Je suis… prêt…

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Aux armes citoyens…

Selon l’article 35 de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1793, il est du devoir du peuple d’intervenir quand l’état ne fait plus le sien.

Article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 : Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Pour ma part, la justice pourrito-corrompue de la Réunion à pris le parti de me piétiner moi et mes droits alors que mes demandes sont parfaitement légitimes, tout en couvrant la partie adverse coupable de délits à répétition à mon encontre, la complaisant dans son sentiment d’impunité.

Je ne reconnais plus la légitimité du gouvernement français ni de ses institutions aux ordres d’un impérialisme que je ne reconnais pas non plus.

Les inégalités observées ne peuvent être le fruit de la société telle qu’elle devrait être, mais belle est bien volontaires et organisées, le but étant de favoriser l’émergence d’une guerre civile sur nos terres.

Ne soyons pas dupes, cette guerre ne servira pas nos intérêts, bien loin s’en faut.

Aujourd’hui je suis littéralement harcelé par les institutions qui continuent de me prendre ce que je n’ai pas (mais y arrivent quand même, on peut faire confiance aux banques pour ça) tout en faisant la sourde oreille quant à la recherche des véritables causes.

En jouant aux cons comme ils le font, les mafieux du système sont en train de construire leurs propres échafauds, avec un peu de chance on restera dans la métaphore, mais quand on regarde l’état dans lequel se trouve notre planète, je crains que le jour où ça va péter, ce ne soit malheureusement une justice de sang qui en ressort…

Pour Leonarda le pantin de l’Élysée n’a pas hésité en lui accordant plusieurs dizaines de milliers d’euros pour qu’elle puisse se payer (à elle, ses frères, ses sœurs, ses parents, ses oncles et ses tantes…) un avocat digne de ce nom, pour un citoyen français (plusieurs générations quand même, merde !), l’état français aura l’immense mansuétude de lui offrir une petite centaine d’euros…

Et ce n’est qu’un exemple parmi bien d’autres.

Sachant que mon histoire n’est au départ qu’une bête divorce et considérant que l’expérience acquise par l’institution judiciaire sur ce sujet est suffisante pour un traitement rapide, les erreurs (nombreuses) que l’on retrouve dans la gestion de mon dossier laissent à penser que tout ceci n’est que le fruit d’un système totalement corrompu et sclérosé.

Il faut bien comprendre que la corruption dont je parle n’est pas visible sous la forme d’une intervention ponctuelle motivée par la partie adverse, non, nous vivons aujourd’hui dans un système qui est tellement établi que les dysfonctionnements se produisent par réflexe, presque naturellement.

Il suffit d’être bénéficiaire de l’aide juridictionnel pour voir votre dossier complètement détruit par votre avocat à la faveur de l’autre partie, aucun ordre n’a pourtant été donné, non, c’est juste que par habitude, les avocats réunionnais se foutent royalement de la gueule des justiciables, comme ça, parce que tous les autres avocats le font et que c’est dans les pratiques courantes.

Ajoutons à cela, le même genre de gestion concernant les pères au foyer, qui n’en déplaise à l’abrutie de la théorie du genre n’existent tout simplement pas, et votre dossier ne sera même pas étudié par le juge, le père doit être condamné en cas de divorce, surtout s’il est pauvre, point !

La troisième couche à une couleur plus locale, si votre agresseur est un homme bien établi, chef d’entreprise (un monopole bien sûr), il peut vous massacrer, il ne risquera au pire qu’un petit rappel à la loi. Exit le scénario absolument abject du guet-apens, le kidnapping des enfants le midi pour forcer la victime à se rendre chez l’agresseur (qui profitera d’être chez lui pour s’offrir la tête d’un handicapé, au passage), les provocations, et surtout la destruction d’un bien matériel.

Pour le chômeur c’est une agression à 2 000 €, pour l’agresseur, c’est une coupe de champagne avec le procureur.

À la Réunion, tout ceci est tellement ancré dans les meurs, que les magistrats ne se rendent même plus compte du mal qu’ils font.

Dans mon affaire, je subis trois différentes formes de corruption qui sont appliquées sans réflexion.

Malheureusement pour eux, je suis un putain d’enculé de fils de pute et je n’ai pas l’intention de me laisser faire.

La merde dans laquelle ils m’ont mis ne pourra que croître, et quand ils seront obligés de passer par la case justice pour demander leurs dédommagements, je saurais alors leur rappeler toute l’histoire, je leur montrerais alors les documents prouvant ma bonne foi et s’ils décident de me condamner quand même (ce qu’ils feront, car ils n’auront jamais le courage de reconnaître leurs fautes), alors je purgerai ma peine, mais en sortant, je quitterai ce pays de merde pour un autre (j’ai déjà fait ma demande d’asile politique, j’attends la réponde de Moscou).

