, je laisserai ces détails de coté et me présenterai pour finalement l’obtenir « très facilement » !

Mon premier diplôme, le seul d’ailleurs de ma vie et il est signé Apple, j’en pleurais, j’te jure, ça à l’air débile comme ça, mais ce jour là restera à jamais l’un des plus beaux de ma vie.

En sortant du centre, j’ai levé les yeux au ciel et je lui ai dit merci de m’avoir donné cette force, j’imaginais comment il devait être fier de moi, puis j’ai vu les regards de travers des gens sur le trottoir, j’avais du parler à haute voix, mais je m’en foutais, j’avais enfin un pied dans la boîte qui me faisait rêver depuis plus de 20 ans, j’étais l’homme le plus fier du monde et le reste m’était égal.

Lion donc, par réflexe, et après avoir perdu plusieurs jours à essayer de télécharger la chose, je copierai l’installeur sur un disque externe, je ne le savais pas encore, mais je venais de me sauver la mise pour plus tard, car c’est effectivement ce qu’il faut faire, depuis Lion, il est fortement conseillé de faire une copie de l’installer avant de continuer… au cas où.

Mon Mac ne redémarrera pas, je fais partie de ceux qui ont eu le petit bug de l’installeur, tu sais, le fameux fichier qui n’était pas supprimé et qui faisait que Lion croyait qu’il n’était pas installé… et donc relançait la procédure d’installation… en boucle.

Sur le coup j’ai été très surpris, pas habitué à ce genre de bogue bizarre chez Apple, un peu comme si tous les matins je me réveillais en me demandant si j’étais réveillé…

C’est à partir de Lion que je vais aussi découvrir ce que c’est de devoir régulièrement rebooter son ordinateur sans raison, pratique que je ne maîtrisais pas, n’ayant jamais utilisé Windows…

Lion et le nouveau paradigme d’Apple concernant les protocoles réseaux, les autres machines locales qui changent de nom ou d’icône, qui sont connectées tout en étant déconnectées, déconnectées mais connectées, ou encore déconnectées et déconnectées… quand ce n’était pas tout simplement connectées parce que connectées (plutôt rare ça).

Web développeur de mon état, j’ai toujours eu un serveur Mac chez moi sur lequel j’hébergeais mes services, Apache, MySQL et PHP que je partageais dans une zone DNS locale limitée à mon réseau particulier que j’avais configuré en éditant les fichiers de Bind9.

Mon premier AMP, je l’ai compilé moi-même, mon QuickSilver 867 s’en rappelle encore, PHP m’avais à l’époque pris 5 heures pour se compiler, mais j’avais réussi.

Puis vint Mountain Lion et un sursaut d’amélioration, enfin pas sur le réseau, et encore moins sur le WiFi, Airport ayant décidé d’être de plus en plus mauvais au fil des versions sur ce point-là.

Même pas mal, je suis plus dur à cuir que ça, je ne vais pas me laisser bouffer par ce paquet de silice et je m’en sortirais quand même, mais avec ce sentiment que la qualité se dégrade de plus en plus.

Apple va continuer et sortir Maverick… qui sera l’un des éléments qui me pousseront à démissionner, ne supportant plus les griefs légitimes des clients à qui je devais mentir ouvertement, les accusant presque d’être à l’origine de tous leurs maux, alors que j’avais les mêmes problèmes en privé, mais que je ne pouvais pas le dire.

Difficile d’être formateur sur les technologies Apple et de se retrouver comme un con devant 10 élèves en train d’essayer de leur expliquer comment configurer Time Machine sur une Time Capsule… visible, mais inaccessible et qui donc refuse de valider la procédure d’activation. Obligé de finir mes démonstrations par des pirouettes, accusant la mauvaise qualité des connexions Internet pour expliquer les dysfonctionnements… du réseau local… hm !

« Messages », « Facetime », « Accéder à mon Mac », technologies qui ont une fâcheuse habitude à ne pas fonctionner, ou que l’on doit régulièrement réactiver sans raison apparente. Technologies qui pourtant faisaient la force d’Apple et qui représentait pur moi l’essentiel de mes démonstrations.

Quand j’y repense, j’ai un peu honte d’avoir ainsi roulé mes clients dans la farine en accusant tout l’Internet alors que la connexion entre les deux appareils n’était que locale (environ 4 mètres, quand même !)…

Marre de mentir, je finirai par dire mes 4 vérités à mon patron qui en récompense me foutra à la porte, on ne critique pas Apple voyons.

Bon d’accord, il ne m’a pas viré que pour ça, mais ce bordel ambiant me faisait vraiment honte et c’était de plus en plus difficile de recevoir les clients, sachant que la plupart des problèmes qu’ils soulevaient étaient bien causés par cette médiocratisation en cours, mais que je devais réfuter pour défendre Apple coûte que coûte.

Tu n’imagines pas Tim à quel point j’ai été soulagé de me retrouver au chômage, certes je perdais des sous, mais je gagnais tellement en qualité de vie.

J’ai repris mon ancienne occupation de père au foyer, et accessoirement de Web Développeur, et j’ai commencé à démonter WordPress, j’avais une idée pour un thème particulièrement optimisé, responsive, moderne et tout et tout, la consécration de nombreuses années de développements personnels enfin personnifiée dans un produit que j’allais peut être pouvoir vendre.
Pas facile le WP, mais bon, c’est le jeu.

Entre temps, mon QuickSilver va mourir de son alimentation (bonjour le choc après toutes ces années de bons et loyaux services), je réussirai à récupérer les données hébergées sur le serveur en démontant le disque dur et activerais le serveur local de mon iMac pour continuer à bosser.

En passant, merci d’avoir supprimé le partage Web, heureusement que je maîtrise (à mon humble niveau) le terminal et que je sais plus où moins quels fichiers modifier pour relancer mes services, cela ne me prendra que deux ou trois jours… seulement !

Mais voilà, je n’imaginais pas Apple faire pire, c’était sans compter sur Yosemite, le pire « truc » jamais produit par la pomme, une sorte de version bâtarde de Mac OS 7.5.5… en plus… euh… moderne.

C’était pourtant bien parti, j’avais fait la demande pour le bêta test public et j’avais été accepté, j’ai donc eu la chance de tester Yosemite avant tout le mode et pour une bêta je l’avais trouvé plutôt stable.

J’ai donc sauté sur Yosemite à sa sortie publique, je le regrette fortement, si j’avais su que cela m’amènerait aujourd’hui à reconsidérer mon métier…

Dès le premier redémarrage de Yosemite, je vais perdre mon serveur… ne cherchez pas le lien, c’est un peu comme si vous vous vouliez installer un nouvel autoradio dans votre voiture, et qu’en retour la cafetière du voisin se mettait à faire du thé.

L’explication est d’une simplicité presque vexante et se résume à la superbe nouvelle barre d’adresse / recherche unifiée de Safari qui décide d’elle même si vous tapez une URL ou une requête Google…

Rappelez-vous ci-dessus je vous parlais de mon serveur sur lequel j’avais défini une zone DNS très privée (toutes mes machines ayant leur propre nom de domaine du type : roger.truc, albert.truc) qui définissait une extension de domaine fictive le .truc

Ben voilà, avec Yosemite, les bogus sont tout simplement impossibles car Safari considère sans vous le demander que c’est une requête Google… bonjour la faille de sécurité, je suis même étonné que personne ne se soit lancé dans une procédure sur ce point-là, mais en même temps, les professionnels étant sérieux par définition, il serait logique de penser qu’ils utilisent de moins en moins le Mac, préférant utiliser de vrais outils.

