Un dernier Tango…

… pour la route ?

Lundi 19 heures, elle me dépose les enfants, comme tous les lundis…

Le petit est malade depuis mardi… en gros depuis que je l’ai déposé chez elle le lundi précédent.

Mais bon, la pauvre fonctionnaire surindexée, il faut la comprendre, elle n’avait pas le temps de s’en occuper de la semaine alors c’est à moi le chômiste sans mutuelle de m’en occuper.

Oui parce que bon, la pauvre fonctionnaire, elle ne partage pas sa carte de la MGEN, ses super privilèges de bourgeoise ne sont accessibles aux enfants que quand ils sont avec elle voyons, hors de question qu’ils se soignent quand ils sont chez leur père oh !

Sauf que quand ils sont malades chez elle, elle n’a pas le temps de les emmener et c’est moi qui dois le faire la semaine d’après.

Mais putain, elle te sert à quoi ta carte de bourgeoise privilégiée, à part te la péter en société, et tu oses encore parler du bien-être des enfants.

Bref, vendredi pas d’école, mais c’est moi qui la semaine suivante, dois fournir le certificat médical de justification d’absence, comme si la fonctionnaire de l’école du petit avait oublié de demander à la mère de fonctionnaire aussi, de lui fournir les justificatifs… bizarre…

Vendredi donc, le petit il est tout seul (personne à la maison, monsieur travaille… tiens, ce n’est pas l’inverse qui a été déclaré devant le juge…), une journée entière, deux adultes, plus femme de ménage et jardinier… personne pour l’emmener chez le docteur, pas grave on emmerdera papa mardi…

Samedi, ça empire, mais madame à sa soirée Tango de prévue hors de question d’annuler… le camping non plus d’ailleurs…

Enfant malade + soirée dansante (bruit, tout ça) + camping = Narmol !

Mais c’est moi qui suis accusé (officiellement) d’être un mauvais père…

Et ce n’est pas les vomis dans la tente qui changeront quoi que se soit.

Les services sociaux ont été prévenus à plusieurs reprises, mais ils s’en foutent, pour eux, c’est moi qui vois le mal partout.

Je le dis sans détour, cela va très mal se terminer, très très mal, je préviens aujourd’hui, la santé de mes enfants est plus importante que tout.

Que les lâches se préparent, aujourd’hui ils baissent leurs culottes devant le pouvoir, pas d’inquiétude, on les aidera à les remettre avant de les pendre, la dignité, nous on connaît encore.

Et quand je parle de lâches, je parle aussi de tous ces « tangeros » et « ras » qui voient mes enfants dormir sur des bancs dans leurs soirées dansantes, et pas un seul pour se poser la question de savoir ce que foutent deux gamins de cet âge dans ces lieux de loisirs pour adultes, pas un, tous complices.

Jusqu’à aujourd’hui, j’ai toujours essayé d’épargner ce club de loisir pour riches adultes en manque de paillettes et de Jet7, je ne voulais pas porter l’opprobre sur une communauté à cause des actes de son gourou et de sa poule de luxe, mais là, ce sont mes enfants, accessoirement ceux de la poule précitée, et ils en ont marre depuis le début.

Mais ils n’osent le dire, le gourou est quand même du genre à être capable de casser la gueule à un handicapé sous les yeux de ses enfants… si vous voyez ce que je veux dire…

Ah si la Réunion pouvait être un état de droit…

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(")_(") Maître Maa, en mode Papalacaz énervé

 

Je suis… prêt…

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Aux armes citoyens…

Selon l’article 35 de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1793, il est du devoir du peuple d’intervenir quand l’état ne fait plus le sien.

Article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 : Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Pour ma part, la justice pourrito-corrompue de la Réunion à pris le parti de me piétiner moi et mes droits alors que mes demandes sont parfaitement légitimes, tout en couvrant la partie adverse coupable de délits à répétition à mon encontre, la complaisant dans son sentiment d’impunité.

Je ne reconnais plus la légitimité du gouvernement français ni de ses institutions aux ordres d’un impérialisme que je ne reconnais pas non plus.

Les inégalités observées ne peuvent être le fruit de la société telle qu’elle devrait être, mais belle est bien volontaires et organisées, le but étant de favoriser l’émergence d’une guerre civile sur nos terres.

Ne soyons pas dupes, cette guerre ne servira pas nos intérêts, bien loin s’en faut.

Aujourd’hui je suis littéralement harcelé par les institutions qui continuent de me prendre ce que je n’ai pas (mais y arrivent quand même, on peut faire confiance aux banques pour ça) tout en faisant la sourde oreille quant à la recherche des véritables causes.

En jouant aux cons comme ils le font, les mafieux du système sont en train de construire leurs propres échafauds, avec un peu de chance on restera dans la métaphore, mais quand on regarde l’état dans lequel se trouve notre planète, je crains que le jour où ça va péter, ce ne soit malheureusement une justice de sang qui en ressort…

Pour Leonarda le pantin de l’Élysée n’a pas hésité en lui accordant plusieurs dizaines de milliers d’euros pour qu’elle puisse se payer (à elle, ses frères, ses sœurs, ses parents, ses oncles et ses tantes…) un avocat digne de ce nom, pour un citoyen français (plusieurs générations quand même, merde !), l’état français aura l’immense mansuétude de lui offrir une petite centaine d’euros…

Et ce n’est qu’un exemple parmi bien d’autres.

Sachant que mon histoire n’est au départ qu’une bête divorce et considérant que l’expérience acquise par l’institution judiciaire sur ce sujet est suffisante pour un traitement rapide, les erreurs (nombreuses) que l’on retrouve dans la gestion de mon dossier laissent à penser que tout ceci n’est que le fruit d’un système totalement corrompu et sclérosé.

Il faut bien comprendre que la corruption dont je parle n’est pas visible sous la forme d’une intervention ponctuelle motivée par la partie adverse, non, nous vivons aujourd’hui dans un système qui est tellement établi que les dysfonctionnements se produisent par réflexe, presque naturellement.

Il suffit d’être bénéficiaire de l’aide juridictionnel pour voir votre dossier complètement détruit par votre avocat à la faveur de l’autre partie, aucun ordre n’a pourtant été donné, non, c’est juste que par habitude, les avocats réunionnais se foutent royalement de la gueule des justiciables, comme ça, parce que tous les autres avocats le font et que c’est dans les pratiques courantes.

Ajoutons à cela, le même genre de gestion concernant les pères au foyer, qui n’en déplaise à l’abrutie de la théorie du genre n’existent tout simplement pas, et votre dossier ne sera même pas étudié par le juge, le père doit être condamné en cas de divorce, surtout s’il est pauvre, point !

