Peuple de France, le premier ministre te demande de te rebeller, lève toi et écoutes le…

 

un-depute-francais-au-travailAux armes citoyens…

Ne prenez que les quatre premières minutes de la vidéo, essayez tous du moins de les regarder entièrement, c’est très dur, je sais.

https://www.youtube.com/watch?v=W3uQJn5NKzY

Il s’agit d’une déclaration de notre premier ministre qui appelle à la rébellion du peuple français, pas moins…

Monsieur le premier ministre, vous ne comprenez pas pourquoi les Français ne sont pas descendus en masse dans la rue suite à l’agression (encore) d’un ressortissant d’une faction minoritaire d’une communauté elle-même minoritaire ?

Vous ne comprenez pas pourquoi les Français sont si peu nombreux à soutenir cette, toujours elle, communauté à laquelle vous êtes personnellement très attaché ?

Vous ne comprenez pas que les Français commencent à avoir du mal à digérer votre propension à déverser votre bile dès que la, encore elle, communauté en question est un tant soit peu égratignée, le tout sur coulis d’antisémitisme, et que c’est peut être pour ça que justement ils n’étaient pas dans la rue, monsieur le premier ministre, parce qu’à force de nous gonfler avec vos salades, on finit par se lasser.

Non, le peuple de France n’est pas majoritairement attaché à cette communauté à laquelle vous vous l’êtes, et en l’appelant à la rébellion, espérez juste que cette fois il ne vous écoute pas en masse.

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(")_(") Maître Maa

Je ne suis pas un sale zor et j’emmerde ceux qui le pensent !

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Lettre ouverte

Monsieur le Maire du Tampon, Mesdames et Messieurs les Maires des autres communes de l’Île, Réunionnaises, Réunionnais,

Je tiens à exprimer toutes mes excuses aux habitants du quartier du marché couvert, pour le bruit causé par mon altercation avec un employé communal ce matin 10 octobre 2014, j’ai bien dit le bruit, pour les propos, je clarifie ci-après.

La rue Machin [1] est très étroite à cet endroit près du garage de réparation automobile, et nous, habitants du quartier, avons l’habitude de slalomer pour nous frayer un chemin, surtout en journée la semaine, et franchement, même si des fois c’est limite, cela ne me dérange pas plus que ça, c’est la vie, et puis quelque part, cela fait partie des charmes du quartier, aussi…

Maintenant, si quelqu’un se met à faire des travaux sur la rue, il est tout de suite moins facile de circuler, surtout si la zone de travaux n’est pas déclarée par des panneaux, ou que lesdits panneaux sont placés directement sur la chaussée, rendant alors la circulation pratiquement impossible dans de bonnes conditions, c’est le moins que l’ion puisse dire.

Bon, je ne suis pas du genre à chipoter pour quelques centimètres, ni quelques minutes non plus, mais voyant sept personnes en train de travailler sur le chantier, dont quatre qui ne font rien, fument leurs cigarettes ou papotent ente elles, je me permets alors de les interpeller pour leur demander de déplacer le panneau de quelques centimètres, histoire de faire sauter le bouchon de la rue.

Je ne puis décrire la réponse d’un des personnages inutiles du chantier (comprendre, un de ceux qui papote), car celle-ci sera visuelle, disons que « fait pas ch… » est la première expression qui me vient à l’esprit pour traduire le geste.

Pas content, je réitère ma demande avec un peu plus de vigueur, et sa réponse déclenchera toute la procédure : « biiip sale zoreil… »

En 2014, sur notre Île, il y’a encore des comportements comme celui-ci, et tout cela commence à devenir inacceptable pour les victimes.

Marre de ce silence, de cette paix sociale, qui sous prétexte de ne pas froisser certaines catégories sociales, dénigre le blanc de métropole pour tous les crimes commis par des centaines de générations avant lui, et qui petit à petit à finit par entrer dans le langage commun, c’est vrai quoi, pourquoi s’offusquer quand quelqu’un vous traite de sale zor, ce n’est pas si grave finalement…

Sauf que c’est souvent, très souvent… trop souvent, et le fier Réunionnais que je suis en a un peu marre de se faire insulter par ses frères parce qu’il est français…

C’est quand même un comble non, oser demander à un inactif (accessoirement employé communal en service), de bien vouloir offrir quelques calories à un concitoyen et se voir insulter en retour est une situation tout à fait normale que le sale zor que je suis aussi devrait apparemment accepter et vivre sans réactions, sauf révérence et soumission, peut être… et encore.

Oui ma réaction de ce matin a été virulente, mais quelque part, ce n’était qu’une goûte d’eau, le vase était déjà à ras bord, et ce qui en est sorti n’était que le fruit de cet emmagasinage qui me pourrissait l’esprit depuis tant d’années, fatalement, ça à pété…

Oui j’ai pété un plomb, mais c’est toujours mieux que de les distribuer non ?

Quelque part, ce n’était que justice après toutes ses années à subir ce racisme patent, on ne peut reprocher à quelqu’un de décider d’arrêter de subir des agressions, et il serait temps de s’attaquer aux agresseurs, ou plus simplement, d’essayer de faire évoluer leurs idées.

Ils étaient sept, quatre regardant les trois qui bossaient…

Cette image qui pourrait prêter à sourire, sera pourtant confirmée quelques instants seulement après et par le plus grand des hasards, par une publication sur Internet d’une habitante d’un autre quartier du Tampon, qui photographie à l’appui, s’étonne de voir 10 employés communaux sur un chantier de quelques mètres carrés, coïncidence ?

Non, réalité, qui même prise au énième degré n’en est pas moins constable par les faits pratiquement tous les jours.

Nos impôts… avouez qu’on est un peu en droit de se poser des questions non ?

Et que dire alors lorsque l’on se voit ainsi insulté pour avoir osé demander à un travailleur de faire son travail ?

Ils étaient sept, quatre regardant les trois autres bosser, mais c’est moi le sale zor ?

Quant au concerné, je n’ai pas grand-chose à lui dire, si ce n’est que je suis vraiment désolé pour lui, au moins pour cette vie-là.

Ils étaient sept et six ont baissé les yeux pour regarder par terre, validant par leur lâcheté, le comportement raciste de leur collègue…

Il y’a un véritable danger dans la démocratisation de cette expression et la laisser ainsi gangréner le langage commun jusqu’à pratiquent devenir une réalité n’est pas vraiment la meilleure des voies à suivre et n’augure rien de bon pour l’avenir.