Je vais sauver ma mise grâce à Ubuntu Server 14.04 que j’installe en urgence sur mon vénérable MacBook Noir, deux heures après, j’ai un serveur fonctionnel, mes bogus sont revenus grâce à Firefox et FirefoxDevelopperEdition (une tuerie ce truc) et le serveur tourne H24 depuis plusieurs mois sans le moindre problème, un seul reboot pour raison de sécurité.

Je suis du genre à persévérer et faire abstraction, je ne vais pas vous citer tous les problèmes rencontrés, j’en aurais pour 8 pages de plus, citons seulement Safari, qui pour un développeur Web est quand même un outil important.

La barre d’adresse / recherche unifiée ! Mon cher Tim, as tu seulement posé la question à un seul développeur Web avant de valider cette aberration ?

J’ai un projet sur le Net, et je le protège avec un certificat SSL, tu sais, le petit ’s’ que l’on ajoute au protocole dans l’adresse, le HTTP devenant HTTPS…

Ben tu vois, je clique dans la barre d’adresse et je n’ai que le nom de domaine machin.com, envolé les trois w et le http://…

Bon, ce n’est pas grave, je le tape à la main pour vérifier mon certificat, puis constatant que ça marche, je reviens sur le HTTP pour vérifier que je me fais bien éjecter par mon script.

Ah ben là, l’adresse est entière, chouette, je n’ai qu’a enlever le ‘s’ et ça roule.

Je dois retester en HTTPS, pas de problème, je clique dans la barre… et toute la partie protocole à encore disparue… c’est lourdingue comme tu ne l’imagines pas Tim, vraiment lourdingue.

Et je ne parle pas des cookies qui me demanderont plusieurs heures de recherches dans les arcanes sombres de Safari pour les retrouver, ou leurs gestions dans les préférences qui d’un coup se limitent à « supprimer toutes les infos liées aux sites (cookies, caches, LocalDB) » là où avant on pouvait supprimer juste le cache ou juste le cookie…

Mais bon je suis tenace et quand je reçois un mail d’Apple me demandent de tester la dernière bêta 10.10.3 avec le tout nouveau Photo, je m’exécute tranquillement et me lance dans l’aventure… et quelle aventure mon ami, la dernière pour tout te dire, juste la dernière, si j’avais su…

Apple me conseille d’installer cette bêta sur un disque externe, merci de me le préciser, comme si je n’avais pas un disque dédié, je te rappelle Tim que je l’ai déjà testé le bidule au cas où tu aies oublié.

Je vous écris cet article depuis le Mac de mon fils, mon iMac n’a pas survécu à ce test et il est mort tranquillement quelques jours plus tard…

Tu vois Tim, avec ta parano de vouloir tout contrôler, tu identifies les machines éligibles aux bêta test par leur numéro de série…

Je reprends, tu me conseilles d’installer la bêta sur un disque externe, ce que je vais faire, mais tu identifies ma machine sur son serial number…

Une fois de retour sur ma version normale, je vais découvrir un App Store complètement bogué qui est bloqué sur la mise à jour 10.10.3 bêta… euh… et plus aucune autre mise à jour ne me sera plus jamais proposées.

Les lenteurs vont se faire de plus en plus régulières et violentes, jusqu’à tout à l’heure ou je serai forcé de redémarrer le Mac… il ne redémarrera pas.

J’ai tout essayé, je te rappelle mon cher Tim que je suis un ancien tech certifié, je crois savoir à peu près quoi faire dans ces cas-là.

Finalement, j’ai tout réinstallé et tu me croiras si tu veux, mais maintenant j’ai un Yosemite 10.10.0 et App Store ne me propose que la 10.10.3 bêta.

iTunes et mail sont lancés, mais n’ont plus de fenêtres… cool.

Les lenteurs sont juste incroyables, environ 5 minutes d’attentes toutes les 5 secondes…

Dernière chance, formatage et clean installe… en croisant tous les doigts que je trouverai pour que Time Machine fonctionne…

Le couperet est tombé, ma sauvegarde Time Machine, que j’ai pourtant vérifiée avant de lancer la clean installe, est corrompue…

J’ai TOUT perdu, je n’arrive même pas à ouvrir l’image disque, 816 Go de données qui occupent de l’espace mais qui ne sont pas récupérables…

J’ai du mal à écrire, je n’ai aucun moyen de calculer la perte, elle est juste énorme.

Bien entendu, le dossier contenant une grande partie des éléments de mon procès en cours fait partie des éléments perdus, la partie adverse va pouvoir s’amuser, la plupart de mes preuves ont disparues…

En gros, pour me remercier d’avoir testé ton machin, tu viens juste de supprimer ma vie informatique, plus de 20 ans de travail, des milliers de fichiers originaux, des millions de lignes de codes…

Comme tu as pu le voir au cours de mon récit, j’en ai fait des efforts pour toi, mais là, j’arrête les frais, ce n’est plus possible, de toute façon je n’ai plus l’envie, c’est plié, adieu Apple…

Il est 2 h 30 du matin, l’iMac est sur la table d’opération depuis 17 h 30 et je crois que je vais arrêter de me battre, je dois accepter, c’est ainsi, c’est la vie.

Je ne suis même pas en colère Tim, tu vois, quand l’iMac fonctionnait encore, je pestais à chaque bug et je m’énervais 50 fois par jour, maintenant, je n’ai plus rien, donc fatalement plus de raison de m’énerver.

Non, je ne suis plus en colère Tim, je suis juste triste et plutôt serein, aujourd’hui j’ai une idée claire de mon avenir, car il ne sera plus lié à l’informatique, ces expériences ont eu raison de ma passion, je vais maintenant pouvoir me consacrer à des choses plus importantes, mes enfants, mon jardin, mes amis, ma famille et l’écriture, j’aime écrire.

Salut à toi, Tim, bonne chance pour la suite.

Ce fut malgré tout une belle aventure.

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(")_(") Maître Maa

Je suis… prêt…

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Aux armes citoyens…

Selon l’article 35 de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1793, il est du devoir du peuple d’intervenir quand l’état ne fait plus le sien.

Article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 : Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Pour ma part, la justice pourrito-corrompue de la Réunion à pris le parti de me piétiner moi et mes droits alors que mes demandes sont parfaitement légitimes, tout en couvrant la partie adverse coupable de délits à répétition à mon encontre, la complaisant dans son sentiment d’impunité.

Je ne reconnais plus la légitimité du gouvernement français ni de ses institutions aux ordres d’un impérialisme que je ne reconnais pas non plus.

Les inégalités observées ne peuvent être le fruit de la société telle qu’elle devrait être, mais belle est bien volontaires et organisées, le but étant de favoriser l’émergence d’une guerre civile sur nos terres.

Ne soyons pas dupes, cette guerre ne servira pas nos intérêts, bien loin s’en faut.

Aujourd’hui je suis littéralement harcelé par les institutions qui continuent de me prendre ce que je n’ai pas (mais y arrivent quand même, on peut faire confiance aux banques pour ça) tout en faisant la sourde oreille quant à la recherche des véritables causes.

En jouant aux cons comme ils le font, les mafieux du système sont en train de construire leurs propres échafauds, avec un peu de chance on restera dans la métaphore, mais quand on regarde l’état dans lequel se trouve notre planète, je crains que le jour où ça va péter, ce ne soit malheureusement une justice de sang qui en ressort…

Pour Leonarda le pantin de l’Élysée n’a pas hésité en lui accordant plusieurs dizaines de milliers d’euros pour qu’elle puisse se payer (à elle, ses frères, ses sœurs, ses parents, ses oncles et ses tantes…) un avocat digne de ce nom, pour un citoyen français (plusieurs générations quand même, merde !), l’état français aura l’immense mansuétude de lui offrir une petite centaine d’euros…

Et ce n’est qu’un exemple parmi bien d’autres.