Elle est belle ma bergerie… ou pas !

Nous sommes très nombreux à subir ces dysfonctionnements, mais la grande majorité préfère se la jouer en mouton bien obéissant, qu’à cela ne tienne, les autres, ceux qui luttent ont décidé d’un commun accord que les moutons avaient choisi leurs morts, c’est donc devenu leur problème.

Quand les guillotines sortiront, il n’y aura pas que des pourritures qui seront raccourcies, je crains que beaucoup de moutons n’y passent aussi, pour l’exemple.

C’est nous les citoyens qui faisons les sociétés dans lesquelles nous voulons vivre, les moutons sont des traîtres et des lâches qui seront traités comme des complices du système et ils seront jugés en complices.

Tous les accusés de Nuremberg qui se sont dédouanés en disant qu’ils ne faisaient qu’obéir aux ordres ont été exécutés quand même, il serait bon je pense que les moutons ne l’oublient pas, la justice du peuple est très forte, et elle va faire très mal.

J’ai reçu un écho favorable de la part de la CEDH qui apparemment serait ravie de traiter mon affaire tellement elle adore se payer les petits enculés de mafieux locaux.

Le dossier à monter est particulièrement coton, mais j’espère réunir tous les éléments qui me permettront d’engager la procédure au niveau européen.

Que Mme L I……., M. B B……, M. D P….. et les juges qui se sont occupés de mon dossier profites encore de leurs positions privilégiées, seule ma mort les sauvera de leur perte, car j’irai au bout de mes convictions et les sanctions seront calculées par rapport aux préjudices qu’ils m’ont fait subir par leur incompétence et leur inaction.

Il y’a de la radiation et de la place au barreau de St Pierre dans l’air.

Désormais, mon dossier est entre les mains d’un professionnel de la loi non réunionnais et incorruptible.

Citoyens, l’heure est grave et sans réaction de la part des moutons, on court à la guerre, vous êtes tous prévenus.

Bien entendu, c’est mon discours qui sera montré du doigt comme celui d’un agitateur qui cherche à déstabiliser le système.

La vérité est que nous sommes très nombreux à avoir le même sentiment et les autorités l’ont très bien compris, les attentats sous faux drapeaux et le chantage à l’antisémitisme devraient éveiller les esprits les plus critiques et les préparer à la suite, le fait qu’un sioniste déclaré, accessoirement employé de la CIA équipe aujourd’hui sa police municipale avec des armes létales devrait vous donner une idée de la direction prise par la France.

Les moutons préfèrent payer pour faire semblant d’être Charlie, ils payeront pour avoir été des Philippe Pétain et seront alors jugés et traités comme lui.

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(")_(") Maître Maa

Pourquoi je suis optimiste ?

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Révolution…

On me reproche souvent des prises de position un poil trop « irrévocables »…

Hm…

Bon déjà, j’écoute les reproches que l’on me fait, et je les entends bien, mais…

Comme dirait Étienne Chouard, on devrait vraiment se concentrer sur la vraie cause et arrêter de perdre notre temps sur les mauvaises, généralement initiées par ceux-là mêmes qui ont un intérêt à ce que l’argent du contribuable soit avalé par le futile pour bien noyer l’important, voire le vital et éviter que le commun des mortels ne s’aperçoive qu’il est dans la Matrix…

Comment expliquer un état de fait, institué depuis plusieurs siècles par nos élites, toujours représentées actuellement par les marionnettes des gouvernements, touchant pratiquement tous les rouages de la société à une échelle mondiale, une stratégie tranquillement installée à grands coups de corruption à tous les étages et dont aucun homme politique actuel (dans le monde) n’échappe, aucun.

J’en suis bien incapable, je n’ai pas (encore) l’érudition nécessaire, mais je tends à y parvenir un jour, en attendant je m’informe, et concernant le paragraphe précédent, je pense que quelques vidéos de Chouard répondront pour moi.

Moi je suis un autre type d’éveillé, je sais d’avance où le menteur veut m’emmener, et ne tombe donc pas dans son petit piège pathétique.

