
On avance…
Ou pas !
650 € minimum pour simplement commencer à travailler sur mon appel, c’est le tarif il paraît…
Aujourd’hui, mes pertes et mes dettes se chiffrent avec 4 zéros…
Ne pas oublier les 2 500 euros d’honoraires, dont la part « pertes » est facile à chiffrer puisque c’est tout simplement du 100 % pour rien…
Mes revenus, même s’ils passent de chômeur à smicard, restent de toute manière inférieurs à toutes possibilités d’investissements supplémentaires… en gros, je vais déjà avoir beaucoup de mal à rembourser ce que je dois déjà, aggraver la dette serait inconscient de ma part.
Je porte plainte contre cette justice pour outrage à citoyen !
Le jugement de mon divorce est une perle d’oublis, et si dans une coure de justice il existe un délit d’outrage à magistrat, alors il devrait exister une transposition pour les citoyens, je m’en servirais alors contre cette justice qui par sa décision inique, démontre son mépris et insulte la véritable victime en éludant toutes les responsabilités de tous les vrais responsables, se contentant d’un jugement vide sans prendre le moindre risque vis-à-vis de l’un ou l’autre parti.
Des faits extrêmement graves se sont produits, à commencer par les oublis nombreux des avocats gérant mon dossier. Deux avocates, qui l’une après l’autre souffriront de cette même maladie qui semble toucher spécialement les avocats réunionnais.
Toutes les deux sont extrêmement difficiles à joindre, pour ne pas dire tout simplement impossible.
Toutes deux, semblent avoir des problèmes avec leurs messageries électroniques et il est là aussi, presque impossible de savoir si elles reçoivent bien les messages qu’on leur envoie.
Bien entendu, les messages contenant quelques mentions à leurs honoraires, ou une relance pour restant du, ont eux toujours su trouver ma boîte de réception, bizarrement.
Il suffit de comparer ma boîte de messages envoyés et ma boîte de réception pour voir que d’un côté on frise la centaine et de l’autre en deux ans, pas encore la dizaine, dont 7 pour des tarifs ou des relances d’honoraires.
Toutes deux semblent avoir mal interprété les pièces et les informations que je leur ai fournies, par exemple mon sacrifice (volontaire et assumé) de 10 ans comme père au foyer, et la décennie de vie commune avant mariage, qui éludés tous les deux, donnent à mon dossier une toute autre saveur où il n’est pas difficile de me reprocher d’avoir voulu profiter de la manne de ma prof de femme… et donc de ne rien m’accorder… du tout… ouche !
Sur ces deux points, je mets au défi les deux avocates concernées de bien vouloir m’expliquer pourquoi ces détails n’ont pas été portés au dossier.
Toutes deux ne feront l’impasse sur le contexte, et ignorerons royalement, toutes, je dis bien toutes, les infractions commises par la partie adverse qui sont pourtant très facile à prouver pour certaines d’entres elles et ce alors que je les en informerais en quasi temps réel.
Ainsi, ma femme se permettra de continuer à vivre chez moi comme si elle y était toujours, prétextant que cette maison étant à nous deux, elle pouvait continuer à en jouir à sa guise, rien que ça.
Un matin, je la surprendrais en train de vider un tiroir de documents administratifs, elle est entrée sans frapper, est allé directement au bureau comme si elle était chez elle, youpi tralala… Je lui ferai remarquer qu’elle au moins à une vie privée chez son copain, et que moi, il serait normal que je puisse en avoir une. Que nenni, c’est chez elle et je n’ai rein à dire, fin de la discussion, point !
Pendant plusieurs mois, je vivrais avec la crainte de voir ma maison visitée pendant que je suis au boulot, et bien entendu, cela ne manquera pas et se produira plusieurs fois, dont une particulièrement dégueulasse de la part d’une mère aimante, où profitant de la présence des enfants, et malgré qu’ils lui diront à ce moment-là qu’elle n’à pas le droit de rentrer, elle les forcera à la laisser entrer quand même.