Sachant que mon histoire n’est au départ qu’une bête divorce et considérant que l’expérience acquise par l’institution judiciaire sur ce sujet est suffisante pour un traitement rapide, les erreurs (nombreuses) que l’on retrouve dans la gestion de mon dossier laissent à penser que tout ceci n’est que le fruit d’un système totalement corrompu et sclérosé.

Il faut bien comprendre que la corruption dont je parle n’est pas visible sous la forme d’une intervention ponctuelle motivée par la partie adverse, non, nous vivons aujourd’hui dans un système qui est tellement établi que les dysfonctionnements se produisent par réflexe, presque naturellement.

Il suffit d’être bénéficiaire de l’aide juridictionnel pour voir votre dossier complètement détruit par votre avocat à la faveur de l’autre partie, aucun ordre n’a pourtant été donné, non, c’est juste que par habitude, les avocats réunionnais se foutent royalement de la gueule des justiciables, comme ça, parce que tous les autres avocats le font et que c’est dans les pratiques courantes.

Ajoutons à cela, le même genre de gestion concernant les pères au foyer, qui n’en déplaise à l’abrutie de la théorie du genre n’existent tout simplement pas, et votre dossier ne sera même pas étudié par le juge, le père doit être condamné en cas de divorce, surtout s’il est pauvre, point !

La troisième couche à une couleur plus locale, si votre agresseur est un homme bien établi, chef d’entreprise (un monopole bien sûr), il peut vous massacrer, il ne risquera au pire qu’un petit rappel à la loi. Exit le scénario absolument abject du guet-apens, le kidnapping des enfants le midi pour forcer la victime à se rendre chez l’agresseur (qui profitera d’être chez lui pour s’offrir la tête d’un handicapé, au passage), les provocations, et surtout la destruction d’un bien matériel.

Pour le chômeur c’est une agression à 2 000 €, pour l’agresseur, c’est une coupe de champagne avec le procureur.

À la Réunion, tout ceci est tellement ancré dans les meurs, que les magistrats ne se rendent même plus compte du mal qu’ils font.

Dans mon affaire, je subis trois différentes formes de corruption qui sont appliquées sans réflexion.

Malheureusement pour eux, je suis un putain d’enculé de fils de pute et je n’ai pas l’intention de me laisser faire.

La merde dans laquelle ils m’ont mis ne pourra que croître, et quand ils seront obligés de passer par la case justice pour demander leurs dédommagements, je saurais alors leur rappeler toute l’histoire, je leur montrerais alors les documents prouvant ma bonne foi et s’ils décident de me condamner quand même (ce qu’ils feront, car ils n’auront jamais le courage de reconnaître leurs fautes), alors je purgerai ma peine, mais en sortant, je quitterai ce pays de merde pour un autre (j’ai déjà fait ma demande d’asile politique, j’attends la réponde de Moscou).

Elle est belle ma bergerie… ou pas !

Nous sommes très nombreux à subir ces dysfonctionnements, mais la grande majorité préfère se la jouer en mouton bien obéissant, qu’à cela ne tienne, les autres, ceux qui luttent ont décidé d’un commun accord que les moutons avaient choisi leurs morts, c’est donc devenu leur problème.

Quand les guillotines sortiront, il n’y aura pas que des pourritures qui seront raccourcies, je crains que beaucoup de moutons n’y passent aussi, pour l’exemple.

C’est nous les citoyens qui faisons les sociétés dans lesquelles nous voulons vivre, les moutons sont des traîtres et des lâches qui seront traités comme des complices du système et ils seront jugés en complices.

Tous les accusés de Nuremberg qui se sont dédouanés en disant qu’ils ne faisaient qu’obéir aux ordres ont été exécutés quand même, il serait bon je pense que les moutons ne l’oublient pas, la justice du peuple est très forte, et elle va faire très mal.

J’ai reçu un écho favorable de la part de la CEDH qui apparemment serait ravie de traiter mon affaire tellement elle adore se payer les petits enculés de mafieux locaux.

Le dossier à monter est particulièrement coton, mais j’espère réunir tous les éléments qui me permettront d’engager la procédure au niveau européen.

Que Mme L I……., M. B B……, M. D P….. et les juges qui se sont occupés de mon dossier profites encore de leurs positions privilégiées, seule ma mort les sauvera de leur perte, car j’irai au bout de mes convictions et les sanctions seront calculées par rapport aux préjudices qu’ils m’ont fait subir par leur incompétence et leur inaction.

Il y’a de la radiation et de la place au barreau de St Pierre dans l’air.

Désormais, mon dossier est entre les mains d’un professionnel de la loi non réunionnais et incorruptible.

Citoyens, l’heure est grave et sans réaction de la part des moutons, on court à la guerre, vous êtes tous prévenus.

Bien entendu, c’est mon discours qui sera montré du doigt comme celui d’un agitateur qui cherche à déstabiliser le système.

La vérité est que nous sommes très nombreux à avoir le même sentiment et les autorités l’ont très bien compris, les attentats sous faux drapeaux et le chantage à l’antisémitisme devraient éveiller les esprits les plus critiques et les préparer à la suite, le fait qu’un sioniste déclaré, accessoirement employé de la CIA équipe aujourd’hui sa police municipale avec des armes létales devrait vous donner une idée de la direction prise par la France.

Les moutons préfèrent payer pour faire semblant d’être Charlie, ils payeront pour avoir été des Philippe Pétain et seront alors jugés et traités comme lui.

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Si tu n’as plus de pain à manger, mange de la brioche…

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Aide-toi toi-même, les associations feront le reste…

Papalacaz est un homme (eh oui, il en existe encore quelques-uns, désolé…) de 45 ans, d’apparente bonne santé, éduqué (si si !), cultivé, curieux, amoureux de sa planète et des êtres qui la peuple, en gros, je suis juste un poil presque pareil que tous le monde tout en étant différent quand même, parce que je suis humain et que tous les humains se ressemblent entre autres choses grâce à leurs différences…

Depuis quelques mois (années…), je subis un harcèlement absolument pathétique de la part d’une personne que j’ai aimé plus de 23 ans et qui aujourd’hui me fait payer des crimes inexistants que j’aurais commis contre elle toutes ses années. Quand on connaît aussi bien une personne pour avoir partagé sa vie plus de 20 ans, il ne faut pas plus de quelques mots ou de quelques actions pour reconnaître l’influence de « l’autre ».

Cet autre qui ira jusqu’à l’agression physique à mon encontre (j’ai déjà raconté cette histoire dans un autre billet)…

Financièrement, j’ai été ruiné le lendemain de son départ (abandon du domicile conjugal et des enfants avant de réaliser l’impact de son acte trois semaines plus tard, quand même, merde !), chômeur, handicapé, ce n’est pas ce que l’on fait de mieux pour rebondir dans la vie et tout recommencer.