Mais je vois aussi, de par mes lectures diverses et variées, que cette prise de conscience semble se généraliser sur toute la planète, et qu’un peu partout, des actions pacifistes sont menées avec des résultats plus que probants…

Ces actions, même si elles sont localement « amusantes » ne sont pas moins autant de revenus qui échappent au capital… aie…

Si on recoupe l’idée générale telle que très bien racontée par Étienne [1], on comprend que tout s’inscrit dans un schéma mondial parfaitement bien huilé… huilé oui, enfin presque…

Techniquement parlant, le capital en est arrivé à un point où, emporté par une logique implacable et exponentielle, il se retrouve confronté à deux variables qu’il ne gère pas, le temps et la finalité physique de notre planète.

Pour le temps, on ne va pas rentrer dans les explications quantiques, absolues, relatives ou cordiennes, prenons le juste pour ce qu’il est, un flux qui s’écoule régulièrement dans un seul et unique sens.

La finalité de notre planète, c’est simplement le fait que, quelles que soient les ressources qu’elle possède en son sein, celles-ci sont de toute manière limitées au volume de la planète elle-même qui est fixe et représentent donc un ensemble fini.

Partant de ces deux postulats, essayez de me fabriquer une équation en ajoutant une variable coût des ressources dans le temps aux deux précédentes ci-dessus expliquées, faites évoluer le prix de vos ressources sur une base spéculative exponentielle, et laissez mijoter quelques siècles…

Quel que soit le modèle économique choisi, si celui-ci est spéculatif, l’équation explose à un moment donné, elle ne peut être stable.

Aujourd’hui, le système qu’il est bien pour nous mais qu’il est quand même extorqué par nos marionnettes gouvernementales est arrivé à une étape forte de son existence, sauf qu’il n’est pas mature…

Ce système de sponsoring politique qui consiste à aider financièrement un homme pour qu’il accède à un pouvoir qui lui sera ensuite tout acquis, ce système donc à une faille, Internet.

Jusqu’à aujourd’hui, le système était bien huilé, parce que les huileurs ignoraient ce qu’ils faisaient, le rôle précis de leur existence, ne se posaient pas de question, buvaient comme petit lait l’information qu’on leur transmettait.

Internet en permettant cette transmission par d’autres sources que la propagande officielle et recommandée [2], à surtout ouvert une boîte de pandore que les gouvernants, leurs marionnettistes plutôt, n’ont absolument pas pris en considération au moment de sa naissance, ne prenant pas la chose au sérieux, et ce fut leur plus grande erreur.

Depuis une bonne dizaine d’années, on à vu naître de nombreuses lois dans le monde pour protéger l’exception culturelle et les artistes en général, LEN, LCEN, DADVSI, Hadopi…, d’autres bien plus dangereuses ont été votées à l’échelle planétaire, toujours sous le couvert de protection de la culture et du commerce, et toutes l’ont été sans aucune concertation des concernés, à commencer par les peuples eux-mêmes.

Ces peuples, qui se retrouvent aujourd’hui coupables de crimes potentiels, car possédant simplement une connexion Internet… il y’a tellement d’infractions possibles que toute personne sur la planète possédant un abonnement Internet et s’en servant, peut à tout moment se retrouver à Guantnanmo…

Si vous ne voyez toujours pas…

Mais voilà, pour nous aider et nous démocratiser, nos très chers gouvernants [3], nous ont concocté une machine administrative ultra poussive, totalement déficiente, construite en dépit du bon sens, et surtout extrêmement lente, trèèèèèèèèèès lente…

Mais lente ne veux pas dire immobile, et à cause de quelques irréductibles qui s’accrochent à leurs procédures, les couperets finissent par tomber les uns après les autres, qui sont autant de faits accablants qui ouvrent les esprits à leur manière, et là aussi, c’est une évolution exponentielle…

Résultat, ils sont pris par le temps, et agissent donc à découvert, sûrs de leurs impunités, mais le temps joue en notre faveur, le leur se compte en jour, ils ont des ascenseurs à renvoyer dans des temps impartis par leurs sponsors, nous on à rien à perdre, encore moins notre temps.

Nous sommes de plus en plus nombreux à voir les signes de cette corruption globale et à voir que toutes ses petites actions locales ont finalement un impact énorme sur le système global, l’évolution ultra répressive des lois dans le monde ses dernières années est un signe que les marionnettistes ont les chocottes, ils cherchent à discréditer, ne proposent rien de concret alors que la demande est extrêmement forte partout, se complaisent dans leurs discours dégoulinants de cynocrisie, usant de leurs pouvoirs relatifs pour faire taire toute objection, car ils savent qu’ils ont perdu le contrôle :

L’information ne leur appartient plus, ils ne peuvent plus mentir.