Alors que je suis handicapé (fortement diminué dirons nous) et me déplace très difficilement sur un fauteuil de bureau à roulette, je vais devoir assurer mon rôle de père au foyer, essayant autant que faire se peut, de vider les étagères du haut avec un balai pour tous re-ranger plus bas, à ma nouvelle hauteur « de papa à roulette », pendant que maman s’éclate avec son mec dans ses putains de soirées dansantes…
Toutes deux oublieront pourtant de signaler ce contexte particulier.
Quelques jours plus tard, ma femme vide les comptes, alors qu’elle sait parfaitement que je suis sans revenus et que je suis bloqué à la maison avec mon handicap.
Toutes deux… si si, et ce malgré une correspondance absolument surréaliste de ma femme, qui justifiera l’utilisation de la même somme (rondelette) de 4 manières totalement différentes (et sans le moindre justificatif), copies des messages transmis aux intéressées en temps réel.
Trois semaines après son départ, ma femme organise un véritable guet-apens qui commencera par le kidnapping des enfants vers midi, et se terminera le soir par une agression violente de l’amant sur ma personne (je suis encore hand, euh, fortement diminué…).
L’une ignorera totalement la chose, l’autre la soulèvera légèrement dans une de ses conclusions.
Il faudra 14 mois au procureur, et une relance, pour qu’il daigne me répondre par un classement de ma plainte…
Il faudra 48 heures à l’appareil d’état dans toute sa splendeur et son ensemble, pour traiter l’affaire du chat de Marseille et incarcérer l’auteur du crime pour un an ferme…
Avant la fin du deuxième mois après son départ, je suis déjà obligé d’emprunter 4 000 euros pour combler les oublis et autres manquements de ma femme.
Ah non pardon, ma femme à payé son avocat avec le compte commun, enfin, comme c’est aussi celui qu’elle à vidé, juste après bien sûr, en gros c’est moi qui lui ai payé son avocat, alors bon, le 700, le juge s’est assis dessus, normal, un chômeur handicapé doit payer l’avocat de sa femme fonctionnaire qui de plus est à l’origine de l’affaire…
La liste continue sur presque deux ans, et malheureusement pour moi, elle va fortement influer sur ma « courbe dépressive », j’en perdrai mon travail, le moral, l’envie de manger, et bien d’autres envies aussi.
Pourtant, tous les éléments cités ci-dessus seront méthodiquement oubliés par les deux avocates, dingue non ?
Aujourd’hui, je pourrais faire appel du jugement, mais je devrai encore me payer un avocat.
Payer un avocat ? Encore ?
Mais pour quoi faire ?
Pour qu’il ne fasse rien et que je perde encore mon temps et mon argent ?
Le 25 décembre, merci le calendrier, ne pouvant faire appel le jugement sera définitif et de ce jour-là, car ne pouvant racheter ma part de ce qui devrait pourtant me revenir, et ayant perdu tout espoir de voir un quelconque retour des sommes que j’ai engagées et donc que j’ai définitivement perdues, il sera aisé à mon ex de me faire virer tranquillement et de prendre possession de tout sans que je ne puisse prétendre à rien.
Avec l’aide de mes avocates, elle a réussi à me mettre dans une situation où je ne peux plus rien faire, pas même me défendre.
Il va y avoir la séparation des biens, et après, ben…
Heureusement que mes amis sont là pour me dire… de tourner la page et de penser à mes enfants…
Il ne me restera bientôt plus que ça d’eux, des pensées, une fois à la rue, il ne sera pas très difficile pour mon ex de démontrer mon incapacité à m’occuper sainement d’eux et à faire modifier le jugement en conséquence, là j’aurais vraiment tout perdu.
C’est presque facile vu comme ça hein ?
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(='.'=)
(")_(") Maître Maa