Par la suite, elle ne se confortera pas à ses obligations pourtant écrites noir sur blanc dans l’Ordonnance de Non-Conciliation et c’est encore moi qui vais de voir payer les frais bancaires provoqués par ses oublis…

Elle viendra chez moi en mon absence, et ce en présence de mes enfants pourtant en garde alternée chez moi ce jour-là. Elle leur dira simplement, qu’elle est chez elle, que cette maison est encore à elle, bla-bla…

J’ai fait lire l’ONC à mes enfants, ils ont été véritablement choqués par l’énormité du mensonge de leur mère…

Mauvais père…

Un enfant malade, elle me refusera le carnet de santé…

Quelques mois plus tard, elle ira jusqu’à m’accuser d’être un mauvais père parce que je refuse de m’occuper du vaccin de l’autre de mes fils…

Entre temps, elle à bien pensé à me virer de la MGEN…

Elle, prof majorée avec quelques échelons, vire son mari chômeur de sa mutuelle et l’accuse ensuite d’être un mauvais père qui ne s’acquitte pas de ses obligations de santé envers ses enfants…

Elle refuse encore aujourd’hui de me fournir une copie de sa carte de mutuelle pour que je puisse m’occuper des enfants quand ils sont chez moi, mais c’est moi le mauvais père qui ne veux pas soigner ses enfants.

Pratiquement deux ans plus tard, aucunes des exactions commises par mon ex ne lui ont été reprochés, aucunes (elles se comptent pourtant par dizaines), et son petit ami à vu ma plainte classée (là aussi, vous trouverez l’histoire dans un autre billet).

Pendant ce temps, ma situation se dégrade encore et encore, les frais s’accumulent, les découverts se pointent, le réfrigérateur se vide, le moral baisse, la motivation disparaît, remplacée petit à petit par de la haine envers ce système totalement déconnecté de la réalité des affaires que subissent pourtant nombre de justiciables presque tous les jours ici en France en 2014 !

Meurtre ou suicide ?

Car il ne faut pas être un expert pour comprendre qu’à force de prendre quelqu’un pour un con, celui-ci finit fatalement par le devenir forcément pour ensuite en adopter le comportement.

Je ne suis pas violent, au contraire, mais au bout de deux ans et une liste longue comme le bras de délits commis par mon ex et son copain alors que la procédure de divorce est en cours, il faut bien reconnaître que quelque part, je suis un peu en droit de demander réparation. Mais comme l’appareil judiciaire semble incompétent en la matière, je n’ai pas d’autre choix que de me défendre par mes propres moyens. Surtout lorsque que l’on est en mesure de constater par les faits, que cette situation semble parfaitement convenir au législateur, qui dès lors adopte un train de sénateur (et les frais de fonctionnements inhérents, bien sûr…) et fait bien traîner les choses.

J’ai bien pensé me venger en rendent œil pour œil, mais comme l’abruti en question n’est pas un chat, qu’il est bien plus lourd que moi et que je ne vois pas de murs conséquents près de chez lui, j’hésite à reproduire l’affaire du chat de Marseille, et ce malgré la célérité avec laquelle l’appareil judiciaire à procédé au règlement de ce préjudice.

Recherche, arrestation, jugement et incarcération en moins de 48 h, à leur décharge, ils ont été ralentis par l’identification, sinon c’était plié dans la journée !

Pour ma part, j’ai fourni l’adresse et le nom de mon agresseur, ce qui explique les 14 mois qu’aura pris l’enquête et le classement qui s’en suivra.

Citoyen d’en bas, descend encore un peu s’il te plaît, tu bouge encore et ce n’est pas normal…

Aujourd’hui 24 octobre 2014 à 11 h, je sors d’une association d’aide aux nécessiteux, je suis allé demander un colis alimentaire pour pouvoir nourrir mes enfants…

Cette étape de ma vie restera à jamais gravée dans mon esprit, ce n’est pas facile d’aller demander ce genre de choses, on essaye toujours de repousser l’échéance, par fierté sans doute.

De père au foyer heureux, s’acquittant de sa tâche depuis plus de 10 ans pour que Mme puisse développer sa carrière, je suis passé à « personne vivant en dessous du seuil de pauvreté », agressée et harcelée presque tous les jours avec la reconnaissance et l’impunité accordée par l’inaction de la justice.

En gros, ma situation est normale !

Moi, chômeur, j’ai dépensé trois ans de salaire en 19 mois (et d’où vient le fric d’après vous ?), pendant qu’elle, prof majorée, volait les comptes et épargnait…

C’est un préjudice absolument énorme pour moi, et cela va bien au-delà des sommes annoncées, je ne suis pas du genre à m’attacher à ce genre de richesses, mais que l’on me rembourse au moins ce qui m’a été volé et les frais associés, ce serait la moindre des choses, presque 20 000 € pour un chômeur, ce n’est pas rien.

Aujourd’hui, j’ai passé un cap dans ma déchéance et vous imaginez bien que psychologiquement j’ai aussi passé un cap dans la haine qui me nourrit désormais.

Alors, quand on regarde le nombre de délits produits par les parties adverses, et que l’on compare cette longue liste à l’absence totale de réaction de la justice, que l’on me donne une seule bonne raison pour que je ne me venge pas « violemment » ?

J’ai vraiment très peur à ma France parce que ce que je vis n’est qu’un exemple parmi de très nombreux autres.

Les petits justiciables « d’en bas » et « sans dents » comme moi ont bien compris que seules les armes désormais pourront nous soulager.

Comprenez bien, au point où nous en sommes tous, toutes les solutions seront explorées et les dégâts collatéraux seront royalement ignorés.

J’ai peur parce que je ne vois pas d’autre issue que la révolution et l’éradication systématique des parasites qui pourrissent notre belle planète.

J’ai peur parce que les responsables semblent vouloir au contraire faire tout ce qui est en leurs pouvoirs pour que justement toute cette merde finisse par imploser sous son propre poids.

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(")_(") Maître Maa

Aux armes citoyens, sortez les guillotines !

palestine4everArticle 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793

Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

M. Hollande, comme suite à votre déclaration de soutien envers le gouvernement israélien actuel au sujet de leur nettoyage ethnique en cours dans la bande de Gaza, je me retrouve dans l’obligation de sortir de ma réserve et d’annoncer qu’officiellement, le citoyen français que je suis ne peut moralement continuer à vous soutenir, comme le devrait pourtant tout citoyen envers son président légitimement élu.

En soutenant officiellement un gouvernement considéré comme criminel par une grande majorité des populations de notre planète depuis plus d’un demi siècle [1], vous stigmatisez la France et les Français en donnant l’impression aux autres peuples du monde que nous, citoyens de ce pays, vous soutenons !

Non, M. Hollande, les français ne vous soutiennent pas, ni sur ce coup-là, ni sur bien d’autres, voire sur presque tout ce que vous entreprenez (entendre aussi, ce que vous n’entreprenez pas), ils ne sont pas d’accord avec votre politique en général et encore moins avec cette pathétique campagne de « soutien » envers le gouvernement criminel de Sion

Il n’est pas question que les Palestiniens puissent croire un seul millième de seconde que je suis en accord avec les déclarations du président officiellement élu de mon pays, il est donc urgent de montrer mon total désaccord envers lui.

Moi citoyen français, suis donc dans l’obligation de renier ma patrie de naissance et de cœur tant que mon président continuera à se prostituer devant un gouvernement illégitime et criminel et qu’il ne sera jugé et condamné pour ce crime.

Non, les Français ne soutiennent pas les sionistes, oui, ils soutiennent les Palestiniens et oui, ils se souviendront de vous comme du plus lâche président qu’ils aient jamais eu.

Espérez maintenant que la foule ne réclame son dû, les traîtres seront traités comme ils l’ont toujours été, et il n’y a aucune raison pour que vous échappiez à la sentence qui vous est réservée.