Oui ce pouvoir est relatif, et toute personne qui cherche l’information partout ailleurs qu’à la source officielle le sait très bien.

Alors si ma position est encore irrévocable à vos yeux, c’est juste parce que vous n’êtes pas encore allé vous informer ailleurs, et il est temps que vous vous y mettiez, après vous verrez que ma position n’est pas si extrémiste…

Non, je suis optimiste, car pour chaque petit bâton jeté dans leurs roues, ce sont des milliards qu’ils perdent et pour certains, c’est de plus en plus près de la vraie banqueroute…

Nous au contraire, on gagne en qualité de vie, on n’aime pas leurs produits alors on fait autrement, et eux, ben ils commencent vraiment à pleurer, et c’est cool, faut pas lâcher, on tient le bon bout, et puis, on est bien trop nombreux et pas si pressés… finalement 😉

Eux par contre… ils peuvent disparaître aussi vite que les dinosaures.

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(")_(") Maître Maa

Notes

[1] :Voir la vidéo sur les 1 % qui se gavent comme jamais, expression que vous m’entendrez souvent employer d’ailleurs, vous savez maintenant pourquoi.

[2] : En plus des 5 fruits et légumes bien entendu.

[3] : Ne vous inquiétez pas, on à gardé les factures.

Soyons fier de notre système judiciaire… ou pas !

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Bonjour journal, salut lecteur,

Je suis, au dire de Mme Taubira, un justiciable fier du système judiciaire qui le défend et qui, toujours selon elle, est ici à la Réunion plus que compétent, la preuve étant le si petit nombre de dossiers en souffrance…

Je ne saurais trop lui conseiller de consulter un spécialiste, à sa discrétion un ophtalmo ou un psy, mais un tel aveu d’aveuglement est quand même quelque peu inquiétant pour quelqu’un qui exerce un mandat public requérant de telles responsabilités.

Fier ?

Euh…

Un énorme mensonge du genre : « oui, il est possible qu’il puisse y avoir éventuellement de petits dysfonctionnements locaux et ponctuels dans de très rares cas où l’instance judiciaire est mise à défaut sur l’ensemble de ses constats autant sur la cause à pourvoir, mais aussi sur le sentiment aspiré de sa compétence absolue, sans oublier la nécessité de favoriser l’ajout intrinsèque d’un contrat générique… en partie… », serait très certainement mieux passé que cette énorme faute de goût consistant à juste éluder le sujet.

Comment pourrais-je être fier de ce système judiciaire qui se moque royalement de moi depuis bientôt deux ans ?

Les avocats réunionnais, très et trop chèrement payés aux goûts de bien des « défendus » locaux, sont, semble-t-il, tous atteints de la même maladie, proche d’alzheimer, mais pas assez pour être interdit d’exercer, et ont tous un problème d’emploi du temps, qui dès qu’il s’agit de bien vouloir répondre aux clients en provenance de l’aide juridictionnel, n’arrivent pas à lui trouver un créneau.

Créneaux qui quand il s’agit d’envoyer une relance pour impayé ou restant du, deviennent comme par magie disponibles en nombre.

Ah que je suis fier…

Ah ses petits oublis involontaires que l’on nous demande d’applaudir fièrement, les conclusions déposées trop tard, les éléments manquants, quand le dossier n’est pas tout simplement vide.

Mais Mme (dernière fois que je vous accorde une majuscule, faut pas abuser non plus, j’ai mes limites et ma fierté, bordel…), l’handicapé que je suis (ou j’étais plutôt au moment des faits) est super fier de savoir qu’il vit dans un pays où se faire gentiment casser la figure, pardon, je vais reprendre dans votre langue mme.

Mais mme, l’handicapé que je suis est super fier de savoir qu’il vit dans un pays où, une agression sur personne vulnérable est interprétée par les instances comme « avoir l’outrecuidance de profiter de son handicap pour mettre volontairement sa personne dans la trajectoire des poings de son adversaire dans le but d’obtenir une réparation financière dans une procédure ultérieure, le tout de manière préméditée »…
Je présume que je dois prendre le classement de mon affaire comme un geste magnanime du système à mon encontre qui à préféré ça à une procédure contre moi ?