Il ne faut pas laisser certaines expressions accéder au langage commun, ou alors, bien les cadrer, sale zor n’est pas une expression sans conséquence, elle traduit une pensée qui ne souffre d’aucune ambigüité, une pensée obscure, car raciste.

Je ne suis pas un sale zor, je suis Réunionnais, je suis fier de l’être et je dis non à cette expression, elle doit disparaître des habitudes locales pour intégrer la réalité de sa fonction, c’est une insulte raciste, et son usage doit être réprimé, ou tout le moins cadré.

Un Réunionnais,

Notes
[1] : Le nom de cette rue n’a pas d’importance finalement, le but de cet article n’étant pas de faire sanctionner qui que se soit, les concernés se reconnaîtront… ou pas.

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(")_(") Maître Maa

 

Heures sombres, le retour…

Face à faceLa délation en France aujourd’hui ?

En des temps reculés, mais non point si éloignés que ça quand même, notre pays fut le théâtre de guerres meurtrières, qui comme chacun sait, on fait de trop nombreuses victimes parmi les citoyens de notre nation.

Sous l’occupation, certains citoyens français, si l’on peut les appeler des citoyens tant leurs actions furent particulièrement détestables, s’adonnèrent à une pratique nauséeuse qui consistait à vendre (gratuitement en plus) certaines informations concernant d’autres citoyens, sous le fallacieux prétexte qu’ils représentaient des ennemis de l’occupant.

Ma grand-mère, qui adorait les adages, me disait pourtant que l’ennemi de mon ennemi est mon ami, mais pour ces sous-citoyens, l’occupant étant devenu leur ami, ils en fut tout autre, et ce fut avec un certain plaisir qu’ils n’hésitèrent point à forniquer avec le diable pour, j’imagine, le petit plaisir personnel.

Leur jeu favori était de dénoncer le « Juif » ou le résistant, sachant pourtant parfaitement quels sorts leur seraient réservés, ils n’en donnèrent pas moins le cœur à l’ouvrage, y mettant toute leur énergie pour satisfaire, et leur ego et l’occupant qui n’en demandait pas tant, mais qui en appréciait quand même les résultats.

Je ne vais pas m’appesantir sur les ravages causés par ces praticiens de l’immonde, l’histoire et les Français ont suffisamment de retours aujourd’hui pour savoir que c’était juste des sous merdes et que cette partie est plus à reléguer aux oubliettes qu’autre chose.

Les Français aujourd’hui n’ont pas oublié ces collabos, ces balances ou bien encore ces raclures de dénonciateurs, et c’est souvent avec mépris qu’ils en parlent, le geste n’est jamais passé, ne passe toujours pas et ne passeras jamais.

Imaginons pourtant que je m’amuse aujourd’hui à publier sur mon site Internet, et ce régulièrement, des informations nominatives concernant certains de mes concitoyens, leurs patronymes, leurs adresses postales, et même pourquoi pas, le nom de leur employeur, les prénoms de leurs enfants ou bien encore carrément, les noms des écoles qu’ils fréquentent.

Bien entendu, pour justifier mon immonde travaille de collabo, je me reposerais sur des accusations absolument abjectes, non fondées et non prouvées, comme l’antisémitisme par exemple, qui est aujourd’hui l’excuse la plus facile à mettre en œuvre et qui ne demande aucune justification, si ce n’est qu’il suffit de dire que vous avez été contredit par quelqu’un qui n’était pas d’accord avec vous.

Il ne se passerait pas deux heures après la publication de mon premier message pour que je sois fort probablement victime d’un accident ou que je sois assigné en justice pour diffamation, ce qui, il faut bien en convenir est tout à fait normal.

Mais voilà, il y’a en ce moment même en France, une communauté dite organisée, reconnue dans d’autres pays comme les États-Unis comme étant une association terroriste, protégée par le ministère de l’Intérieur et logée par nos impôts, qui elle peut tout à fait se livrer à ce genre de pratiques calomnieuses sans que cela n’émeuve un seul instant nos instances dirigeantes. [1]

Pire, non seulement elle peut se livrer à son sport favori, qui consiste à livrer au public toutes les informations qu’elle souhaite sur n’importe qui, mais en plus elle le fait avec l’aval de notre gouvernement, sous prétexte que leur argument-choc, l’antisémitisme, est devenu à les croire l’argument preuve que la personne dénoncée est par avance coupable et qu’elle mérite le lynchage sans procès.

Aujourd’hui en France, on trouve donc sur un site dont je tairai le nom pour ne pas lui faire de pub, des publications invitant les lecteurs à aller « casser » du quenelleur en fournissant toutes les informations nécessaires, du patronyme à l’adresse postale. [2]

Il y’a quelques mois, les Français ont pu assister à un magistral spectacle organisé par le ministre de l’Intérieur, financé par son incompétence et nos deniers et bien entendu relayé par la presse, qui comme à son habitude, se mit aux ordres sans discuter, publiant les messages de propagande de notre illuminé de la place Beauvau, le doigt sur la couture du pantalon, qui pourtant semblait bien baissé sur le coup.

Ah qu’elle fut belle cette affaire de la quenelle, et qu’il est beau notre Dieudonné favori, bouffon adoré et adulé par son vrai public, qui comme lui était, et est toujours grand amateur de ce geste potache et émancipateur.

C’était sans compter sur la ci-avant citée communauté terroriste organisée, qui, peu ravie de constater le succès de cette émancipation gestuelle, ne put s’empêcher de ressortir se vielles sorcières afin de pouvoir partit à leur chasse avec toute l’armada qu’on leur connaît, à commencer par un gouvernement obéissant et le sempiternel vocable accusateur d’antisémite, suffisant à lui seul à faire condamner toute personne qui aurait l’outrecuidance de ne pas boire son fiel vomitif et meurtrier.

Les appels, les contres appels, les menaces et les vociférations de notre manolo national, rien n’y fera, l’émancipation avait pris son élan, la quenelle était devenue incontrôlable, elle avait quitté le giron de son géniteur pour être appropriée par le peuple qui trouvait en elle un moyen facile et pas cher de dire ce qu’il pensait à ce gouvernement qui avait encore et encore démontré son mépris envers ceux qui pourtant attendaient tant de lui.