Amis Palestiniens, croyez les peuples du monde, n’écoutez pas leurs gouvernements, la grande majorité des enfants de la Terre que nous sommes, vous soutiennent vous et non vos agresseurs. J’emploie ici le pluriel, car la politique de Sion ne serait jamais devenue ce qu’elle est aujourd’hui sans la collaboration d’autres puissances internationales qui ont depuis trop longtemps apporté leur caution voire leur contribution pour certains, afin d’aider le peuple élu à commettre tous ses crimes, hier comme aujourd’hui et, si on les écoutait, demain….

Sauvons la Palestine, écrivons, parlons, partageons, bloguons, crions, chantons, que le monde entier, et les Palestiniens en premiers sachent combien sont nombreux les gens qui les soutiennent.

Et que le Temple de Sion et leurs alliés, prennent conscience dans le même temps, du nombre grandissant d’enfants de la Terre qui ne les supportent plus.

Aujourd’hui, c’est donc le cœur gros que je décide de brûler ma carte d’identité française.

J’en aurai une nouvelle quand les traîtres auront été jugés et condamnés.

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(")_(") Maître Maa

Notes
[1] : Israël est connu et reconnu pour être « l’état » qui viole le plus de lois internationales depuis près de 70 ans sans pour autant qu’une seule sanction n’ait été appliquée par la communauté internationale. Cette même communauté internationale qui dans le même temps, reconnaissait pourtant les violations en elles-mêmes. D’autres pays ont vu leur sol bombardé pendant des décennies pour bien moins que ça, mais avec l’accord de la (toujours et même) communauté internationale qui bien souvent, préfère baisser sa culotte devant l’envoyé de Sion…

Papalacaz, un métier qui n’existe pas…

DSCN2647Et ne comptez pas sur Mme Belkacem pour que cela change…

Votre conjoint vous gonfle et vous avez envie de vous barrer de votre domicile conjugal ?

Vous avez arrêté de travailler pour vous occuper de vos enfants et votre situation financière est un peu compliquée (pour ne pas dire difficile), car vous êtes un peu, par obligation envers votre progéniture il va de soi, dépendant du salaire de votre conjoint ?

Alors, comme vous êtes une personne moderne, vous vous lancez dans une quête d’informations sur le sujet avec l’aide votre grand ami Google.

Diable, que d’informations en retour, il va falloir trier le bon grain de l’ivraie…

La première chose que vous allez remarquer, c’est les conseils de base qui sont assez récurrents pour être pris au sérieux.

Quels que soient le site ou l’intervenant, vous remarquerez quelques points qui reviennent très souvent :

  • On ne quitte jamais le domicile conjugal sans ses enfants (même quelques jours),
  • On ne vide pas les comptes,
  • On n’envoie surtout pas le futur nouveau conjoint discuter physiquement avec l’ancien (comprendre, pas de contrat sur la tête de l’ancien conjoint),

Les deux premiers points ont d’autant plus d’importance si vous êtes celui qui entretien le couple, comprendre, celui qui n’a pas arrêté de travailler pour se consacrer aux enfants. Sinon, vous risquez de voir l’accusation renforcée de fait.

Le troisième est juste ce que l’on appelle en langage humain standard, du bon sens

Mais voilà, ce que les textes nous disent ne représente malheureusement que la théorie, car dans la réalité, tout ceci n’est applicable que dans le cas, très courant il est vrai, ou c’est madame qui à arrêté de travailler, qui est dans une situation financière compliquée, et que c’est monsieur qui est parti en abandonnant ses enfants.

Si jamais, comme moi, vous avez le malheur d’être un de ces couples modernes qui ont choisi de mettre « papa » à la cuisine, aux couches, aux biberons, soit en gros « à la maison », la séparation ne vas pas se dérouler « comme prévu »…

Pour faire court, votre femme peut partir sans ses enfants, elle peut vider les comptes, et elle peut même vous envoyer son nouveau mec vous casser la gueule, je vous le dis tous de suite en parfaite connaissance de cause, elle ne sera jamais inquiétée, jamais !

Vous verrez même votre plainte classée… et ce n’est pas votre situation de personne diminuée (handicapée pour être précis) qui changera quoi que se soit.

Faites une autre recherche sur le net, et vous verrez que pour ce genre de faits divers, si jamais c’est le papa qui s’amuse à cela, il est immédiatement remis sur le droit chemin par le système judiciaire français, il peut même se retrouver avec de la prison avec sursis (voir carrément de la prison ferme) et très souvent, il sera condamné à verser des sommes considérables en « dommages et intérêts ».

Bien entendu, vous ne trouverez pas ce genre d’information sur le site de Mme Balkacem, elle qui contribue à ce que cet écart de traitement soit au contraire encore plus important en attribuant à « la femme » encore plus de droits, moins de devoirs et donc beaucoup plus de pouvoirs…

Maintenant que vous savez que le fabuleux métier de père au foyer n’existe pas vraiment, ou seulement dans la tête des « faiseurs de promesses avant les élections », vous voici armé pour supporter la suite, qui est d’entrée très mal partie, sachez-le…

Le premier réflexe qui nous vient à l’esprit, nous autres papas au foyer, est de rechercher du soutien, en commençant par celui des associations qui défendent notre cause.

À la Réunion, il n’y en a qu’une et c’est donc avec une certaine logique que vous la contactez dans l’espoir que celle-ci vous aidera d’une manière ou d’une autre.

Contact pris, celle-ci vous conseille alors une avocate de votre région (Saint-Pierre pour moi) qui s’est engagée auprès de l’association et qui est censée s’occuper des dossiers des adhérents avec plus d’attention que pour les autres dossiers…

En y regardant de plus près, vous découvrez que cette association est parrainée par plusieurs personnalités locales qui ne sont pas inconnues et qui sont même, pour certaines, connues pour ne pas avoir peur de dire ce qu’elles pensent.

Le tout ne fait que vous conforter, vous vous sentez enfin soutenu, vous adhérez, vous prenez contact avec l’avocate conseillée et vous engagez alors la procédure…

Vous voici tout frais adhérent de l’association Paire 2 Cœurs, carte en main, procédure en cours, serein et attendant la suite avec confiance…

La réalité sera toute autre, et c’est un peu le but de cet article, sachez-le tout de suite, il s’agit quelque part d’une belle arnaque, dans tous les sens du terme.

L’avocate désignée est une menteuse professionnelle qui n’hésitera pas à vous expliquer le déroulement de la procédure qu’elle va initier, tout en en mettant une autre en place, et qui bien entendu dessert totalement vos intérêts.

Elle ne répondra pas à vos messages, ne vous recevra qu’une fois ou deux pour vous dire des choses honteusement mensongères pour vous rassurer et faire en sorte que vous laissiez passer le temps en faveur de la partie adverse.

Elle n’hésitera pas à rajouter une couche de mensonge, quand au cours du déroulement de la procédure, vous allez découvrir des éléments qui ne semblent pas correspondre à ce qu’elle vous avait promis. Sur ce dernier point, elle n’hésitera pas à vous raconter des histoires rocambolesques pour vous embrouiller l’esprit.

Bien entendu, elle prendra votre fric, vous n’avez aucune inquiétude à avoir sur ce point-là.

L’avocate ne répondant pas à vos messages, vous prendrez alors contact avec l’association et vous découvrirez alors qu’elle est devenue d’un coup très silencieuse.

Silence qui une fois constaté vous forcera à admettre qu’il y’a collusion et donc complicité entre elle et l’avocate…

À ce stade de la procédure, vous n’avez que deux solutions, soit vous continuez sans rien changer et vous êtes sûrs de ne pas voir un seul de vos griefs reconnus et donc au contraire de les voir se retourner contre-vous, soit vous décidez de quitter cette avocate pour tenter une autre voix avec un autre défenseur.