Mais mme, c’est même avec une petite larme que je passe mes soirées au pied de « ma bougie chauffe plat » à comptabiliser le nombre absolument incroyable d’incohérences qui parsème mon dossier, tout en aiguisant tranquillement mon couperet pour me passer le temps et parce que j’aime cette douce et mélancolique mélodie de la pierre glissant paresseusement sur le fil…

Mais mme, c’est même avec une fierté non contenue que j’applaudis les décisions abjectes de nos chers (très chers, trop chers) procureurs, et c’est dans l’abandon le plus total que je m’incline lorsque vous mutez un vendu du système parce que le bougre, excusez l’insulte, le bougre disais-je à eu l’audace de pointer les dysfonctionnements du système et que cela servait les intérêts des justiciables réunionnais… que le diable m’emporte, mais nous vous devons la vie sur ce coup la mme…

Et nous vous la rendrons, sur le cou… aussi.
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(")_(") Maître Maa

Peuple de France, le premier ministre te demande de te rebeller, lève toi et écoutes le…

 

un-depute-francais-au-travailAux armes citoyens…

Ne prenez que les quatre premières minutes de la vidéo, essayez tous du moins de les regarder entièrement, c’est très dur, je sais.

https://www.youtube.com/watch?v=W3uQJn5NKzY

Il s’agit d’une déclaration de notre premier ministre qui appelle à la rébellion du peuple français, pas moins…

Monsieur le premier ministre, vous ne comprenez pas pourquoi les Français ne sont pas descendus en masse dans la rue suite à l’agression (encore) d’un ressortissant d’une faction minoritaire d’une communauté elle-même minoritaire ?

Vous ne comprenez pas pourquoi les Français sont si peu nombreux à soutenir cette, toujours elle, communauté à laquelle vous êtes personnellement très attaché ?

Vous ne comprenez pas que les Français commencent à avoir du mal à digérer votre propension à déverser votre bile dès que la, encore elle, communauté en question est un tant soit peu égratignée, le tout sur coulis d’antisémitisme, et que c’est peut être pour ça que justement ils n’étaient pas dans la rue, monsieur le premier ministre, parce qu’à force de nous gonfler avec vos salades, on finit par se lasser.

Non, le peuple de France n’est pas majoritairement attaché à cette communauté à laquelle vous vous l’êtes, et en l’appelant à la rébellion, espérez juste que cette fois il ne vous écoute pas en masse.

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(")_(") Maître Maa

Si tu n’as plus de pain à manger, mange de la brioche…

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Aide-toi toi-même, les associations feront le reste…

Papalacaz est un homme (eh oui, il en existe encore quelques-uns, désolé…) de 45 ans, d’apparente bonne santé, éduqué (si si !), cultivé, curieux, amoureux de sa planète et des êtres qui la peuple, en gros, je suis juste un poil presque pareil que tous le monde tout en étant différent quand même, parce que je suis humain et que tous les humains se ressemblent entre autres choses grâce à leurs différences…

Depuis quelques mois (années…), je subis un harcèlement absolument pathétique de la part d’une personne que j’ai aimé plus de 23 ans et qui aujourd’hui me fait payer des crimes inexistants que j’aurais commis contre elle toutes ses années. Quand on connaît aussi bien une personne pour avoir partagé sa vie plus de 20 ans, il ne faut pas plus de quelques mots ou de quelques actions pour reconnaître l’influence de « l’autre ».

Cet autre qui ira jusqu’à l’agression physique à mon encontre (j’ai déjà raconté cette histoire dans un autre billet)…

Financièrement, j’ai été ruiné le lendemain de son départ (abandon du domicile conjugal et des enfants avant de réaliser l’impact de son acte trois semaines plus tard, quand même, merde !), chômeur, handicapé, ce n’est pas ce que l’on fait de mieux pour rebondir dans la vie et tout recommencer.

Par la suite, elle ne se confortera pas à ses obligations pourtant écrites noir sur blanc dans l’Ordonnance de Non-Conciliation et c’est encore moi qui vais de voir payer les frais bancaires provoqués par ses oublis…

Elle viendra chez moi en mon absence, et ce en présence de mes enfants pourtant en garde alternée chez moi ce jour-là. Elle leur dira simplement, qu’elle est chez elle, que cette maison est encore à elle, bla-bla…

J’ai fait lire l’ONC à mes enfants, ils ont été véritablement choqués par l’énormité du mensonge de leur mère…

Mauvais père…

Un enfant malade, elle me refusera le carnet de santé…

Quelques mois plus tard, elle ira jusqu’à m’accuser d’être un mauvais père parce que je refuse de m’occuper du vaccin de l’autre de mes fils…

Entre temps, elle à bien pensé à me virer de la MGEN…

Elle, prof majorée avec quelques échelons, vire son mari chômeur de sa mutuelle et l’accuse ensuite d’être un mauvais père qui ne s’acquitte pas de ses obligations de santé envers ses enfants…

Elle refuse encore aujourd’hui de me fournir une copie de sa carte de mutuelle pour que je puisse m’occuper des enfants quand ils sont chez moi, mais c’est moi le mauvais père qui ne veux pas soigner ses enfants.