C’est là que la communauté à sorti de son chapeau la définition qui allait faire se retourner dans leur tombe tous les Larousse et tous les Robert du monde : la quenelle est un salut nazi inversé, et par sa définition, mérite que tout soit fait pour que leurs auteurs soient irrémédiablement mis au ban de la société et ce quelques soient les moyens utilisés. Quand la communauté exige, tout est autorisé, le gouvernement se couche et les machines judiciaires, politiques, policières et même militaires se mettent en branle pour aller dénicher le quenelleur lycéen, et tant pis si ça lui fait rater son bac… [3]

Dénichons le simple travailleur, et tant pis si ça lui fait perdre son travail… le pompier, et tant pis pour se carrière, le flic, le militaire, le blanc, le noir, la mère de famille… et tant pis si cela détruit leurs vies, la quenelle est devenue le crime du siècle, leurs auteurs doivent être abattus à vue, et tant pis, là aussi, pour les dommages collatéraux, quand même, merde !

C’est dans ce combat nauséabond que le courageux contributeur du site Internet va œuvrer, non seulement en publiant des informations personnelles et privées sur des quenelleurs qui auraient été reconnus sur des photos publiées sur des réseaux sociaux, mais en plus, en accompagnant ses publications de messages incitant ses lecteurs à retrouver et lyncher les personnes dénoncées. [4]

Bien entendu, on reconnaît bien là le courage mondialement reconnu de ce membre vénéré de la communauté en question qui demande à d’autres de se charger du sale boulot, lui se contentant juste de dénoncer, tranquillement assis derrière son clavier et prêt à prendre l’avion pour son pays d’origine au cas où cela dégénérerait. Ce qui ne manquera pas de se produire, lorsqu’il remarquera que la chose est en train de prendre une tournure qui pourrait se retourner contre lui, qui de par son site est malheureusement connu, et sur ce point, il ne peu s’en prendre qu’à lui même, contrairement à toutes ses victimes, lui n’a pas été dénoncé, au contraire, il signe tous ses articles de son vrai nom. [5]

Ce n’est pas une fiction, c’est en ce moment même en France, et l’origine de cette vague de dénonciation est carrément signée et assumée par la communauté juive de France… glup’s, LICRA, CRIF, LDJ et le fameux site de collabos, tous affichent en grand leur appartenance à cette communauté qui fait le bonheur et l’adhésion de notre ministre de l’intérieur, en gros, cette même communauté qui fut pourtant la principale victime des dénonciations calomnieuses dont je parlais en début d’article et qui furent monnaie courante pendant la Deuxième Guerre mondiale.

Comment une communauté qui à tant souffert du comportement abject de quelques citoyens pendant la guerre, peut elle aujourd’hui user des mêmes méthodes pou lutter contre un ennemi inexistant et le faire lyncher ? [6]

Il est bon à ce moment de rappeler que les associations citées ci-avant, ne sont en rien représentatives de la communauté dont ils affichent pourtant fièrement le nom, je connais bien des pratiquants de ce culte qui ne se reconnaissent absolument pas dans ces groupuscules qui ne sont appréciés par personne, à commencer par les membres de la communauté dont ils se disent pourtant être les représentants.

Attention aux amalgames, la quenelle n’est pas un geste anti Juif, ni même antisémite, c’est juste un geste anti système, un geste d’émancipation qui froisse juste une toute petite partie d’une toute petite partie d’une frange de la population mondiale, une partie que s’affiche comme représentant les Juifs, mais qui en fait n’est que l’officine du mouvement sioniste et qui n’est en rien reconnue ou appréciée par les vrais Juifs de confession, qui eux prônent plutôt le respect et la tolérance.

Et puis, être antisémite cela veut dire quelque chose de précis et cela s’applique à une région très précise de la planète, alors que les initiateurs et les agitateurs de ces histoires sont eux localisés à une région beaucoup plus petite dans laquelle on ne retrouve que quelques rares représentants de la zone qui les hébergent. [7]

Suis-je anti Européen parce que j’ai eu maille à partir avec mon voisin qui est un habitant de l’Europe, ou suis-je juste un anti voisin ?

L’amalgame est facile et il est très important pour toute personne possédant un esprit critique actif de bien se poser les bonnes questions, les problèmes actuels ne viennent pas des Juifs (jamais ils n’auraient la très mauvaise idée d’utiliser la délation pour servir leurs intérêts sachant toute la douleur que cela représente pour eux, contrairement aux sionistes qui utilisent absolument toutes les ficelles possibles et inimaginables sans se soucier des incohérences ni des dégâts causés, bien au contraire, plus il y’a aura de dégâts et mieux ce sera pour eux), mais des sionistes qui sont reconnus même en Israël pour être des terroristes, ils ne bénéficient de la caution de personne, ils ont juste du pouvoir et de l’argent. Les sionistes sont un mal partout où ils posent les pieds, ne savent faire que la guerre, ne respectent personne, et ne tolèrent absolument rien qui ne soit pas de leur fait. Ce sont les plus gros parasites de notre planète, et contrairement à ce qu’ils essayent de faire croire à tous le monde, ils ne sont qu’un tout petit nombre et n’ont le soutient de personne, tout ce qui les composent n’est qu’une vitrine avec derrière un vide sidéral, et le jour où les citoyens du monde s’en apercevront, je ne donne pas cher de leur survie.

Non les Juifs ne sont pas des collabos, par contre les sionistes… avouez que la question mérite d’être posée non ?

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(")_(") Maître Maa

Notes

[1] : La LDJ, ou Ligue de Défense Juive, ou Ligue des Danseuses Juives, est interdite d’exercice et a été démantelée en Israël et aux États-Unis, car reconnue comme étant une organisation terroriste.

[2] : Le nom de ce site s’écrit en trois lettres, la première est un J et les deux suivantes sont les deux lettres qui à l’époque de cette funeste et dernière grande guerre, désignait pourtant l’ennemi, le tout est suivi par le vocable fort mal placé de « news », je vous laisse découvrir le suffixe du domaine ça ne devrait pas être difficile.

[3] : Fantabuleuse contradiction des accusateurs immaculés de la bien pensense sioniste, si le signe est inversé, c’est qu’il veut dire l’inverse de ce qu’est censé représenter l’original, c’est donc un salut antinazi par définition. On remarquera d’ailleurs un succulent rétropédalage de l’accusateur principal, lui même à l’origine de la cabale anti Dieudonné, qui expliquera plus tard que ce geste n’est antisémite que s’il est pratiqué devant un bâtiment religieux ou un mémorial de la Shoah. La encore on pourrait lui rétorquer qu’une synagogue n’est pas sémite, ni même la Shoah, mais comme il n’en est pas à une contradiction près, on va le laisser s’enliser tranquillement dans ses croyances…

[4] : Là aussi, le travail de destruction sera fait en totale adéquation avec les idées de son auteur, sans vérifications, sans chercher à comprendre quoi que se soit et en se foutant cordialement des dommages collatéraux ou des éventuelles erreurs d’appréciations. Il s’en suivra la dénonciation complètement ridicule et fausse d’un journaliste qui fut un jour surpris de découvrir un article le nommant lui est son employeur (qui n’était autre que lui même, bonjour le sérieux du travail effectué) comme étant un antisémite quenelleur méritant d’être lynché sur la place publique. Bon joueur, celui-ci ne fera que relever le manque de sérieux de la méthode, mais ne portera pas plainte pour dénonciation calomnieuse.