J’ai choisi pour ma part la deuxième voix, qui n’est pas la plus facile, étant déjà dans une situation financière compliquée, savoir que vous venez de perdre 1 500 € d’honoraires pour rien, c’est déjà insupportable, mais en plus, savoir qu’il va falloir assumer les honoraires du prochain défenseur… bref.

Mais quand le nouveau défenseur, une fois votre dossier en main et après l’avoir analysé, vous explique que vous vous êtes fait entuber d’un bout à l’autre de l’histoire et que la suite risque d’être pus que très délicate, vous évoluez alors entre deux sentiments, le premier étant de prendre les armes et d’aller vous expliquer avec vos détracteurs, l’avocate, l’association, votre femme et bien entendu son agresseur de petit ami, le deuxième étant de vous reprendre et d’envisager la suite en respectant les procédures. J’ai bien entendu choisi la deuxième voix.

Mais voilà, la première avocate ayant outrageusement menti dès le dépôt de la première requête, vous vous retrouvez dans l’obligation de demander l’annulation pure et simple de la procédure pour pouvoir enfin engager la bonne… et là, c’est chaud bouillant.

L’argument utilisé pour demander l’annulation mettant en cause votre premier défenseur, le magistrat en charge de votre dossier va devoir prendre une décision, s’il accepte votre requête, il reconnaît implicitement les écarts de votre défenseur, et dans le monde judiciaire, rares sont les magistrats qui ont le courage de s’en prendre à un membre de leur corporation.

Quand bien même il accepte votre requête en annulation, la partie adverse va alors considérer cette action comme étant une déclaration de guerre, elle mettra alors en œuvre tout ce qui est en sa possession pour faire traîner les choses, et quand une des deux parties n’est pas très riche, le temps joue généralement en faveur de celui qui a les moyens d’attendre, ce qui n’est pas mon cas.

S’il n’accepte pas la requête, vous êtes bons pour pleurer et compter vos pertes, qui sont, vous vous en doutez, innombrables.

À commencer par la perte de vos enfants, votre situation financière ne vous permettant plus de les assumer pleinement (l’argument consistant à faire reconnaître l’asphyxie financière de l’autre n’étant pas recevable puisque ce n’est pas la bonne requête qui a été initiée) et aucune possibilité de faire reconnaître cette situation comme étant le résultat du comportement de votre conjoint. Le magistrat se fout bien de savoir que vous êtes devenu pauvre grâce aux actions destructives de votre conjoint, il s’en tiendra à la requête initiale qui ne prend pas ce genre de détails en compte.

10 ans de votre vie sacrifiée pour rien, un travail à plein temps non reconnu, votre carrière au point mort et que vous devez relancer, des comptes totalement asséchés et aucun espoir d’obtenir la moindre compensation… avouez qu’il faut avoir une certaine confiance pour continuer à vivre après ça.

Mais voilà, je n’ai plus rien à perdre, alors je ne vais pas lâcher l’affaire, cela prendra le temps qu’il faut, mais je me battrai, et quoi qu’on en dise, je le ferai avant tout pour mes enfants, quand on à vécu cette aventure fabuleuse qui est celle du parent au foyer, ceux-ci deviennent de fait comme partie intégrante de votre chaire et vous avec énormément de mal à imaginer la suite de votre vie sans eux.

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(")_(") Maître Maa

Papalacaz, le cri du cœur…

wp-media-15Père au foyer, le plus beau métier du monde…

L’histoire que je vais vous raconter est une histoire vraie !

Je vais vous raconter une histoire absolument rocambolesque, une aventure qui pourrait être extraordinaire si elle n’était pas banale…

C’est une histoire vraie qui est arrivée à une de mes amies, et je pense qu’il est de mon devoir de citoyen de la relater, parce que les faits qui se sont produits sont plutôt choquants et que malgré une fin plutôt bonne, personne n’en a parlé.

Comme de nombreuses femmes, elle a choisi d’être mère au foyer à la naissance de son premier enfant, et de fait, de quitter le monde du travail pour se consacrer à sa progéniture.

Pendant ce temps, son mari lui en a profité pour faire avancer sa carrière, prendre du galon, et monter les échelons.

Monsieur, grand fatigué devant l’éternel par son travail harassant, s’est trouvé une passion dans les danses de salon, car, disait-il, cela lui permettait de se décontracter et d’avoir moins de pression.

Et force fut de constater, par mon amie et les enfants (car entre temps, un deuxième était né), qu’effectivement, la pression tombait et l’homme moins stressé, affichait un bonheur que toute la famille partageait.

Elle aurait bien aimé sortir avec son mari, mais les cours de danse ayant lieu généralement le soir, il fallait bien quelqu’un pour garder les enfants… ce qu’elle fit, sans même se poser de question, le truc normal quoi.

La passion s’est malheureusement développée, et le père allait sortir jusqu’à 3 soirs par semaines… en moyenne !

Cette passion ira jusqu’à prendre de plus en plus de place dans la famille, à un point qu’il n’hésitera pas à abandonner son épouse et ses deux enfants des journées entières pendant qu’il s’y adonnait à des kilomètres de là. Et comme il prenait le véhicule familial pour s’y rendre, le reste de la famille n’avait d’autre choix que d’attendre son retour, coincé à la maison.

Avec lui, les week-ends commençaient à 17 h le dimanche… quand il ramenait la voiture.

Il sortira jusqu’à des heures pas possibles, rentrant chez lui à 6 h du matin, alors que son réveil est censé sonner à 6 h 30… pour aller travailler…

La fatigue aidant, cette passion se transforme en calvaire pour les trois autres membres de la famille, monsieur est souvent fatigué, dors beaucoup pour rattraper, les week-ends y passent et le reste de la famille attends…

Quand il se réveille, c’est pour aller travailler, quand il revient du travail, c’est pour travailler (les copies, la nouvelle réforme du machin…, bref), et quand il finit de travailler, c’est pour sortir…

Vous sentez venir le truc hein, et vous avez bien raison, un jour, excédée, elle prêche faux et obtiens fatalement le vrai, la danse n’était qu’un prétexte pour la tromper avec une de ces partenaires de danse justement.

Dur et tellement banal de nos jours, découvrir que l’être que vous aimez depuis 25 ans vous trompe depuis plusieurs années, ça fait mal.

Mon amie n’apprécie pas, et on la comprend, et annonce alors à son mari qu’il doit en choisir une des deux, normal me direz-vous.

Mais monsieur aime manger à tous les râteliers, et la valse des mensonges commence alors qui durera plus d’un an, un an où il quittera l’autre plusieurs fois, pour la retrouver juste après, puis la requittera… la retrouvera…

Elle en a marre et décide de mettre un terme à cette comédie, appréciant moyennement que monsieur et sa copine se moquent d’elle aussi impunément, elle le mettra alors devant son dernier choix, décidant elle même de s’en tenir à la décision de son mari si celui-ci décidait d’aller voir ailleurs si l’herbe était plus verte, ce qu’il fit, sans une once de courage, puisqu’il ira jusqu’à mettre la difficile décision dans la bouche de sa copine, incapable qu’il était de le faire soi-même.

La copine de monsieur ne se fera pas prier, et attrapera en plein vol et du premier coup une si belle occasion de détruire la famille de la femme de son copain.

Une fois la séparation décidée par l’autre copine, ce lâche n’ayant pas eu les corones de le faire lui même, elle lui demandera alors de partir de la maison vivre avec elle puisqu’apparemment c’est ce qu’il veut.

Il partira, la queue basse et le regard fuyant, laissant sa femme et ses deux enfants seuls au domicile conjugal.