La troisième couche à une couleur plus locale, si votre agresseur est un homme bien établi, chef d’entreprise (un monopole bien sûr), il peut vous massacrer, il ne risquera au pire qu’un petit rappel à la loi. Exit le scénario absolument abject du guet-apens, le kidnapping des enfants le midi pour forcer la victime à se rendre chez l’agresseur (qui profitera d’être chez lui pour s’offrir la tête d’un handicapé, au passage), les provocations, et surtout la destruction d’un bien matériel.

Pour le chômeur c’est une agression à 2 000 €, pour l’agresseur, c’est une coupe de champagne avec le procureur.

À la Réunion, tout ceci est tellement ancré dans les meurs, que les magistrats ne se rendent même plus compte du mal qu’ils font.

Dans mon affaire, je subis trois différentes formes de corruption qui sont appliquées sans réflexion.

Malheureusement pour eux, je suis un putain d’enculé de fils de pute et je n’ai pas l’intention de me laisser faire.

La merde dans laquelle ils m’ont mis ne pourra que croître, et quand ils seront obligés de passer par la case justice pour demander leurs dédommagements, je saurais alors leur rappeler toute l’histoire, je leur montrerais alors les documents prouvant ma bonne foi et s’ils décident de me condamner quand même (ce qu’ils feront, car ils n’auront jamais le courage de reconnaître leurs fautes), alors je purgerai ma peine, mais en sortant, je quitterai ce pays de merde pour un autre (j’ai déjà fait ma demande d’asile politique, j’attends la réponde de Moscou).

Elle est belle ma bergerie… ou pas !

Nous sommes très nombreux à subir ces dysfonctionnements, mais la grande majorité préfère se la jouer en mouton bien obéissant, qu’à cela ne tienne, les autres, ceux qui luttent ont décidé d’un commun accord que les moutons avaient choisi leurs morts, c’est donc devenu leur problème.

Quand les guillotines sortiront, il n’y aura pas que des pourritures qui seront raccourcies, je crains que beaucoup de moutons n’y passent aussi, pour l’exemple.

C’est nous les citoyens qui faisons les sociétés dans lesquelles nous voulons vivre, les moutons sont des traîtres et des lâches qui seront traités comme des complices du système et ils seront jugés en complices.

Tous les accusés de Nuremberg qui se sont dédouanés en disant qu’ils ne faisaient qu’obéir aux ordres ont été exécutés quand même, il serait bon je pense que les moutons ne l’oublient pas, la justice du peuple est très forte, et elle va faire très mal.

J’ai reçu un écho favorable de la part de la CEDH qui apparemment serait ravie de traiter mon affaire tellement elle adore se payer les petits enculés de mafieux locaux.

Le dossier à monter est particulièrement coton, mais j’espère réunir tous les éléments qui me permettront d’engager la procédure au niveau européen.

Que Mme L I……., M. B B……, M. D P….. et les juges qui se sont occupés de mon dossier profites encore de leurs positions privilégiées, seule ma mort les sauvera de leur perte, car j’irai au bout de mes convictions et les sanctions seront calculées par rapport aux préjudices qu’ils m’ont fait subir par leur incompétence et leur inaction.

Il y’a de la radiation et de la place au barreau de St Pierre dans l’air.

Désormais, mon dossier est entre les mains d’un professionnel de la loi non réunionnais et incorruptible.

Citoyens, l’heure est grave et sans réaction de la part des moutons, on court à la guerre, vous êtes tous prévenus.

Bien entendu, c’est mon discours qui sera montré du doigt comme celui d’un agitateur qui cherche à déstabiliser le système.

La vérité est que nous sommes très nombreux à avoir le même sentiment et les autorités l’ont très bien compris, les attentats sous faux drapeaux et le chantage à l’antisémitisme devraient éveiller les esprits les plus critiques et les préparer à la suite, le fait qu’un sioniste déclaré, accessoirement employé de la CIA équipe aujourd’hui sa police municipale avec des armes létales devrait vous donner une idée de la direction prise par la France.

Les moutons préfèrent payer pour faire semblant d’être Charlie, ils payeront pour avoir été des Philippe Pétain et seront alors jugés et traités comme lui.

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(")_(") Maître Maa

Renoncer pour l’amour de ses enfants…

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Soit pauvre et tait toi… physiquement… ferme là quoi !

Personne en ce monde ne peut imaginer ce que l’on ressent lorsque l’on se noie au milieu d’un fleuve en furie.

Bien en sécurité sur la berge, l’Homme regarde et compatis, ne sachant trop que faire, réfléchissant sur les causes, les raisons, les responsables, il regarde l’autre sombrer…

Mais celui qui se noie lui, à une tout autre vision des choses, il n’est pas vraiment concentré sur les questions relatives aux détails de sa situation, et franchement, il s’en tape royalement le coquillard, il est juste en train de voir la mort à chaque seconde et la seule chose qui lui ferait plaisir en cet instant, c’est juste une main pour l’aider à sortir de cette merde, et promis, après il discutera des causes et autres responsabilités avec qui vous voulez.

Il suffit de quelques secondes pour se noyer, et 18 mois plus tard, j’entends encore la société qui de la barge, me confirme que j’ai droit à de l’aide et qu’elle arrive bientôt…

Sauf que bon, désolé de te décontenancer petite société, mais cela fait belle lurette que mon instinct de survie à réussi à me sortir de cette merde sans aide, j’ai réussi à rejoindre le bord sur lequel j’ai pu, avec bonheur, remettre le pied.

J’ai survécu au pire, je suis vivant et j’ai vraiment faim de vie.

Mes agresseurs se sont fait tirer l’oreille, leurs actes ont été classés, au final, j’en arrive même à me demander si j’ai bien passé un an au milieu du fleuve à essayer de survivre, à lire les conclusions, il ne s’est rien passé… ouche !

La machine, emportée par son élan, que dis-je, embourbée dans son inertie, continue de traiter mon affaire comme si de rien n’était alors que dans les faits, en ne réagissant pas aux nombreuses provocations de l’autre partie, elle ne fait que me conforter dans mon inexistence de justiciable invisible qui de fait à bien du mal aujourd’hui à croire même aux formules de politesse présentes en bas des courriers, à la fin, on en vient à douter de tout, que voulez-vous.

Les enfants dans tout ça ?

Partout je lis des témoignages de parents divorcés ou divorçant, et bien souvent, dans les cas les plus difficiles, il est un des deux parents qui prendra sur lui une bonne partie des concessions de manière à clore l’affaire au plus vite et ne pas déranger les enfants plus longtemps.

J’en suis arrivé à me demander si finalement, je ne devrais pas laisser tomber une liste de requêtes parfaitement légitimes et longue comme le bras, pour que cette affaire se termine et que les enfants sachent une fois pour toutes à quelle sauce leur avenir sera mangé.

Le plus difficile dans ce genre de décisions, c’est que l’argument numéro un est justement celui qui fait défaut à cause de la partie adverse, qui elle en est plus que pourvue et peut même s’en servir pour assurer la négociation à son avantage.