[5] : Une des marques de fabrique de la milice qui agit au nom des délateurs est d’agir à visage couvert, si possible en surnombre et de fuir très vite quand les forces en présence se défendent avec un peu trop de vigueur à leur goût.

[6] : Il faut bien comprendre que pour les sionistes, le simple fait d’être en désaccord avec leurs idées fait de vous un antisémite et le soutien pathétique que leur accordent bon nombre de gouvernement et d’institutions leurs donnent le pouvoir de déclarer qui ils veulent comme étant un ennemi à abattre par tous les moyens, même si le crime ou le délit n’existe que dans leurs petits esprits étriqués.

[7] : La zone géographique occupée par les Sémites est plutôt vaste, sur la carte liée, la zone occupée par les sionistes ne représente que quelques pixels… qu’on se le dise, il existe donc une vraie différence entre être antisémite et antisioniste.

De la proportionnalité des moyens…

wp-media-36Pour arriver à ses fins…

En droit français, il y’a une notion de proportionnalité lors d’une atteinte, au bien ou à la personne.

Si vous utilisez un char d’assaut contre un cambrioleur muni d’un Opinel, ce n’est pas proportionnel.

Par contre, si le cambrioleur est en possession d’un char d’assaut, qui est une arme de guerre, vous êtes alors en droit de vous défendre en utilisant à votre tour une arme de guerre, vous restez dans le cadre de la proportionnalité.

Postulats :

  • Sachant que les danseuses de la LDJ ont à maintes reprises prouvé par leurs actions héroïques, comprendre, s’attaquer à des innocents non violents et désarmés, qu’ils étaient coutumiers du trouble à l’ordre public, si cher à notre ministre de l’intérieur,
  • Qu’ils n’ont de courage que lorsqu’ils sont à 10 ou 12 contre un,
  • Qu’ils n’hésitent pas à utiliser divers objets en guise d’armes, comme des bâtons ou des couteaux,
  • Sachant que ceux-ci sont catégorisés comme étant des armes blanches, voir pour certains modèles, carrément des armes de guerre,
  • On ajoute à cela, le caractère terroriste confirmé de l’association, interdite aux États-Unis et dans le magnifique territoire dont elle porte pourtant le nom.

Pour conclure :

Il est donc tout à fait normal d’envisager une riposte défensive qui utiliserait des moyens proportionnellement équivalents à ceux utilisés par l’agresseur.

Actions :

Nous, peuple de France, dépositaire du pouvoir suprême par la démocratie que nous vénérons et qui n’existe que parce que nous le décidons et le voulons, demandons, que dis-je, exigeons de nos services de polices et de nos pouvoirs publics qu’ils assument leurs responsabilités en prenant position fermement contre cette association reconnue comme terroriste par nos grands amis d’outre-Atlantique, mais aussi et surtout en agissant promptement pour défendre le peuple qui n’en attend pas moins de leur part.

La LDJ doit être démantelée et les agitateurs qui la promeuvent destitués de leurs mandats, notamment ceux qui exercent au grand jour des professions qui ne sont pas compatibles avec les idéaux de leurs employeurs, qui jusqu’à preuve du contraire sont les Français eux-mêmes.

Le peuple de France est légitimement en droit de se poser de sérieuses questions quant au comportement des élites qui sont censées le protéger, l’impunité manifeste dont semble jouir ce groupuscule est troublante pour ne pas dire fortement teintée de trahison, à commencer par celle de ceux-là mêmes qui devraient être les premiers à s’offusquer que de telles actions se produisent sur leur territoire.

Le peuple de France ne peut que constater l’incapacité de son gouvernement à faire face à ces menaces de plus en plus répétées de la part de personnes parfaitement identifiées, pour certaines très connues et contre qui rien, mais alors rien du tout n’est envisagé.

Pire, le peuple de France se voit imposé de la manière la plus honteuse, par l’intermédiaire de nominations au sein même de l’appareil de l’état et de l’appareil judiciaire, des nominations des membres mêmes de ce groupuscule à des postes de très grandes responsabilités.

Il est évident que notre gouvernement n’est plus que l’ombre de lui même et qu’il est piloté par les marionnettistes de ce groupuscule.

Français, lève toi et marche, poste-toi en sentinelle contre l’envahisseur qui essaye de s’infiltrer, recherche celui qui est déjà sur nos terres, traque-le et présente le devant son tribunal pour qu’il soit jugé !

Français, ton gouvernement t’a trahi en vendant notre âme à son banquier !

Français, il est temps de te réveiller et de te remémorer ceci :

Article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793

Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Et j’ajouterais cette petite mélopée avec laquelle je m’endors tous les soirs et dont je suis le modeste géniteur :

Maître Maa a osé commettre

Tous les soirs, je m’endors avec le doux murmure de la pierre à aiguiser glissant paresseusement sur la lame de la guillotine, tout en me fredonnant l’article 35 de la constitution des droits de l’homme et du citoyen de 1793…
Puis je dors…

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(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Papalacaz, le cri du cœur…

wp-media-15Père au foyer, le plus beau métier du monde…

L’histoire que je vais vous raconter est une histoire vraie !

Je vais vous raconter une histoire absolument rocambolesque, une aventure qui pourrait être extraordinaire si elle n’était pas banale…

C’est une histoire vraie qui est arrivée à une de mes amies, et je pense qu’il est de mon devoir de citoyen de la relater, parce que les faits qui se sont produits sont plutôt choquants et que malgré une fin plutôt bonne, personne n’en a parlé.

Comme de nombreuses femmes, elle a choisi d’être mère au foyer à la naissance de son premier enfant, et de fait, de quitter le monde du travail pour se consacrer à sa progéniture.

Pendant ce temps, son mari lui en a profité pour faire avancer sa carrière, prendre du galon, et monter les échelons.

Monsieur, grand fatigué devant l’éternel par son travail harassant, s’est trouvé une passion dans les danses de salon, car, disait-il, cela lui permettait de se décontracter et d’avoir moins de pression.