Pratiquement deux ans plus tard, aucunes des exactions commises par mon ex ne lui ont été reprochés, aucunes (elles se comptent pourtant par dizaines), et son petit ami à vu ma plainte classée (là aussi, vous trouverez l’histoire dans un autre billet).

Pendant ce temps, ma situation se dégrade encore et encore, les frais s’accumulent, les découverts se pointent, le réfrigérateur se vide, le moral baisse, la motivation disparaît, remplacée petit à petit par de la haine envers ce système totalement déconnecté de la réalité des affaires que subissent pourtant nombre de justiciables presque tous les jours ici en France en 2014 !

Meurtre ou suicide ?

Car il ne faut pas être un expert pour comprendre qu’à force de prendre quelqu’un pour un con, celui-ci finit fatalement par le devenir forcément pour ensuite en adopter le comportement.

Je ne suis pas violent, au contraire, mais au bout de deux ans et une liste longue comme le bras de délits commis par mon ex et son copain alors que la procédure de divorce est en cours, il faut bien reconnaître que quelque part, je suis un peu en droit de demander réparation. Mais comme l’appareil judiciaire semble incompétent en la matière, je n’ai pas d’autre choix que de me défendre par mes propres moyens. Surtout lorsque que l’on est en mesure de constater par les faits, que cette situation semble parfaitement convenir au législateur, qui dès lors adopte un train de sénateur (et les frais de fonctionnements inhérents, bien sûr…) et fait bien traîner les choses.

J’ai bien pensé me venger en rendent œil pour œil, mais comme l’abruti en question n’est pas un chat, qu’il est bien plus lourd que moi et que je ne vois pas de murs conséquents près de chez lui, j’hésite à reproduire l’affaire du chat de Marseille, et ce malgré la célérité avec laquelle l’appareil judiciaire à procédé au règlement de ce préjudice.

Recherche, arrestation, jugement et incarcération en moins de 48 h, à leur décharge, ils ont été ralentis par l’identification, sinon c’était plié dans la journée !

Pour ma part, j’ai fourni l’adresse et le nom de mon agresseur, ce qui explique les 14 mois qu’aura pris l’enquête et le classement qui s’en suivra.

Citoyen d’en bas, descend encore un peu s’il te plaît, tu bouge encore et ce n’est pas normal…

Aujourd’hui 24 octobre 2014 à 11 h, je sors d’une association d’aide aux nécessiteux, je suis allé demander un colis alimentaire pour pouvoir nourrir mes enfants…

Cette étape de ma vie restera à jamais gravée dans mon esprit, ce n’est pas facile d’aller demander ce genre de choses, on essaye toujours de repousser l’échéance, par fierté sans doute.

De père au foyer heureux, s’acquittant de sa tâche depuis plus de 10 ans pour que Mme puisse développer sa carrière, je suis passé à « personne vivant en dessous du seuil de pauvreté », agressée et harcelée presque tous les jours avec la reconnaissance et l’impunité accordée par l’inaction de la justice.

En gros, ma situation est normale !

Moi, chômeur, j’ai dépensé trois ans de salaire en 19 mois (et d’où vient le fric d’après vous ?), pendant qu’elle, prof majorée, volait les comptes et épargnait…

C’est un préjudice absolument énorme pour moi, et cela va bien au-delà des sommes annoncées, je ne suis pas du genre à m’attacher à ce genre de richesses, mais que l’on me rembourse au moins ce qui m’a été volé et les frais associés, ce serait la moindre des choses, presque 20 000 € pour un chômeur, ce n’est pas rien.

Aujourd’hui, j’ai passé un cap dans ma déchéance et vous imaginez bien que psychologiquement j’ai aussi passé un cap dans la haine qui me nourrit désormais.

Alors, quand on regarde le nombre de délits produits par les parties adverses, et que l’on compare cette longue liste à l’absence totale de réaction de la justice, que l’on me donne une seule bonne raison pour que je ne me venge pas « violemment » ?

J’ai vraiment très peur à ma France parce que ce que je vis n’est qu’un exemple parmi de très nombreux autres.

Les petits justiciables « d’en bas » et « sans dents » comme moi ont bien compris que seules les armes désormais pourront nous soulager.