On parle bien entendu d’argent, c’est connu, un père au foyer handicapé chômeur qui se bat pour défendre son honneur et ses enfants, ne peut être qu’un beau fumier de profiteur qui ne cherche qu’à ruiner sa pauvre fonctionnaire de future ex-épouse qui elle n’a eu que le temps de faire évoluer sa carrière pendant que monsieur torchait les mouflets.

Vous pensez bien bien que tous les privilèges qu’elle à gagné grâce au sacrifice de son connard de mari lui sont définitivement acquis sans qu’il puisse prétendre à un quelconque morceau de quoi que se soit voyons.

Pour moi, c’est une ruine financière absolument impossible à remonter tant que les responsables ne seront pas invités à rembourser ce qui a été oublié et le temps passant, cette ruine ne peut que s’aggraver…

Tout laisser tomber, alors que je suis dans l’incapacité de prétendre à quoi que se soit pour assurer l’avenir de mes enfants, c’est avoir le courage de choisir la paix pour mes enfants, quitte à ce qu’ils me détestent le reste de leur vie pour ça…

Grâce à son inertie et son incapacité à agir dans cette affaire, la justice française me fait comprendre que je n’ai pas à discuter, que mon épouse a le droit de me ruiner, de m’endetter, de m’affamer et que les enfants n’ont pas voix au chapitre.

En gros, la justice française se moque totalement des justiciables lorsqu’elle ose dire que les pères ont autant de droits que les mères.

Si j’avais fait le dixième de ce qu’elle a fait, je serais déjà en taule depuis un bon moment.

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(")_(") Maître Maa

Dur dur d’être un Papalacaz !

wp-media-46Il faut avoir foi en la justice de son pays…

Pour la justice française, utiliser ses connaissances pratiques dans un art de combat pour casser la gueule au mari de sa copine, qui est accessoirement diminué comme suite à un accident de la route, qui est de corpulence et de force inférieure (même en faisant abstraction du handicap), qui n’a pas la moindre connaissance dans un art de combat quelconque (plutôt même au contraire non-violent de conviction), sous les yeux de ses enfants, tout en lui bousillant son matériel de travail (matériel personnel dont la valeur approche celle d’un mois de salaire), un simple rappel à la loi suffit

Le classement n’étant pas sans suite, j’ai encore la possibilité de poursuivre mon agresseur pour dédommagements (ça m’a coûté 2 000 balles quand même), mais je n’ai pas les moyens de payer (encore) un avocat, je reste donc un peu dubitatif, et cela se comprend au demeurant, quant à la valeur réelle de l’adage cité en sous-titre…

Un an et deux mois pour conclure qu’une agression de personne handicapée par personne en bonne santé n’est qu’un banal fait divers qui mérite tout juste son petit rappel à la loi, pas de quoi fouetter un chat me direz vous, et le chat vous répondra qu’en cas de violences sur animal, l’agresseur est immédiatement condamné à de la prison ferme, peine qu’il devra effectuer quelques heures seulement après avoir commis son crime odieux, l’appareil judiciaire et policier français étant alors immédiatement mis en branle, on parle quand même d’un félin.

Pour les humains, c’est pas tout à fait pareil, et 14 mois plus tard, mon agresseur continue de se pavaner avec ma femme dans les boîtes de nuits de la Réunion, n’a subi qu’un petit rappel à la loi, mais la SPA est contente.

Bon, maintenant qu’on s’est fait plaisir avec les bonnes nouvelles, abordons la suite, qui est un poil moins drôle… quoique, au point où j’en suis, seule l’ironie me permet de continuer à avoir encore un semblant d’optimisme dans cette société complètement déconnectée.

Concernant mon ancienne avocate, je sais maintenant, grâce aux aveux directs ou sous-entendus de deux avocats, qu’elle s’est littéralement moquée de moi et n’a absolument pas fait son travail. Scandaleux, dégueulasse, je n’ai pas les mots, elle n’a pas hésité à prendre le pognon d’un chômeur tout en lui faisant croire qu’elle travaillait pour ses intérêts alors qu’elle faisait tout le contraire.

Je suis outré de devoir constater par le fait accompli, qu’une telle profession soit aussi peu surveillée et à quel point ses acteurs sont autoprotégés.

Elle mériterait un procès, mais quel avocat ici bas aurait le courage de défendre un citoyen contre un de ses collègues ?

Résultat, mon divorce est pratiquement plié, et aucun de mes arguments initiaux, abandon du domicile et des enfants par la mère, adultères, l’agression de l’amant, le harcèlement moral et financier, toute ma stratégie en gros, n’est plus recevable.

Elle m’avait dit déposer un référé, jamais fait, oublié,

Intervention des enfants (ou, tout du moins une demande en ce sens), oubliée,

Divorce pour faute, oublié aussi, mais elle déposera quand même une demande de divorce simple à la place… cocasse,

Les nombreuses violations de l’Ordonnance de non-Conciliation dont s’est rendue coupable l’épouse, oubliées, non prise en compte, pas utilisées…

Le lien entre l’agression du mari handicapé par l’amant bien portant, quelques jours après le départ de madame du foyer familial, oublié… encore…

La seule chose qu’elle ait faite (dixit un avocat qui s’est penché sur mon dossier et que je ne citerai pas), c’est de se constituer défenseur dans mon affaire, elle n’a jamais transmis le moindre document à la cour, hormis la requête initiale, qui comme déjà dit, n’était pas la bonne (divorce simple alors qu’on s’était mis d’accord sur un divorce pour faute).

Il en ressort donc, que la seule action concrète dont l’avocate en question puisse s’accaparer la paternité est juste en total désaccord avec ce qu’elle avait mis en place avec son client, le reste n’est que suite logique.

Quand le juge me demande signer l’accord de principe, je le fais sans la moindre réflexion, je suis alors en pleine confiance de mon défenseur, jamais je ne me serais imaginé que ce jour-là, j’allais signer un document qui allait tout simplement mettre toute ma stratégie à la poubelle, le tout en parfaite connaissance de causes et de conséquences de mon avocate.

Je ne sais pas si vous saisissez bien le truc, vous allez voir un avocat, vous lui soumettez une affaire, vous élaborez une stratégie sur ses conseils, vous allez au tribunal, mettez en œuvre la stratégie en question avec la conviction de faire les choses bien puisqu’élaborées sur les conseils d’un professionnel, et vous découvrez bien plus tard et généralement trop tard, que vous avez fait exactement ce qu’il fallait pour faire gagner la partie adverse sans que celle-ci n’ait même à se défendre…

Et en plus, vous avez payé pour ça… ouaouh !

En gros, je suis en train de rédiger un petit texte chapitré résumant le tout. Il sera bientôt publié sur ce site au jour le jour, avec les patronymes complets des intéressés et les copies des documents attestant l’incompétence volontaire de cette avocate de Saint Pierre. Sans oublier ses amis, à commencer par certain président d’association de défense des pères, qui est devenu bien silencieux lorsque je lui ai fait part des errements de l’avocate qu’il m’avait pourtant lui-même conseillée !