Et force fut de constater, par mon amie et les enfants (car entre temps, un deuxième était né), qu’effectivement, la pression tombait et l’homme moins stressé, affichait un bonheur que toute la famille partageait.

Elle aurait bien aimé sortir avec son mari, mais les cours de danse ayant lieu généralement le soir, il fallait bien quelqu’un pour garder les enfants… ce qu’elle fit, sans même se poser de question, le truc normal quoi.

La passion s’est malheureusement développée, et le père allait sortir jusqu’à 3 soirs par semaines… en moyenne !

Cette passion ira jusqu’à prendre de plus en plus de place dans la famille, à un point qu’il n’hésitera pas à abandonner son épouse et ses deux enfants des journées entières pendant qu’il s’y adonnait à des kilomètres de là. Et comme il prenait le véhicule familial pour s’y rendre, le reste de la famille n’avait d’autre choix que d’attendre son retour, coincé à la maison.

Avec lui, les week-ends commençaient à 17 h le dimanche… quand il ramenait la voiture.

Il sortira jusqu’à des heures pas possibles, rentrant chez lui à 6 h du matin, alors que son réveil est censé sonner à 6 h 30… pour aller travailler…

La fatigue aidant, cette passion se transforme en calvaire pour les trois autres membres de la famille, monsieur est souvent fatigué, dors beaucoup pour rattraper, les week-ends y passent et le reste de la famille attends…

Quand il se réveille, c’est pour aller travailler, quand il revient du travail, c’est pour travailler (les copies, la nouvelle réforme du machin…, bref), et quand il finit de travailler, c’est pour sortir…

Vous sentez venir le truc hein, et vous avez bien raison, un jour, excédée, elle prêche faux et obtiens fatalement le vrai, la danse n’était qu’un prétexte pour la tromper avec une de ces partenaires de danse justement.

Dur et tellement banal de nos jours, découvrir que l’être que vous aimez depuis 25 ans vous trompe depuis plusieurs années, ça fait mal.

Mon amie n’apprécie pas, et on la comprend, et annonce alors à son mari qu’il doit en choisir une des deux, normal me direz-vous.

Mais monsieur aime manger à tous les râteliers, et la valse des mensonges commence alors qui durera plus d’un an, un an où il quittera l’autre plusieurs fois, pour la retrouver juste après, puis la requittera… la retrouvera…

Elle en a marre et décide de mettre un terme à cette comédie, appréciant moyennement que monsieur et sa copine se moquent d’elle aussi impunément, elle le mettra alors devant son dernier choix, décidant elle même de s’en tenir à la décision de son mari si celui-ci décidait d’aller voir ailleurs si l’herbe était plus verte, ce qu’il fit, sans une once de courage, puisqu’il ira jusqu’à mettre la difficile décision dans la bouche de sa copine, incapable qu’il était de le faire soi-même.

La copine de monsieur ne se fera pas prier, et attrapera en plein vol et du premier coup une si belle occasion de détruire la famille de la femme de son copain.

Une fois la séparation décidée par l’autre copine, ce lâche n’ayant pas eu les corones de le faire lui même, elle lui demandera alors de partir de la maison vivre avec elle puisqu’apparemment c’est ce qu’il veut.

Il partira, la queue basse et le regard fuyant, laissant sa femme et ses deux enfants seuls au domicile conjugal.

Petite précision, entre temps, mon amie s’est blessée bêtement aux pieds en glissant sur le trottoir et elle s’est cassé, les deux chevilles… aie, les deux !

Oh, rien de grave, mais le truc bête, quand on à un pied cassé on à toujours la possibilité de marcher avec des béquilles, mais les deux, même si ce sont de petites fractures, c’est tout de suite moins drôle au quotidien.

C’est pourtant en la sachant dans cet état qu’il l’abandonnera, ainsi que le domicile et les enfants…

J’ai presque eu honte quand j’ai appris ça, et je suis immédiatement allé la voir pour lui proposer mon aide, elle déambulait assise sur un fauteuil de bureau, et s’était même inventé un système avec un manche à balai pour pouvoir attraper les denrées sur les étagères devenues trop hautes pour elle qui était assise. J’avais du mal à l’imaginer en train de s’occuper de ces deux monstres (je les adore ces deux gamins et j’ai décidé il y’a longtemps que je faisais parie de ceux qui avaient le droit de les appeler des monstres, na !)…

Sur ces entrefaites, monsieur découvre qu’il a peut être fait une bêtise en partant un peu vite et surtout en abandonnant les enfants seuls avec une épouse fortement diminuée, mais aussi, peut être, parce qu’il vient de s’apercevoir qu’il n’aurait peu être pas du vider les comptes non plus, il est fonctionnaire, son épouse est… euh… mère au foyer chômiste sans indemnités, il cherche à rattraper le coup, ça ne fait aucun doute.

Ni, une ni deux, il va en profiter un jour pour inviter ses deux enfants à aller grignoter un truc dans un resto, c’était un mercredi, les enfants étaient aussi peu enjoués que ça (ils ont déjà très mal pris le sacrifice de la danse, et moyennement apprécié la séparation pour une partenaire de danse justement), et bien entendu, il ne les ramènera pas comme promis.

Mon amie n’est pas contente (et on la comprend), le contacte et lui annonce qu’elle veux venir les rechercher, elle se déplace alors très péniblement avec des béquilles, l’un de ses pieds peut éventuellement se poser pour quelques pas, et elle a de nouveau le droit de conduire, mais pas trop.

Le mari lui propose de venir chez lui (chez sa copine en fait), elle ne se pose aucune question et s’y rend sur le champ…

Ce qui l’attend là bas est un guet-apens digne des films les plus noirs de la série du même nom, la rencontre tourne au vinaigre, le mari et sa nouvelle copine se jouent d’elle en la prenant de haut, elle ne reconnaît pas son mari, il est totalement sous le contrôle de la copine, la soumission semble totale. N’appréciant pas de se voir ainsi insultée, et comprenant qu’elle ne repartira pas avec ses enfants et que tout ceci est un vulgaire guet-apens, elle essaye alors de s’extraire de l’endroit avant que cela ne dérive de trop… elle n’en aura pas le temps.

Au sortir d’un dialogue de sourds, la copine de monsieur va lui sauter dessus (littéralement, la plainte déposée est très claire sur ce point) la plaquer au sol (elle est en béquilles je vous le rappelle) et une fois immobilisée, lui donnera plusieurs coups de poing à la tête, le tout parce qu’elle aurait coupé la parole à monsieur et que ceci constitue à son humble avis, une violence verbale qui mérite d’être réprimée par la force sans sommation.