Comprenez bien, au point où nous en sommes tous, toutes les solutions seront explorées et les dégâts collatéraux seront royalement ignorés.

J’ai peur parce que je ne vois pas d’autre issue que la révolution et l’éradication systématique des parasites qui pourrissent notre belle planète.

J’ai peur parce que les responsables semblent vouloir au contraire faire tout ce qui est en leurs pouvoirs pour que justement toute cette merde finisse par imploser sous son propre poids.

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(")_(") Maître Maa

Papatribuables du monde entier…

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Alors papa, ton retour se passe bien ?

C’est que tu comprends, n’ayant pas voté pour toi, je constate avec amertume que les raisons qui m’ont fait fuir les isoloirs ce jour-là étaient bien réelles, mais aussi bien justifiées, l’actualité Tamponnaise me confortant jour après jour dans mes décisions de fuir ce système que tu aimes tant.

Tu sais papa, quand tu as annoncé ton intention de revenir, un de mes neurones chargés de la bonne marche des poils internes de ma narine gauche n’a pas supporté le choc et à immédiatement demandé sa mutation pour devenir amibe dans le grand côlon… d’après lui, quitte à être pris pour de la merde, autant que cela se fasse dans les normes et le bon environnement.

Pour ma part, je n’avais déjà pas trop envie de me prendre la tête avec toutes ces contingences matérielles et l’annonce de ton retour m’a convaincu que j’avais pris la bonne décision en organisant pour ce jour-là une balade avec mes enfants le plus loin possible des isoloirs.

Je savais que tu allais gagner ces élections au Tampon, c’était couru d’avance, la mémoire collective aidant et tu le sais, il te suffisait de la jouer bien démago là où il faut et toutes les pleureuses de l’île de se mettre à tes ordres.

Pathétique n’est il pas, mais tellement vrai, et nous le savons tous les deux.

Rien qu’une larme…

Si on m’avait dit qu’en allant voter pour toi ce jour-là, je m’assurais plus tard la prestation scénique, mais néanmoins désolante d’une vielle idole des jeunes que les moins de 75 ans ne peuvent pas connaître, c’est sûr que je n’y serais pas allé du tout, soyons honnête, si l’affaire Frédéric François et surtout son coût exorbitant avait été ne serait-ce que sous-entendue pendant ta campagne, tu en aurais été quitte pour te payer (à nos frais bien entendu) une retraite scandaleusement imméritée.

Mais bon, tu nous connais, pour ce genre de petits détails on est prêt à quelques sacrifices, que tu ne mérites pas un centime de tes pairs est une chose, mais face à l’urgence je vote pour ton repos, c’est mon côté fleur bleu, je sais… de rien, c’est un plaisir, quand même, merde !

Alors ce matin quand j’ai ouvert la lettre de la société Sudéau me demandant de lui fournir toute une page de renseignements personnels, RIB compris bien sûr, j’ai été un peu surpris tu comprends.

Là encore, je vais passer pour l’emmerdeur de service, mais quand je vois que l’un des détails les plus flagrants rencontré dans la grande majorité des arnaques, pardon, des affaires, non plus, des mascarades politico-industrio-financière, c’est justement la multiplication des intermédiaires, je suis alors en droit de me demander si Le Tampon ne serait pas en train d’essayer d’enfiler encore un peu plus ses administrés.

Qu’est-ce donc que cette nouvelle entreprise qui n’existait pas hier ?

Le syndrome du robinet !

Mon cher papa, que tu veuilles améliorer la qualité du réseau de distribution de l’eau au Tampon est appréciable, ne boudons pas le plaisir quand il se présente, mais sachons le consommer avec parcimonie, on ne sait jamais.

Oui donc, que tu t’actives enfin autour de ce petit problème de l’eau au Tampon est certes appréciable, mais tu oublies un peu vite, que même si cette fameuse mémoire collective tant à se dissoudre rapidement dans le temps, il est de ces choses que personne ne peut oublier, et en ce qui concerne ce petit problème d’eau, tu apparais un peu comme un expert dans l’embrouille, si ce n’est son initiateur, tu comprendra alors que sur ce sujet en particulier, la moindre de tes déclarations ou le moindre de tes actes, mérite (contrairement à tes émoluments) l’attention de ce peuple que tu es censé représenter.

Ah ce réseau que tu connais bien pour l’avoir méticuleusement ignoré dans la pratique pendant presque toute ta carrière politique, tout en l’utilisant dans la théorie pour tes campagnes.