Y’a-t-il un juge dans l’tribunal ?

J’ai aujourd’hui soif de réparations, mais surtout d’explications de la part de l’ordre des avocats que je vais contacter à cet effet, cette avocate à littéralement ruinée ma vie en me prenant le peu que j’avais pour le donner à la partie adverse qui venait justement de se servir et qui elle avait donc déjà tout.

Elle ment à un chômeur (le mari) pour lui prendre ce qu’il n’a pas et qui correspond au peu qu’il lui reste après que l’épouse se soit servie, et c’est le fonctionnaire (l’épouse) qui se retrouve avec le tout voire plus, car elle va très certainement obtenir une compensation, elle, prof, de moi, chômeur… bref…

10 ans de ma vie, sacrifiés pour m’occuper de mes deux enfants (et je ne le regrette pas), les nombreuses nuits blanches, les biberons, les couches… pour que madame puisse dormir.

Les balades en poussette et les week-ends tout seul avec les enfants au parc, avec ballons et vélos, pour que madame puisse travailler ses heures sup, génératrices, en plus du complément de salaire (fonctionnaire expatriée, quand même !), d’opportunités d’évolutions de carrières, qui ne manqueront pas d’arriver d’ailleurs.

Les soirées à m’occuper (avec plaisir cela dit) des enfants pour que madame puisse s’adonner à sa passion du tango (qui sera finalement l’élément destructeur de notre couple).

Le tout de Grenoble au Tampon, en passant par Nouméa et Lyon… je n’ai jamais été un frein, toujours là, à suivre et soulager madame.

Aujourd’hui, je suis handicapé, à 20 000 bornes de ma famille, je n’ai plus un rond, je me suis fait casser la gueule par l’amant, sous les yeux de mes enfants qui depuis vivent une semaine sur deux dans la même maison que le type qui a tapé papa en flippant tout le jour. Je ne vais rien obtenir de mon divorce puisque c’est finalement une sorte de divorce par consentement mutuel sans vraiment l’être, je vais très certainement devoir payer les frais de justice de madame (qu’elle a déjà payés en prenant sur le compte commun, mais bref) et ne verrais mes enfants qu’un week-end sur deux. Bien entendu, je serai viré de ma maison, avec mon salaire je trouverai un truc très cher, qui sera trop petit, et madame utilisera cet argument pour me refuser la garde.

Un avenir rose à point, n’est-il pas ?

La justice est un domaine très opaque et les avocats sont censés être là pour nous aider, nous seconder et nous conseiller. De notre côté, nous les citoyens censés ne pas ignorer la loi, nous nous trouvons dans l’obligation de leur accorder une confiance aveugle, car leur domaine nous est absolument inaccessible.

Belles théories…

Ah la la, vous n’imaginez pas la taille des bananiers Réunionnais, et quand bien même vous en seriez capables, multipliez le tout par encore plus et vous serez pas loin de la taille des petites pousses…

Pour la suite, j’hésite entre survivaliste et bonnet rouge, je vais encore réfléchir quelque temps.

Quoique… survivaliste à bonnet rouge, c’est pas mal non plus…

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(")_(") Maître Maa

Papalacaz, un métier qui n’existe pas…

DSCN2647Et ne comptez pas sur Mme Belkacem pour que cela change…

Votre conjoint vous gonfle et vous avez envie de vous barrer de votre domicile conjugal ?

Vous avez arrêté de travailler pour vous occuper de vos enfants et votre situation financière est un peu compliquée (pour ne pas dire difficile), car vous êtes un peu, par obligation envers votre progéniture il va de soi, dépendant du salaire de votre conjoint ?

Alors, comme vous êtes une personne moderne, vous vous lancez dans une quête d’informations sur le sujet avec l’aide votre grand ami Google.

Diable, que d’informations en retour, il va falloir trier le bon grain de l’ivraie…

La première chose que vous allez remarquer, c’est les conseils de base qui sont assez récurrents pour être pris au sérieux.

Quels que soient le site ou l’intervenant, vous remarquerez quelques points qui reviennent très souvent :

  • On ne quitte jamais le domicile conjugal sans ses enfants (même quelques jours),
  • On ne vide pas les comptes,
  • On n’envoie surtout pas le futur nouveau conjoint discuter physiquement avec l’ancien (comprendre, pas de contrat sur la tête de l’ancien conjoint),

Les deux premiers points ont d’autant plus d’importance si vous êtes celui qui entretien le couple, comprendre, celui qui n’a pas arrêté de travailler pour se consacrer aux enfants. Sinon, vous risquez de voir l’accusation renforcée de fait.

Le troisième est juste ce que l’on appelle en langage humain standard, du bon sens

Mais voilà, ce que les textes nous disent ne représente malheureusement que la théorie, car dans la réalité, tout ceci n’est applicable que dans le cas, très courant il est vrai, ou c’est madame qui à arrêté de travailler, qui est dans une situation financière compliquée, et que c’est monsieur qui est parti en abandonnant ses enfants.

Si jamais, comme moi, vous avez le malheur d’être un de ces couples modernes qui ont choisi de mettre « papa » à la cuisine, aux couches, aux biberons, soit en gros « à la maison », la séparation ne vas pas se dérouler « comme prévu »…

Pour faire court, votre femme peut partir sans ses enfants, elle peut vider les comptes, et elle peut même vous envoyer son nouveau mec vous casser la gueule, je vous le dis tous de suite en parfaite connaissance de cause, elle ne sera jamais inquiétée, jamais !

Vous verrez même votre plainte classée… et ce n’est pas votre situation de personne diminuée (handicapée pour être précis) qui changera quoi que se soit.

Faites une autre recherche sur le net, et vous verrez que pour ce genre de faits divers, si jamais c’est le papa qui s’amuse à cela, il est immédiatement remis sur le droit chemin par le système judiciaire français, il peut même se retrouver avec de la prison avec sursis (voir carrément de la prison ferme) et très souvent, il sera condamné à verser des sommes considérables en « dommages et intérêts ».

Bien entendu, vous ne trouverez pas ce genre d’information sur le site de Mme Balkacem, elle qui contribue à ce que cet écart de traitement soit au contraire encore plus important en attribuant à « la femme » encore plus de droits, moins de devoirs et donc beaucoup plus de pouvoirs…

Maintenant que vous savez que le fabuleux métier de père au foyer n’existe pas vraiment, ou seulement dans la tête des « faiseurs de promesses avant les élections », vous voici armé pour supporter la suite, qui est d’entrée très mal partie, sachez-le…

Le premier réflexe qui nous vient à l’esprit, nous autres papas au foyer, est de rechercher du soutien, en commençant par celui des associations qui défendent notre cause.

À la Réunion, il n’y en a qu’une et c’est donc avec une certaine logique que vous la contactez dans l’espoir que celle-ci vous aidera d’une manière ou d’une autre.