Les enfants assistent à la scène… choc !

Retour chez elle, sans les enfants…

Et début de l’histoire judiciaire…

Quand son avocat est informé, il dépose immédiatement un référé auprès du JAF, utilisant l’agression pour le justifier, et une plainte au pénal pour l’agression.

Dans la semaine, la garde totale sera accordée à la mère ainsi que l’autorité parentale, le père sera invité à se trouver une autre copine moins violente, ou alors à assumer de ne pas pouvoir avoir la garde de ses enfants, même exceptionnellement tant qu’il vivra avec celle qui pourrait éventuellement reconnue coupable d’agression sur personne diminuée, le JAF reconnaissant implicitement le caractère délictueux de l’agression, mais ne pouvant le juger puisque hors de sa juridiction.

La complicité des deux amants sera retenue elle aussi, le guet-apens prenant alors la couleur de la préméditation.

La passion de monsieur sera retenue comme étant une des causes de la destruction de la famille, et une circonstance aggravante dans son comportement.

Le guet-apens est retenu par le TGI, la procédure suivra son cours au pénal.

Une provision, correspondant aux sommes que le mari avait empruntées sur le compte commun, sera exigée en urgence avec des frais très importants en cas de retard constaté.

Une somme conséquente sera versée pour dommages et intérêts.

Ainsi qu’un capital correspondant à la compensation du sacrifice qu’elle avait consenti en arrêtant de travailler pour s’occuper de ces enfants.

Au total, la somme permettra à mon amie de racheter le domicile conjugal.

L’agression sera jugée plus tard, et le résultat pourrait encore aggraver les choses pour monsieur, la copine elle, s’en tape, elle à pas d’enfants à perdre ni de boulot… et puis elle est riche, elle paiera…

L’histoire que je viens de vous raconter est totalement fausse.

Pour être plus précis, cette histoire est à refaire, mais au lieu de parler de mère au foyer, on va mettre un homme à la place, moi, un père au foyer.

Je vous laisse faire les conversions, mais l’histoire est la même, jusqu’au début de l’histoire judiciaire.

À partir de ce moment-là, l’histoire se déroule totalement et bizarrement, différemment pour moi.

Et je vais être très concis, puisque pour moi, rien n’a été fait, l’agression date d’un an et le seul retour judiciaire que j’ai pu obtenir, c’est d’apprendre que ma plainte pour l’agression avait été classée…

Rien, et quand je dis rien, c’est pas pour dire pas grand-chose non, rien !

Nada, Niet, Nicht, Nothing… RIEN !

Abandon des enfants… rien !

Vidages des comptes… rien !

Agression… rien !

Violations répétées et constatées de l’ordonnance de non-conciliation… rien !

Alors quand on me demande pourquoi j’ai créé une page Facebook… comment dire… à vous de voir ?

En gros, je suis un père au foyer, de ceux qui font la une des magasines féminins quand il s’agit de vendre une feuille de chou parlant des ces nouveaux héros d’Hommes modernes, mais qui lorsqu’ils divorcent, redeviennent très rapidement un simple détail inexistant dans l’inéquitable équation du divorce pour laquelle notre société à pris la mauvaise habitude de tout accorder à la mère.

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(")_(") Maître Maa

P.-S.

J’ai laissé volontairement de côté de nombreux détails qui viennent pourtant allourdir le tableau pour me concentrer sur les plus évidents.

T’es en France, et t’as même pas de gouvernement ? Nan mais allô quoi !

personne-ne-nait-racisteEt pourtant !

Je pense que l’on a atteint les limites de notre patience, je ne crois pas trop m’engager en parlant au nom de mes concitoyens français, les ceux d’en bas, et les payeurs d’impôts, entre autres.

Je n’appartiens à aucune communauté religieuse, et j’apprécie mon pays parce qu’il fait partie de ceux qui justement n’imposent aucune direction à leurs citoyens, les laissant pratiquer ou pas, le culte qui leur convient, laïc, il paraît qu’on dit.

C’est quand même un des éléments les plus importants de notre constitution, et l’absence de religion au sein des institutions, une protection contre une possible prise de contrôle par l’une d’elles.

D’aucuns sont gentiment remis sur le droit chemin, qui après avoir un peu trop ostensiblement affichés un signe d’appartenance à une communauté, un foulard, une croix, se voient tirer l’oreille en prime time au 20 h, avant d’être lourdement emprisonnés, voire reconduis à la frontière après, si c’est possible.

Dans le même temps, des députés, travaillent tranquillement, la kippa rivée sur le crâne, mais eux, seront promus ministres…

Pour être franc, le français que je suis est bien emmerdé, désolé pour les mots crus, mais cette histoire de quenelles me fait chier.

En arriver à devoir presque être obligé de prendre position pour prouver que nous ne somme pas antisémite, tout ça parce que nous pensons qu’une quenelle n’est qu’un geste potache et que la dérive organisée par les fausses victimes est en train de virer à lia guerre civile.

un-depute-francais-au-travail

La quenelle est un geste antisémite ?

Soit, la justice pourrait éventuellement trancher, mais tout citoyen ayant un minimum de cervelle, ne peut être que mort de rire en imaginant la tête du type qui aurait le courage d’aller voir un juge et de lui expliquer la chose, le ridicule ne tue pas dit on, je n’en suis pas si sûr, en tout cas, moi je n’en survivrais pas…

En attendant une justice qui ne se prononcera jamais, étant donné le ridicule de la requête, les fausses victimes, avec l’appui de représentants de notre gouvernement, qui sur le coup seront soudainement atteints de cécité totale (oui oui, ceux-là mêmes ci-avant cité), se permettent de faire justice eux-mêmes, et qui une fois relâchés (relâchés ? malgré les aveux et les preuves !) sont carrément invités dans des médias complaisants pour y être interviewé… en exclusivité. Morandini tiens toi bien, on à trouvé encore plus grave que toi, et la concurrence va être rude.

Je vous livre ci-après (copie conforme, fautes comprises), quelques morceaux de choix de l’interview ainsi que deux liens pour y lire l’originale, l’un est le site du média complaisant lui-même, l’autre est celui de leur organisation, qui comme elle affiche son nom publiquement, ne verra pas d’objection à ce que je le répète ici, qui se nome : la Ligue de Défense Juive

i24news

Un des « 6 justiciers anti-quenelles » mis en examen dans les expéditions punitives à Lyon contre les personnes qui ont fait le salut nazi inversé, était mardi soir sur le plateau d’i24news, où il a souhaité gardé l’anonymat.