Petite précision, entre temps, mon amie s’est blessée bêtement aux pieds en glissant sur le trottoir et elle s’est cassé, les deux chevilles… aie, les deux !

Oh, rien de grave, mais le truc bête, quand on à un pied cassé on à toujours la possibilité de marcher avec des béquilles, mais les deux, même si ce sont de petites fractures, c’est tout de suite moins drôle au quotidien.

C’est pourtant en la sachant dans cet état qu’il l’abandonnera, ainsi que le domicile et les enfants…

J’ai presque eu honte quand j’ai appris ça, et je suis immédiatement allé la voir pour lui proposer mon aide, elle déambulait assise sur un fauteuil de bureau, et s’était même inventé un système avec un manche à balai pour pouvoir attraper les denrées sur les étagères devenues trop hautes pour elle qui était assise. J’avais du mal à l’imaginer en train de s’occuper de ces deux monstres (je les adore ces deux gamins et j’ai décidé il y’a longtemps que je faisais parie de ceux qui avaient le droit de les appeler des monstres, na !)…

Sur ces entrefaites, monsieur découvre qu’il a peut être fait une bêtise en partant un peu vite et surtout en abandonnant les enfants seuls avec une épouse fortement diminuée, mais aussi, peut être, parce qu’il vient de s’apercevoir qu’il n’aurait peu être pas du vider les comptes non plus, il est fonctionnaire, son épouse est… euh… mère au foyer chômiste sans indemnités, il cherche à rattraper le coup, ça ne fait aucun doute.

Ni, une ni deux, il va en profiter un jour pour inviter ses deux enfants à aller grignoter un truc dans un resto, c’était un mercredi, les enfants étaient aussi peu enjoués que ça (ils ont déjà très mal pris le sacrifice de la danse, et moyennement apprécié la séparation pour une partenaire de danse justement), et bien entendu, il ne les ramènera pas comme promis.

Mon amie n’est pas contente (et on la comprend), le contacte et lui annonce qu’elle veux venir les rechercher, elle se déplace alors très péniblement avec des béquilles, l’un de ses pieds peut éventuellement se poser pour quelques pas, et elle a de nouveau le droit de conduire, mais pas trop.

Le mari lui propose de venir chez lui (chez sa copine en fait), elle ne se pose aucune question et s’y rend sur le champ…

Ce qui l’attend là bas est un guet-apens digne des films les plus noirs de la série du même nom, la rencontre tourne au vinaigre, le mari et sa nouvelle copine se jouent d’elle en la prenant de haut, elle ne reconnaît pas son mari, il est totalement sous le contrôle de la copine, la soumission semble totale. N’appréciant pas de se voir ainsi insultée, et comprenant qu’elle ne repartira pas avec ses enfants et que tout ceci est un vulgaire guet-apens, elle essaye alors de s’extraire de l’endroit avant que cela ne dérive de trop… elle n’en aura pas le temps.

Au sortir d’un dialogue de sourds, la copine de monsieur va lui sauter dessus (littéralement, la plainte déposée est très claire sur ce point) la plaquer au sol (elle est en béquilles je vous le rappelle) et une fois immobilisée, lui donnera plusieurs coups de poing à la tête, le tout parce qu’elle aurait coupé la parole à monsieur et que ceci constitue à son humble avis, une violence verbale qui mérite d’être réprimée par la force sans sommation.

Les enfants assistent à la scène… choc !

Retour chez elle, sans les enfants…

Et début de l’histoire judiciaire…

Quand son avocat est informé, il dépose immédiatement un référé auprès du JAF, utilisant l’agression pour le justifier, et une plainte au pénal pour l’agression.

Dans la semaine, la garde totale sera accordée à la mère ainsi que l’autorité parentale, le père sera invité à se trouver une autre copine moins violente, ou alors à assumer de ne pas pouvoir avoir la garde de ses enfants, même exceptionnellement tant qu’il vivra avec celle qui pourrait éventuellement reconnue coupable d’agression sur personne diminuée, le JAF reconnaissant implicitement le caractère délictueux de l’agression, mais ne pouvant le juger puisque hors de sa juridiction.

La complicité des deux amants sera retenue elle aussi, le guet-apens prenant alors la couleur de la préméditation.

La passion de monsieur sera retenue comme étant une des causes de la destruction de la famille, et une circonstance aggravante dans son comportement.

Le guet-apens est retenu par le TGI, la procédure suivra son cours au pénal.

Une provision, correspondant aux sommes que le mari avait empruntées sur le compte commun, sera exigée en urgence avec des frais très importants en cas de retard constaté.

Une somme conséquente sera versée pour dommages et intérêts.

Ainsi qu’un capital correspondant à la compensation du sacrifice qu’elle avait consenti en arrêtant de travailler pour s’occuper de ces enfants.

Au total, la somme permettra à mon amie de racheter le domicile conjugal.

L’agression sera jugée plus tard, et le résultat pourrait encore aggraver les choses pour monsieur, la copine elle, s’en tape, elle à pas d’enfants à perdre ni de boulot… et puis elle est riche, elle paiera…

L’histoire que je viens de vous raconter est totalement fausse.

Pour être plus précis, cette histoire est à refaire, mais au lieu de parler de mère au foyer, on va mettre un homme à la place, moi, un père au foyer.

Je vous laisse faire les conversions, mais l’histoire est la même, jusqu’au début de l’histoire judiciaire.

À partir de ce moment-là, l’histoire se déroule totalement et bizarrement, différemment pour moi.

Et je vais être très concis, puisque pour moi, rien n’a été fait, l’agression date d’un an et le seul retour judiciaire que j’ai pu obtenir, c’est d’apprendre que ma plainte pour l’agression avait été classée…

Rien, et quand je dis rien, c’est pas pour dire pas grand-chose non, rien !

Nada, Niet, Nicht, Nothing… RIEN !

Abandon des enfants… rien !

Vidages des comptes… rien !

Agression… rien !

Violations répétées et constatées de l’ordonnance de non-conciliation… rien !

Alors quand on me demande pourquoi j’ai créé une page Facebook… comment dire… à vous de voir ?

En gros, je suis un père au foyer, de ceux qui font la une des magasines féminins quand il s’agit de vendre une feuille de chou parlant des ces nouveaux héros d’Hommes modernes, mais qui lorsqu’ils divorcent, redeviennent très rapidement un simple détail inexistant dans l’inéquitable équation du divorce pour laquelle notre société à pris la mauvaise habitude de tout accorder à la mère.

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(")_(") Maître Maa

P.-S.

J’ai laissé volontairement de côté de nombreux détails qui viennent pourtant allourdir le tableau pour me concentrer sur les plus évidents.

Lettre ouverte au président de la planète

wp-media-3Papa Noyelle…

Ma Liste…

Cher [1] président de la Réunion de la France du Monde du Tampon,

Pour noyelle, je voudrais bien que tu mettes un peu la pression sur le JAF histoire de lui rappeler qu’un divorce peut se juger en quelques semaines, quand on le veut bien.

En butinant sur la toile à la recherche d’informations, de lectures, de soutiens ou tous simplement de contacts humains, chose qui se fait très rare chez moi ces derniers temps, je suis tombé sur cette information et je n’ai pu m’empêché de faire le lien avec ma propre histoire.

Bon d’accord, mon conjoint n’est pas parti à l’autre bout de la planète avec les deux gamins, mais son radicalisme est lui très prononcé et je crains pour la santé mentale de mes enfants si personne n’intervient pour les ex-filtrer de cet environnement qui est tout sauf sain.