Contact pris, celle-ci vous conseille alors une avocate de votre région (Saint-Pierre pour moi) qui s’est engagée auprès de l’association et qui est censée s’occuper des dossiers des adhérents avec plus d’attention que pour les autres dossiers…

En y regardant de plus près, vous découvrez que cette association est parrainée par plusieurs personnalités locales qui ne sont pas inconnues et qui sont même, pour certaines, connues pour ne pas avoir peur de dire ce qu’elles pensent.

Le tout ne fait que vous conforter, vous vous sentez enfin soutenu, vous adhérez, vous prenez contact avec l’avocate conseillée et vous engagez alors la procédure…

Vous voici tout frais adhérent de l’association Paire 2 Cœurs, carte en main, procédure en cours, serein et attendant la suite avec confiance…

La réalité sera toute autre, et c’est un peu le but de cet article, sachez-le tout de suite, il s’agit quelque part d’une belle arnaque, dans tous les sens du terme.

L’avocate désignée est une menteuse professionnelle qui n’hésitera pas à vous expliquer le déroulement de la procédure qu’elle va initier, tout en en mettant une autre en place, et qui bien entendu dessert totalement vos intérêts.

Elle ne répondra pas à vos messages, ne vous recevra qu’une fois ou deux pour vous dire des choses honteusement mensongères pour vous rassurer et faire en sorte que vous laissiez passer le temps en faveur de la partie adverse.

Elle n’hésitera pas à rajouter une couche de mensonge, quand au cours du déroulement de la procédure, vous allez découvrir des éléments qui ne semblent pas correspondre à ce qu’elle vous avait promis. Sur ce dernier point, elle n’hésitera pas à vous raconter des histoires rocambolesques pour vous embrouiller l’esprit.

Bien entendu, elle prendra votre fric, vous n’avez aucune inquiétude à avoir sur ce point-là.

L’avocate ne répondant pas à vos messages, vous prendrez alors contact avec l’association et vous découvrirez alors qu’elle est devenue d’un coup très silencieuse.

Silence qui une fois constaté vous forcera à admettre qu’il y’a collusion et donc complicité entre elle et l’avocate…

À ce stade de la procédure, vous n’avez que deux solutions, soit vous continuez sans rien changer et vous êtes sûrs de ne pas voir un seul de vos griefs reconnus et donc au contraire de les voir se retourner contre-vous, soit vous décidez de quitter cette avocate pour tenter une autre voix avec un autre défenseur.

J’ai choisi pour ma part la deuxième voix, qui n’est pas la plus facile, étant déjà dans une situation financière compliquée, savoir que vous venez de perdre 1 500 € d’honoraires pour rien, c’est déjà insupportable, mais en plus, savoir qu’il va falloir assumer les honoraires du prochain défenseur… bref.

Mais quand le nouveau défenseur, une fois votre dossier en main et après l’avoir analysé, vous explique que vous vous êtes fait entuber d’un bout à l’autre de l’histoire et que la suite risque d’être pus que très délicate, vous évoluez alors entre deux sentiments, le premier étant de prendre les armes et d’aller vous expliquer avec vos détracteurs, l’avocate, l’association, votre femme et bien entendu son agresseur de petit ami, le deuxième étant de vous reprendre et d’envisager la suite en respectant les procédures. J’ai bien entendu choisi la deuxième voix.

Mais voilà, la première avocate ayant outrageusement menti dès le dépôt de la première requête, vous vous retrouvez dans l’obligation de demander l’annulation pure et simple de la procédure pour pouvoir enfin engager la bonne… et là, c’est chaud bouillant.

L’argument utilisé pour demander l’annulation mettant en cause votre premier défenseur, le magistrat en charge de votre dossier va devoir prendre une décision, s’il accepte votre requête, il reconnaît implicitement les écarts de votre défenseur, et dans le monde judiciaire, rares sont les magistrats qui ont le courage de s’en prendre à un membre de leur corporation.

Quand bien même il accepte votre requête en annulation, la partie adverse va alors considérer cette action comme étant une déclaration de guerre, elle mettra alors en œuvre tout ce qui est en sa possession pour faire traîner les choses, et quand une des deux parties n’est pas très riche, le temps joue généralement en faveur de celui qui a les moyens d’attendre, ce qui n’est pas mon cas.

S’il n’accepte pas la requête, vous êtes bons pour pleurer et compter vos pertes, qui sont, vous vous en doutez, innombrables.

À commencer par la perte de vos enfants, votre situation financière ne vous permettant plus de les assumer pleinement (l’argument consistant à faire reconnaître l’asphyxie financière de l’autre n’étant pas recevable puisque ce n’est pas la bonne requête qui a été initiée) et aucune possibilité de faire reconnaître cette situation comme étant le résultat du comportement de votre conjoint. Le magistrat se fout bien de savoir que vous êtes devenu pauvre grâce aux actions destructives de votre conjoint, il s’en tiendra à la requête initiale qui ne prend pas ce genre de détails en compte.

10 ans de votre vie sacrifiée pour rien, un travail à plein temps non reconnu, votre carrière au point mort et que vous devez relancer, des comptes totalement asséchés et aucun espoir d’obtenir la moindre compensation… avouez qu’il faut avoir une certaine confiance pour continuer à vivre après ça.

Mais voilà, je n’ai plus rien à perdre, alors je ne vais pas lâcher l’affaire, cela prendra le temps qu’il faut, mais je me battrai, et quoi qu’on en dise, je le ferai avant tout pour mes enfants, quand on à vécu cette aventure fabuleuse qui est celle du parent au foyer, ceux-ci deviennent de fait comme partie intégrante de votre chaire et vous avec énormément de mal à imaginer la suite de votre vie sans eux.

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(")_(") Maître Maa

Avocat menteur, ce serait pas un pléonasme ?

wp-media-31Corruption de compétition

Acte 27, paragraphe 22, verset 18…

Après avoir galèré plusieurs mois pour pouvoir exfiltrer mon dossier de chez mon ex-avocate, je suis maintenant en mesure de confirmer la très très mauvaise gestion de celui-ci par celle-là…

Non seulement il y’a manifestement eu du laissé aller, mais en y regardant de plus près, et grâce à l’aide considérable d’un ami avocat qui à bien voulu jeter un œil dans tous ce fourbi juridique, il en ressort un dossier entaché de mensonges absolument infectes qui non content de me mettre dans une situation extrêmement délicate, démontrent surtout le caractère presque criminel du comportement de mon ex-avocate.

Je n’irai pas par quatre chemins, mon avocate est une menteuse, et je le dis sans détour, une menteuse…

Quand je l’ai rencontré la première fois et que je lui ai proposé mon affaire de divorce, j’ai été très clair sur plusieurs points, trois pour être précis :

  • L’adultère (divorce pour faute),
  • La danse (passion dévastatrice qui est à l’origine de la destruction de ma famille),
  • Audition des enfants.