Définition du mot inversé, et bravo pour l’anonymat, je reconnais bien là l’apanage des lâches…

Le justicier

Nous avons appelé le responsable pour attendre des sanctions mais elles n’ont pas été prises. Nous avons donc décidé de faire justice nous-mêmes, d’agir nous-mêmes et de frapper fort.

Et mon grand-père qui me répétait tous le temps que l’on ne devait jamais faire justice soit même… mais ce devait être sur une autre planète, ou un rêve, ou les deux…

Le justicier

Quelle est la prochaine étape ?
La prochaine étape c’est la surprise. Nous n’avons pas l’habitude d’exposer nos types d’actions avant de les concrétiser.

Clair, et comme ils seront là aussi anonymes… lâches, tout ça, tout ça…

Le justicier

Nous avons pu faire augmenter le taux de chômage en France car énormément de personnes ont été licenciées après avoir effectuées des quenelles.

Non mais là stop, je dis stop, je rêve éveillé là, être fier de contribuer à l’augmentation du taux de chômage, la provocation est énorme, elle en est presque drôle, faudrait vraiment être taré pour se laisser avoir, c’est de l’enfumage de compétition, du pur terrorisme et c’est cautionné par l’état, hallucinant…

Je suis en France encore ? C’est juste une question, au passage…

Le justicier

Dieudonné en ligne de mire ?
Ce qu’on peut dire aujourd’hui c’est que Dieudonné est une cible potentielle à nos yeux.
Alors oui, Dieudonné n’est pas à n’est pas à l’abri, Alain Soral n’est pas à l’abri. D’autres personnes ne sont pas à l’abri.

Dieudonné fait rire des milliers de spectateurs, un ministre (sans sa kippa pour une fois) déclare qu’il s’agit de troubles à l’ordre public…

La Ligue de Défense Juive menace publiquement et nominativement des personnalités, et des citoyens, ou sont les réactions ?

Le justicier

Cela ne nous amuse pas de prendre de notre temps, de notre travail, de notre vie privée pour agir en toute impunité.

Bon, là c’est sûr, c’est la caméra cachée…

Oui ça me fait chier, parce que je n’ai vraiment aucun ressenti particulier envers les juifs, et que cette escalade ridicule est absolument abjecte. Elle nous met tous dans une position très délicate, nous pousse les uns contre les autres, tous les français sont devenus des coupables potentiels, et le gouvernement laisse faire sans réagir alors que des agressions sont perpétrées, et des menaces diffusées avec l’aide des médias…

Y’aurait pas comme un problème là ?

Tout est fait pour déclencher un conflit, et j’appelle tous les Français à être extrêmement vigilants, l’adversaire n’attendant qu’une étincelle pour lâcher ses bombes, il va falloir être aussi pacifiste que nous savons le faire, si nous cédons à la provocation, il va vraiment y avoir une guerre en France.

Monsieur le président de la République, allez-vous faire quelque chose ?

Je n’ai pas le souvenir d’avoir glissé un bulletin de la Knesset dans l’urne aux dernières élections française… j’ai au contraire eu le malheur de voter pour vous (parce que j’avais vraiment pas envie de me taper l’autre 5 ans de plus), et je n’aurais aucun scrupule à voter votre démission.

Cette provocation va continuer longtemps ?

Vous êtes mon représentant, et en mon âme et conscience je vous le dis, je désapprouve totalement le pouvoir que vous accordez licitement à une association qui ne représente en rien les français, et qui ne représente d’ailleurs même pas les juifs de cœurs.

Monsieur le président, si vous n’êtes pas capable d’agir face à cette prise de contrôle manifeste d’une toute petite minorité, il est de mon devoir de citoyen de vous prévenir que je pourrais bientôt considérer la résistance comme seule solution pour vous amener à la raison.

Et je ne sais ce qu’en pensent mes concitoyens, mais à en juger les échos rien que dans mon entourage, il y’a du monde qui pense comme moi.

Monsieur le président, la balle est dans votre camp, sachez faire en sorte qu’elle ne sorte pas de sa douille.

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(")_(") Maître Maa

Je suis antisémite…

wp-media-54Et je ne l’assume pas du tout !

Bon, ça c’est fait…

Pour ceux qui ne me connaissent pas, c’est-à-dire environ 99,999999999 % de la population mondiale, je blogue depuis une période que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître.

J’en ai dit des conneries en 20 ans, et j’en ai écrit aussi, mais jamais je ne me suis senti autant en insécurité que depuis quelque temps.

Je ne me suis jamais exprimé au nom d’une idéologie, d’une religion, d’un groupe ou de qui que ce soit, j’ai toujours privilégié l’information potache et impertinente, avec des morceaux d’humour à deux balles qui ne fait rire personne, à part peut-être deux ou trois fans inconscients éparpillés dans le monde.

C’est un des avantages d’être français que de pouvoir aussi facilement s’exprimer sur n’importe quel sujet, et ce en toute sécurité, sans avoir peur d’une quelconque sanction pouvant provenir d’une quelconque police de la pensée.

Aujourd’hui, je me risque à m’engager sur un sujet qui me dérange fortement, non pas le sujet en lui même, mais plutôt la manière dont il est instrumentalisé par les représentants de notre administration actuelle (et un peu celle d’avant aussi).

Vous l’avez deviné, le sujet dérangeant actuel s’appelle Dieudonné Mbala Mbala, plus connu sous le pseudonyme de Dieudonné Tout Court Tout Court…

Oui, aujourd’hui en France, en 2014 (ou presque), oser prononcer son nom est presque devenu un crime pour lequel toute sanction s’impose sans même chercher à savoir si elle est proportionnée, un char Leclercq pour chasser une mouche, c’est efficace, un peu radical, mais efficace quand même.

J’ai hésité à écrire cet article parce que je sais que je vais être catalogué, ouh le Pachymouthe il aime Dieudo, c’est un antisémite, un pédocyberterroriste, il faut l’abattre et tout et tout…

Oui j’aime Dieudo, comme bon nombre de mes concitoyens français un peu ouvert d’esprit et qui aiment l’humour à la con, tout comme j’adorais Coluche, Desproges ou Le Luron… bonne époque ça d’ailleurs.

Aujourd’hui, au-delà des mots ou du discours de l’artiste, on assiste à une véritable instrumentalisation du phénomène Dieudo par toute une frange de la sphère politique française, qui a décidé que Dieudo, et toutes personnes le soutenant, devaient être abattues sans sommation.