Autre petit détail qui va très certainement te faire hérisser le poil, je suis un homme… un papa au foyer comme on dit, et si tu pouvais essayer de ne pas en prendre ombrage, ce serait cool. Parce que, tu vois, la société elle, elle à vraiment un problème avec les pères qui se sont sacrifiés pour s’occuper de leurs enfants et qui, au moment de faire les comptes, ne sont tous simplement pas pris en considération, alors que madame de son côté, n’a que quatre mots à prononcer pour gagner toutes les batailles la guerre et bien entendu le magot : Je Suis La Mère…

Argument imparable, il faut le reconnaître, et ce ne sont pas les 150 que je mets en contrepartie qui vont peser quoi que se soit dans la balance, mais je m’égard.

Si tu pouvais aussi réveiller le procureur de mon quartier pour lui demander comment une plainte déposée par un handicapé pour agression sur personne vulnérable par l’amant de son ex-chère et ex-tendre future-ex-épouse, a pu être classée, surtout quand on sait que la procédure de divorce était déjà engagée au moment de l’action.

Bon et si t’as encore deux minutes après ça, si tu pouvais me trouver du taf, ce serait Byzance avant l’heure, mais pour ça, je ne me fais pas trop d’illusion.

Pour terminer, si tu croises mon avocat, dis-lui que bibi s’inquiète vraiment de son absence et qu’une ‘tite bafouille l’est pas d’refus… de temps en temps tous du moins, pour dire bonjour, ou pour… euh non, ça, m’informer du déroulement de mon affaire, il ne l’a jamais fait depuis un an, je vois pas pourquoi il commencerait aujourd’hui.

J’ai été très sage, je n’ai pas trop mis les doigts dans mon nez, j’ai été gentil avec le facteur et je n’ai pas oublié de tirer la chasse quand je suis allez voter, par contre, j’ai du jeter l’urne après…

Oualaa, bisous, à plus…

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(")_(") Maître Maa

Notes

[1] : Vu ce qu’il nous coûte…

Papalacaz, chapitre suivant

wp-media-51Avocat, prêt, partez…

Autant il est difficile de trouver un bon avocat, qu’il l’est de communiquer avec les mauvais autres.

Alors que je n’ai toujours pas la moindre information au sujet de la procédure en cours de la part de mon avocat [1], je constate la même absence de mouvement maintenant que je lui ai signifié mon intention d’en prendre un autre.

Toujours cette même technique de l’inaction attentiste, et moi je me retrouve sans trop savoir si je vais pouvoir me retourner pendant qu’il en est encoure temps.

Je ne comprends pas ces méthodes totalement irrespectueuses, soit il fait son travail et communique avec son client, ce qui, je crois, est un comportement normal, soit il ne fait rien et dans ce cas ne s’oppose pas à son départ.

Moi qui croyais bêtement que le temps qui vient de passer était normal, j’ai découvert récemment qu’il n’en était rien, surtout au regard du nombre d’infractions commises par la partie adverse, et sans oublier l’agression perpétrée par le « petit » ami [2] et dont j’ai été victime.

Comme dans tout bon vieux film de la Série Noire où l’amant se ligue avec la femme pour assassiner le mari, je me retrouve confronté à la dure réalité du « ça n’arrive pas qu’aux autres », sauf que dans les films, les coupables sont vite démontés et finissent leurs jours en cabane.

Ce qui me dépasse, c’est que mon avocat ne se serve pas de ces éléments à charge contre la partie adverse, pire, en ne faisant rien (alors que j’étais persuadé du contraire), mes plus grosses cartouches prennent l’eau et risquent juste de faire un tout petit long feu, alors qu’elles auraient pu vaporiser la planète, enfin, c’est une image.

Le référé oublié…

Comment peut-on dire à son client que l’on va déposer un référé et ne pas le faire ?

Des mois perdus pour rien, des infractions à répétitions, et le Papalacaz qui sombre tranquillement jusqu’à perdre son boulot et se retrouver dans une situation financière extrêmement délicate [3], au point de devoir emprunter pour éviter les découverts et manger (et faire manger ses deux enfants aussi), et ce malgré une ordonnance de non-conciliation très claire sur ce sujet.

En général, messieurs qui divorcez, amusez-vous à violer l’ordonnance et vous verrez à quelle vitesse la justice est capable de fonctionner quand elle le veut.

Mais voilà, je ne suis qu’un père au foyer, vous savez ce genre d’homme moderne qui fait les gros titres des magazines féminins lorsqu’ils remplissent leurs torchons, en parlant de ces nouveaux pères modernes, qui ont décidé d’embrasser le très difficile métier de papa au foyer, pour que madame puisse se consacrer entièrement à sa carrière.

Et ils ont où ces mêmes journalistes lorsqu’il s’agit de défendre la cause des pères au foyer qui divorcent ?

Ah, mais c’est qu’il ne faudrait pas se fâcher avec son lectorat hein non plus, les pères au foyer c’est vendeur, les femmes qui abusent dans les procédures de divorce, ça n’existe pas voyons.

Bref, jamais je n’aurais cru pouvoir tomber sur un avocat aussi silencieux, c’est à se demander d’ailleurs s’il n’y a pas comme qui dirait faute professionnelle à ce niveau.

Encore une semaine de vaines batailles à venir, avec le fol espoir que je vais enfin réussir à contacter mon avocat.

À suivre… sûrement.

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(")_(") Maître Maa

Notes

[1] : Véridique, pas un (1, UN singulier, unique) message depuis près d’un an, sauf pour me dire que je lui dois de l’argent bien entendu, alors que de mon côté j’en ai envoyé un nombre considérable. Même quand je lui demanderai s’il a bien reçu mon dernier virement, pas de réponse, c’est déprimant.

[2] : Mais alors petit… d’une bassesse crasse comme on en fait plus depuis longtemps, enfin, il reste apparemment un spécimen à la Réunion, et il est tombé (c’est le cas de le dire) sur moi, sans oublier mon handicap aux jambes, je ne devais pas être une victime très difficile à mater. Quand je dis petit, c’est vraiment petit, insignifiant, comme lui d’ailleurs.

[3] : Le vidage des comptes est justement une des infractions constatées et je suis sûr que si je m’étais permis le dixième, la procédure serait terminée depuis longtemps, avec une belle victoire écrasante pour madame.

Banane ‘ti piment, coup de massue assuré

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Relaxe : La Cour des Miracles… ou pas !

Encore trouvé sur Zinfos974, un article qui au-delà de l’histoire qu’il raconte, m’invite à témoigner à ma manière en racontant la mienne, qui est comme par hasard fort proche dans son déroulement.

Un accusé déjà condamné et qui bien entendu à fait appel [1], est relaxé par la cour d’appel [2], le résultat est fatalement lui aussi sans appel : Gérard Ethève relaxé, un coup de massue pour les victimes et bien entendu l’annonce du jugement suscite l’émotion des victimes (qui du coup n’en sont plus, croustillant) ! [3][4]
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Mayotte : Agressée pour un téléphone…

wp-media-28Secourue par deux inconnus !

Mayotte : Une adolescente étranglée pour un portable au bord d’une route par deux individus…

Bon, au-delà du fait lamentable concernant l’agression, j’ai plutôt envie de relever le comportement de l’automobiliste qui est venu à son secours.

Car dites-vous bien que si un jour vous êtes confronté à une histoire de ce genre, tous ceux qui se demandent s’ils doivent agir et qui n’osent pas (et on les comprend, y’a quand même des risques de s’en prendre quelques-unes) le feront si un seul d’entre eux commence.
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