Dès les premiers jours de notre correspondance par courriel, je lui demanderai par exemple :

  • Puis-je changer les serrures ?
  • Puis-je me désolidariser du compte bancaire commun ?

Par la suite, après la réunion de non conciliation, je constaterai plusieurs infractions à l’ordonnance commise par mon épouse et j’en avertirai mon avocate en presque temps réel :

  • Elle s’introduira à plusieurs reprise à mon domicile en mon absence, vidant les placards (l’ordonnance m’accorde la jouissance exclusive du domicile),
  • Elle va oublier de payer certaines de ses obligations (l’ordonnance lui impose le paiement de certaines sommes),

A ce jour, aucun des faits sus-cités n’à été respecté, ni fait l’objet d’une quelconque réaction de la part de l’avocate, je m’explique (j’ai bien d’autres détails croustillant, mais je m’en tiendrai à ceux-ci pour le moment) :

Premier point concernant la requête initiale et la demande de divorce pour faute, l’ordonnance fait état d’une demande de divorce sans considérations des faits à l’origine de celui-ci… premier mensonge…

Deuxième point, la danse, en absence de divorce pour faute, ce détail disparait de la procédure… deuxième mensonge…

L’audition des enfants, l’ordonnance indique que les enfants ayant été informés par leurs parents de leur droits à être entendus mais n’en ayant pas fait la demande, ils n’ont pas été entendu et ne le seront pas… troisième mensonge…

En possession de l’ordonnance, je me rendrai chez mon avocate pour me faire expliquer ces petits détails que je trouve étrangement peu en rapport avec ma plainte initiale ou ses précédents discours sur le sujet.

Elle me confirmera oralement lors d’un entretiens, que ce ne sont là que des lettres types et que je ne dois pas m’inquiéter, que tout ceci sera débattu lors de la phase contradictoire. Là encore il s’agira d’un énorme mensonge, mais ce n’est que le quatrième…

Concernant notre correspondance électronique, c’est très simple, elle n’a jamais (jamais !) répondu à mes messages, aucune réponse, jamais…

Résultat, mon épouse se pointera à plusieurs reprises à mon domicile car je n’ai pas oser changer les serrures de peur de me mettre en porte à faux avec la loi, un oubli de l’avocate qui va permettre à mon épouse de bien s’amuser.

Concernant la désolidarisation du compte commun, l’oubli de mon avocate se terminera par un découvert et des frais que je devrais assumer alors qu’ils représentent presque le double de ma capacité financière… Mon épouse va oublier de payer certaines de ses obligations, et ce sont mes provisions, à moi qui respecte mes engagements, qui seront absorbées par les oublis de madame… Chômeur, je verrai partir près de trois mois d’indemnités, et devrai en plus rembourser en urgence mes traites (pourtant provisionnées) à un cabinet de recouvrement…

Ces deux oublis me sont extrêmement préjudiciable, si mon avocate m’avait répondu pour les serrures, mon épouse n’aurait jamais pu s’introduire à mon domicile en mon absence, elle n’aurait pas pu vider les placards et ne serait pas partie avec pratiquement tous les documents administratif de la famille.

Si elle m’avait répondu pour la désolidarisation bancaire, je n’aurais pas eu à payer les oublis de mon épouse et je continuerais à jouir des provisions « en avance » que j’avais veillé à toujours verser sur le compte.

Ces deux points constituent à eux deux de multiples infractions à l’ordonnance de non conciliation, pourtant, mon avocate ne fera rien, ne rebondira pas, ne contactera pas la partie adverse, et laissera tranquillement l’eau couler sous les ponts.

Pire, un jour, elle va me promettre (oralement) de déposer un référé pour que mon épouse se fasse tirer les oreilles, mais elle n’en fera rien. Cinquième mensonge…

Aujourd’hui, je suis dans l’obligation de demander une annulation de la procédure en plaidant le manque d’information, mon avocate tenant un discours avec moi et un autre avec la cour, et je ne le découvre malheureusement que maintenant.

Cette demande d’annulation risque d’être refusée, auquel cas, je suis vraiment dégoûté car j’aurais tout perdu en croyant être défendu par un professionnel qui n’était en fait qu’un escroc… aie !

Si elle est acceptée, la partie adverse le prendra pour une déclaration de guerre et la suite de la procédure prendra encore plus de temps, les délais vont s’allonger… déjà que je suis sur la paille, je ne suis pas vraiment sûr de pouvoir tenir le coup, matériellement parlant.

Dans l’état actuel des choses, j’ai payé une avocate pour rien… super !

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(")_(") Maître Maa

Les signes ne mentent jamais…

wp-media-42Et ils étaient nombreux…

La première avocate qui ne fait rien,

La justice qui ne bouge pas alors que la partie adverse commet infraction sur infraction,

Les difficultés pour pouvoir quitter la première avocate,

Les finances qui ne suivent pas,

Le dernier RDV avec le nouvel avocat, pour justement lui payer une partie de ses honoraires, qui est annulé,

L’argent qui reste dans le portefeuille,

Le portefeuille qui est volé…

Je crois que c’est écrit quelque part, ce n’est pas vraiment la peine de continuer et puis avec ce dernier coup du sort, je n’ai vraiment plus le goût à cela.

C’est la vie…

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(")_(") Maître Maa

Papalacaz, On avance !

wp-media-13J’ai la banane !

Lorsque je demande gentiment des nouvelles de l’affaire en cours à mon avocat, je n’ai pas de réponses.

Quand je lui dis que j’en ai marre, que je veux solder mon compte et que j’ai l’intention de continuer avec un de ces confrères, la réponse est immédiate, et j’obtiens un RDV sur le champ.

Bon, je vais donc lui demander un RDV, j’aurais peut-être le montant de mon restant dû…

Je navigue en plein délire, seulement, le temps passe et ne sert pas mes intérêts, cette situation n’a que trop duré et la moindre des choses serait de me libérer histoire que je me débrouille autrement.

C’est une véritable prise d’otage.

L’association qui m’a conseillé cet avocat est quant à elle totalement sourde et muette à mes questions, bien entendu.

J’ai vraiment du mal à comprendre certaines choses, notamment leur vision de la notion de service rendu, ou plutôt l’absence totale de cette notion.

Les réponses obtenues ce jour, semblent confirmer la légèreté de l’implication de ces deux organismes quant à leur gestion des affaires de leurs adhérents et il est donc hors de question que je continue à cautionner de telles incompétences, surtout à ce prix.

Pour un chômeur, perdre un an et plus d’un mois de salaire est énorme, et après les préjudices subits comme suite aux agissements de la partie adverse, je me serais bien passé d’en subir de la part des organismes censés me défendre et en qui j’avais donné toute ma confiance.

Pour terminer, je paraphraserai ma grand-mère en ironisant sur ma chienne et son gros ventre…

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(")_(") Maître Maa

Papalacaz, le cri du cœur…

wp-media-15Père au foyer, le plus beau métier du monde…

L’histoire que je vais vous raconter est une histoire vraie !