Bon, il est sympa le Manolo, mais il oublie que nous sommes plusieurs dizaines de millions, et qu’il est un peu seul avec sa bande de margoulins de service, surtout que même la police, la gendarmerie ou l’armée semblent plutôt du côté du potache en bermuda, que des poltrons cravatés.

Le souci n’est pas là, mais bel est bien dans la définition même de notre belle démocratie (que j’aime peut être plus que Dieudo, mais je sais qu’il ne m’en tiendra pas rigueur, lui-même la préférant à moi, pas de jaloux), et surtout dans ce qui fait La France, la liberté d’expression, ou la liberté tout court.

La France, le pays des libertés !

En 1997, lors d’un déplacement professionnel à Taipei, j’ai été bien emmerdé quand, reconnaissant en moi un représentant de ce pays magique qu’est la France, les clients d’un restaurant sont venus me voir gentiment pour me demander de leur expliquer ce qu’est la liberté…

Outche, bonjour la question de la mort qui tue la belle mère de la fille du facteur…

Je me suis mis dans leur peau quelques instants pour essayer de comprendre la question déjà, c’est que je n’ai jamais appris ça à l’école moi.

Je parle de la notion de liberté, pas du mot, mes questionneurs étaient vraiment à la recherche d’une explication, et la présence d’un Français une aubaine pour enfin apprendre ce truc complètement incompréhensible pour eux.

Je n’avais pas beaucoup de mots, mon vocabulaire chinois se limitant à aucun mot, je l’avoue, et mon anglais pas beaucoup plus, nous discutions avec mon dictionnaire Français/Anglais et un carnet sur lequel on dessinait chacun notre tour pour se faire comprendre.

Magie de l’international, et soirée inoubliable, amis Taïwanais, je vous salue, je pense encore a vous 15 ans plus tard depuis ma petite île de la Réunion, tiens, encore une île.

Malgré tout, j’avais vraiment du mal à leur expliquer que cette liberté n’était pas aussi flagrante et je n’arrivais pas à trouver les bons mots, quand tout à coup, sur une des télévisions du restaurant, je vois des images des manifestations populaires qui secouent le pays tous les ans : la fête des cerisiers en fleurs.

En tendant l’oreille, je m’aperçois que la musique diffusée est de la Trance Goa, genre que j’affectionnais particulièrement à l’époque, et que j’aime toujours autant d’ailleurs, au grand dam de mes voisins, que je salue au passage, et sur les images, je vois effectivement un DJ en train de s’éclater avec son public (plusieurs dizaines de milliers de personnes, dans un parc magnifique, en plein jour, et où même les flics s’amusaient…).

Je rebondis alors sur le reportage et dis à mes auditeurs :

En France, ce genre de fêtes sont interdites, et si vous y allez quand même, vous avez de fortes chances de terminer votre soirée en prison…

Je vous laisse imaginer leur tête, ils ne me croyaient pas, pour eux il était tout bonnement impossible qu’un pays aussi développé et libre que le nôtre puisse interdire à sa population de s’amuser…

Déjà à l’époque, je trouvais que la France glissait sur une drôle de pente, et quelque part, j’imaginais déjà ce qui risquait de se passer si rien n’était fait et ce que deviendrait lia France en continuant dans cette voie.

Aujourd’hui, l’actualité me conforte dans mes craintes, la France n’est plus le pays des libertés, comme bon nombre de nos amis étrangers se l’imaginent, la France est devenue une dictature, et trop nombreux sont les citoyens qui font mine de ne rien voir.

Ce qui est en train de se passer aujourd’hui avec Dieudo me fait bien plus peur que les aventures pittoresques que nous vivions tous les week-ends quand nous partions jouer avec les Gendarmes en essayant de les semer pour ne pas qu’ils trouvent notre Rave planquée dans les bois au-dessus Grenoble… c’était même marrant à l’époque.

Aujourd’hui, donc, je prends un risque sur ma vie en parlant de ça, parce que j’ose m’exprimer sur ce qui me semble être un énorme dysfonctionnement de notre système qui, sous le couvert de fausses accusations absolument hallucinantes, se fout royalement de la séparation des pouvoirs et où un sinistre ministre se permet de déclarer vouloir faire taire un humoriste pour des raisons de troubles à l’ordre public.

Merde alors, si maintenant faire rire est un crime…

Et j’insiste sur le fait que ce n’est pas l’homme en lui même qui est un sujet inquiétant, mais le fait qu’en France, on en arrive à nous accuser de tous les maux du monde pour oser simplement s’exprimer sur ces dysfonctionnements, et où plutôt que d’organiser un débat de fond, on préférera abattre à vue en se basant juste sur une toute petite partie de la forme.

J’estime pour ma part qu’en France, on devrait encore avoir le droit de s’exprimer sur ce genre d’affaires sans pour autant être catalogué comme complice de l’ennemi public Numéro 1, ce texte n’est pas un pamphlet dédié à la défense de Dieudo, mais juste un point de vue sur le glissement que subit notre république et la perte de valeurs que cela implique.

C’est inquiétant et j’espère vraiment que nous, les représentants du peuple français n’allons pas laisser faire ça, il est temps de faire comprendre à nos dirigeants, que nous ne les avons pas élus pour qu’ils nous fassent taire, amis au contraire pour qu’ils parlent en notre nom.

Et quand notre manolo national (non je n’écrirais pas nom), se permet de dire qu’il faut faire taire un humoriste au nom de tous les Français, je lui rappellerais alors gentiment, que c’est nous qui le ferons taire aux prochaines élections.

L’heure est grave mes amis, la France se meure, sauvons là du naufrage, sachons garder notre sang-froid, notre calme (surtout pas de violence, ils n’attendent que ça en face), notre humour et vive les quenelles…

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(")_(") Maître Maa

Mayotte : Agressée pour un téléphone…

wp-media-28Secourue par deux inconnus !

Mayotte : Une adolescente étranglée pour un portable au bord d’une route par deux individus…

Bon, au-delà du fait lamentable concernant l’agression, j’ai plutôt envie de relever le comportement de l’automobiliste qui est venu à son secours.

Car dites-vous bien que si un jour vous êtes confronté à une histoire de ce genre, tous ceux qui se demandent s’ils doivent agir et qui n’osent pas (et on les comprend, y’a quand même des risques de s’en prendre quelques-unes) le feront si un seul d’entre eux commence.
La suite ?