Je vais vous raconter une histoire absolument rocambolesque, une aventure qui pourrait être extraordinaire si elle n’était pas banale…

C’est une histoire vraie qui est arrivée à une de mes amies, et je pense qu’il est de mon devoir de citoyen de la relater, parce que les faits qui se sont produits sont plutôt choquants et que malgré une fin plutôt bonne, personne n’en a parlé.

Comme de nombreuses femmes, elle a choisi d’être mère au foyer à la naissance de son premier enfant, et de fait, de quitter le monde du travail pour se consacrer à sa progéniture.

Pendant ce temps, son mari lui en a profité pour faire avancer sa carrière, prendre du galon, et monter les échelons.

Monsieur, grand fatigué devant l’éternel par son travail harassant, s’est trouvé une passion dans les danses de salon, car, disait-il, cela lui permettait de se décontracter et d’avoir moins de pression.

Et force fut de constater, par mon amie et les enfants (car entre temps, un deuxième était né), qu’effectivement, la pression tombait et l’homme moins stressé, affichait un bonheur que toute la famille partageait.

Elle aurait bien aimé sortir avec son mari, mais les cours de danse ayant lieu généralement le soir, il fallait bien quelqu’un pour garder les enfants… ce qu’elle fit, sans même se poser de question, le truc normal quoi.

La passion s’est malheureusement développée, et le père allait sortir jusqu’à 3 soirs par semaines… en moyenne !

Cette passion ira jusqu’à prendre de plus en plus de place dans la famille, à un point qu’il n’hésitera pas à abandonner son épouse et ses deux enfants des journées entières pendant qu’il s’y adonnait à des kilomètres de là. Et comme il prenait le véhicule familial pour s’y rendre, le reste de la famille n’avait d’autre choix que d’attendre son retour, coincé à la maison.

Avec lui, les week-ends commençaient à 17 h le dimanche… quand il ramenait la voiture.

Il sortira jusqu’à des heures pas possibles, rentrant chez lui à 6 h du matin, alors que son réveil est censé sonner à 6 h 30… pour aller travailler…

La fatigue aidant, cette passion se transforme en calvaire pour les trois autres membres de la famille, monsieur est souvent fatigué, dors beaucoup pour rattraper, les week-ends y passent et le reste de la famille attends…

Quand il se réveille, c’est pour aller travailler, quand il revient du travail, c’est pour travailler (les copies, la nouvelle réforme du machin…, bref), et quand il finit de travailler, c’est pour sortir…

Vous sentez venir le truc hein, et vous avez bien raison, un jour, excédée, elle prêche faux et obtiens fatalement le vrai, la danse n’était qu’un prétexte pour la tromper avec une de ces partenaires de danse justement.

Dur et tellement banal de nos jours, découvrir que l’être que vous aimez depuis 25 ans vous trompe depuis plusieurs années, ça fait mal.

Mon amie n’apprécie pas, et on la comprend, et annonce alors à son mari qu’il doit en choisir une des deux, normal me direz-vous.

Mais monsieur aime manger à tous les râteliers, et la valse des mensonges commence alors qui durera plus d’un an, un an où il quittera l’autre plusieurs fois, pour la retrouver juste après, puis la requittera… la retrouvera…

Elle en a marre et décide de mettre un terme à cette comédie, appréciant moyennement que monsieur et sa copine se moquent d’elle aussi impunément, elle le mettra alors devant son dernier choix, décidant elle même de s’en tenir à la décision de son mari si celui-ci décidait d’aller voir ailleurs si l’herbe était plus verte, ce qu’il fit, sans une once de courage, puisqu’il ira jusqu’à mettre la difficile décision dans la bouche de sa copine, incapable qu’il était de le faire soi-même.

La copine de monsieur ne se fera pas prier, et attrapera en plein vol et du premier coup une si belle occasion de détruire la famille de la femme de son copain.

Une fois la séparation décidée par l’autre copine, ce lâche n’ayant pas eu les corones de le faire lui même, elle lui demandera alors de partir de la maison vivre avec elle puisqu’apparemment c’est ce qu’il veut.

Il partira, la queue basse et le regard fuyant, laissant sa femme et ses deux enfants seuls au domicile conjugal.

Petite précision, entre temps, mon amie s’est blessée bêtement aux pieds en glissant sur le trottoir et elle s’est cassé, les deux chevilles… aie, les deux !

Oh, rien de grave, mais le truc bête, quand on à un pied cassé on à toujours la possibilité de marcher avec des béquilles, mais les deux, même si ce sont de petites fractures, c’est tout de suite moins drôle au quotidien.

C’est pourtant en la sachant dans cet état qu’il l’abandonnera, ainsi que le domicile et les enfants…

J’ai presque eu honte quand j’ai appris ça, et je suis immédiatement allé la voir pour lui proposer mon aide, elle déambulait assise sur un fauteuil de bureau, et s’était même inventé un système avec un manche à balai pour pouvoir attraper les denrées sur les étagères devenues trop hautes pour elle qui était assise. J’avais du mal à l’imaginer en train de s’occuper de ces deux monstres (je les adore ces deux gamins et j’ai décidé il y’a longtemps que je faisais parie de ceux qui avaient le droit de les appeler des monstres, na !)…

Sur ces entrefaites, monsieur découvre qu’il a peut être fait une bêtise en partant un peu vite et surtout en abandonnant les enfants seuls avec une épouse fortement diminuée, mais aussi, peut être, parce qu’il vient de s’apercevoir qu’il n’aurait peu être pas du vider les comptes non plus, il est fonctionnaire, son épouse est… euh… mère au foyer chômiste sans indemnités, il cherche à rattraper le coup, ça ne fait aucun doute.

Ni, une ni deux, il va en profiter un jour pour inviter ses deux enfants à aller grignoter un truc dans un resto, c’était un mercredi, les enfants étaient aussi peu enjoués que ça (ils ont déjà très mal pris le sacrifice de la danse, et moyennement apprécié la séparation pour une partenaire de danse justement), et bien entendu, il ne les ramènera pas comme promis.

Mon amie n’est pas contente (et on la comprend), le contacte et lui annonce qu’elle veux venir les rechercher, elle se déplace alors très péniblement avec des béquilles, l’un de ses pieds peut éventuellement se poser pour quelques pas, et elle a de nouveau le droit de conduire, mais pas trop.

Le mari lui propose de venir chez lui (chez sa copine en fait), elle ne se pose aucune question et s’y rend sur le champ…

Ce qui l’attend là bas est un guet-apens digne des films les plus noirs de la série du même nom, la rencontre tourne au vinaigre, le mari et sa nouvelle copine se jouent d’elle en la prenant de haut, elle ne reconnaît pas son mari, il est totalement sous le contrôle de la copine, la soumission semble totale. N’appréciant pas de se voir ainsi insultée, et comprenant qu’elle ne repartira pas avec ses enfants et que tout ceci est un vulgaire guet-apens, elle essaye alors de s’extraire de l’endroit avant que cela ne dérive de trop… elle n’en aura pas le temps.

Au sortir d’un dialogue de sourds, la copine de monsieur va lui sauter dessus (littéralement, la plainte déposée est très claire sur ce point) la plaquer au sol (elle est en béquilles je vous le rappelle) et une fois immobilisée, lui donnera plusieurs coups de poing à la tête, le tout parce qu’elle aurait coupé la parole à monsieur et que ceci constitue à son humble avis, une violence verbale qui mérite d’être réprimée par la force sans sommation.

Les enfants assistent à la scène… choc !

Retour chez elle, sans les enfants…

Et début de l’histoire judiciaire…

Quand son avocat est informé, il dépose immédiatement un référé auprès du JAF, utilisant l’agression pour le justifier, et une plainte au pénal pour l’agression.

Dans la semaine, la garde totale sera accordée à la mère ainsi que l’autorité parentale, le père sera invité à se trouver une autre copine moins violente, ou alors à assumer de ne pas pouvoir avoir la garde de ses enfants, même exceptionnellement tant qu’il vivra avec celle qui pourrait éventuellement reconnue coupable d’agression sur personne diminuée, le JAF reconnaissant implicitement le caractère délictueux de l’agression, mais ne pouvant le juger puisque hors de sa juridiction.

La complicité des deux amants sera retenue elle aussi, le guet-apens prenant alors la couleur de la préméditation.

La passion de monsieur sera retenue comme étant une des causes de la destruction de la famille, et une circonstance aggravante dans son comportement.

Le guet-apens est retenu par le TGI, la procédure suivra son cours au pénal.

Une provision, correspondant aux sommes que le mari avait empruntées sur le compte commun, sera exigée en urgence avec des frais très importants en cas de retard constaté.

Une somme conséquente sera versée pour dommages et intérêts.

Ainsi qu’un capital correspondant à la compensation du sacrifice qu’elle avait consenti en arrêtant de travailler pour s’occuper de ces enfants.

Au total, la somme permettra à mon amie de racheter le domicile conjugal.

L’agression sera jugée plus tard, et le résultat pourrait encore aggraver les choses pour monsieur, la copine elle, s’en tape, elle à pas d’enfants à perdre ni de boulot… et puis elle est riche, elle paiera…

L’histoire que je viens de vous raconter est totalement fausse.

Pour être plus précis, cette histoire est à refaire, mais au lieu de parler de mère au foyer, on va mettre un homme à la place, moi, un père au foyer.

Je vous laisse faire les conversions, mais l’histoire est la même, jusqu’au début de l’histoire judiciaire.

À partir de ce moment-là, l’histoire se déroule totalement et bizarrement, différemment pour moi.

Et je vais être très concis, puisque pour moi, rien n’a été fait, l’agression date d’un an et le seul retour judiciaire que j’ai pu obtenir, c’est d’apprendre que ma plainte pour l’agression avait été classée…

Rien, et quand je dis rien, c’est pas pour dire pas grand-chose non, rien !

Nada, Niet, Nicht, Nothing… RIEN !

Abandon des enfants… rien !

Vidages des comptes… rien !

Agression… rien !

Violations répétées et constatées de l’ordonnance de non-conciliation… rien !

Alors quand on me demande pourquoi j’ai créé une page Facebook… comment dire… à vous de voir ?

En gros, je suis un père au foyer, de ceux qui font la une des magasines féminins quand il s’agit de vendre une feuille de chou parlant des ces nouveaux héros d’Hommes modernes, mais qui lorsqu’ils divorcent, redeviennent très rapidement un simple détail inexistant dans l’inéquitable équation du divorce pour laquelle notre société à pris la mauvaise habitude de tout accorder à la mère.

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(")_(") Maître Maa

P.-S.

J’ai laissé volontairement de côté de nombreux détails qui viennent pourtant allourdir le tableau pour me concentrer sur les plus évidents.

Lettre ouverte au président de la planète

wp-media-3Papa Noyelle…

Ma Liste…

Cher [1] président de la Réunion de la France du Monde du Tampon,

Pour noyelle, je voudrais bien que tu mettes un peu la pression sur le JAF histoire de lui rappeler qu’un divorce peut se juger en quelques semaines, quand on le veut bien.

En butinant sur la toile à la recherche d’informations, de lectures, de soutiens ou tous simplement de contacts humains, chose qui se fait très rare chez moi ces derniers temps, je suis tombé sur cette information et je n’ai pu m’empêché de faire le lien avec ma propre histoire.

Bon d’accord, mon conjoint n’est pas parti à l’autre bout de la planète avec les deux gamins, mais son radicalisme est lui très prononcé et je crains pour la santé mentale de mes enfants si personne n’intervient pour les ex-filtrer de cet environnement qui est tout sauf sain.

Autre petit détail qui va très certainement te faire hérisser le poil, je suis un homme… un papa au foyer comme on dit, et si tu pouvais essayer de ne pas en prendre ombrage, ce serait cool. Parce que, tu vois, la société elle, elle à vraiment un problème avec les pères qui se sont sacrifiés pour s’occuper de leurs enfants et qui, au moment de faire les comptes, ne sont tous simplement pas pris en considération, alors que madame de son côté, n’a que quatre mots à prononcer pour gagner toutes les batailles la guerre et bien entendu le magot : Je Suis La Mère…

Argument imparable, il faut le reconnaître, et ce ne sont pas les 150 que je mets en contrepartie qui vont peser quoi que se soit dans la balance, mais je m’égard.

Si tu pouvais aussi réveiller le procureur de mon quartier pour lui demander comment une plainte déposée par un handicapé pour agression sur personne vulnérable par l’amant de son ex-chère et ex-tendre future-ex-épouse, a pu être classée, surtout quand on sait que la procédure de divorce était déjà engagée au moment de l’action.

Bon et si t’as encore deux minutes après ça, si tu pouvais me trouver du taf, ce serait Byzance avant l’heure, mais pour ça, je ne me fais pas trop d’illusion.

Pour terminer, si tu croises mon avocat, dis-lui que bibi s’inquiète vraiment de son absence et qu’une ‘tite bafouille l’est pas d’refus… de temps en temps tous du moins, pour dire bonjour, ou pour… euh non, ça, m’informer du déroulement de mon affaire, il ne l’a jamais fait depuis un an, je vois pas pourquoi il commencerait aujourd’hui.

J’ai été très sage, je n’ai pas trop mis les doigts dans mon nez, j’ai été gentil avec le facteur et je n’ai pas oublié de tirer la chasse quand je suis allez voter, par contre, j’ai du jeter l’urne après…

Oualaa, bisous, à plus…

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(")_(") Maître Maa

Notes

[1] : Vu ce qu’il nous coûte…