Tu m’excusera auprès de ton copain de la société machin, mais je ne lui renverrai pas le document demandé, tu dois certainement avoir encore quelques amis à la Cise qui se feront un plaisir de tout te communiquer en parfaite illégalité et dans le parfait non-respect des lois, comme tu le fais si bien pour toutes ces petites tracasseries de la vie que tu gères pour toi, euh pour nous pardon, depuis que tu te tournes les pouces en politique.

Non je ne transmettrais pas un énième RIB, non je signerais pas un énième contrat et non je ne remplirai pas une énième fiche de renseignements personnels, parce que tu comprends, je fais parte de ceux qui ont les yeux ouverts et qui voient très bien que tout ceci n’est que fariboles pour occuper la scène.

Les robinets ont donc un modèle de fonctionnement qui semble parfaitement s’adapter aux exigences des politiciens, ils permettent aux fonds de couler à flots quand il s’agit d’aider ou de financer des projets ahurissants, hors de prix, inutiles ou ne servant finalement que quelques rares intérêts personnels et généralement proches de l’élu pilotant la vanne, et ont de grosses difficultés à assurer le débit minimum dès qu’il leur est demandé de faire leur travail pour la communauté… mais c’est toujours le même élu qui tourne… ou pas le clapet.

Je suis donc au regret, mon cher (très très très cher) papa, de t’annoncer que je ne cautionnerai pas cette nouvelle tentative de ta part de vouloir me prendre un peu plus de ce que je n’ai déjà plus, je te parle d’argent bien entendu.

Ne nous méprenons pas, tu ne me prendras jamais ni mon honneur ni ma fierté, d’abord parce que je ne te laisserais pas faire, mais surtout parce que je sais que ce n’est pas derrière ce genre de notions que tu cours, bien au contraire.

Et au passage, si tu croises les types d’EDF, dis-leur que j’attends toujours leur passage depuis Bejisa et que mon fil, qui tenait encore bien jusque là, va bientôt électrocuter tout le quartier, mais bon, cela ne fait que quelques années qu’ils sont au courant, ah ah, au courant… hm…

L’addition s’il vous plaît…

Ta petite famille est en train de se poser de sérieuses questions mon petit papa, tes enfants ont été extrêmement déçu par tes inactions et ton retour n’a pas été apprécié comme tu le voulais, tu le sais et comme moi tu sais aussi que tout ton système ne tient plus qu’à un fil, tu t’y accroches encore un peu, le temps de gratter au maximum ce que tu pourras.

Ce que tu ignores, ou plutôt, ce que tu voudrais nous faire croire que tu ignores, c’est que tout ce que tu es en train de gratter ne te servira à rien, et tu le sais, quand la roue tournera, tu deviendras transparent comme tout le monde, tu n’auras plus tes petits pouvoirs, tu seras un citoyen comme un autre, enfin non, pas toi en fait, tu ne deviendras jamais un citoyen comme un autre, tu as déjà été jugé et ta douloureuse t’attends là-haut.

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(")_(") Maître Maa

Je ne suis pas un sale zor et j’emmerde ceux qui le pensent !

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Lettre ouverte

Monsieur le Maire du Tampon, Mesdames et Messieurs les Maires des autres communes de l’Île, Réunionnaises, Réunionnais,

Je tiens à exprimer toutes mes excuses aux habitants du quartier du marché couvert, pour le bruit causé par mon altercation avec un employé communal ce matin 10 octobre 2014, j’ai bien dit le bruit, pour les propos, je clarifie ci-après.

La rue Machin [1] est très étroite à cet endroit près du garage de réparation automobile, et nous, habitants du quartier, avons l’habitude de slalomer pour nous frayer un chemin, surtout en journée la semaine, et franchement, même si des fois c’est limite, cela ne me dérange pas plus que ça, c’est la vie, et puis quelque part, cela fait partie des charmes du quartier, aussi…

Maintenant, si quelqu’un se met à faire des travaux sur la rue, il est tout de suite moins facile de circuler, surtout si la zone de travaux n’est pas déclarée par des panneaux, ou que lesdits panneaux sont placés directement sur la chaussée, rendant alors la circulation pratiquement impossible dans de bonnes conditions, c’est le moins que l’ion puisse dire.

Bon, je ne suis pas du genre à chipoter pour quelques centimètres, ni quelques minutes non plus, mais voyant sept personnes en train de travailler sur le chantier, dont quatre qui ne font rien, fument leurs cigarettes ou papotent ente elles, je me permets alors de les interpeller pour leur demander de déplacer le panneau de quelques centimètres, histoire de faire sauter le bouchon de la rue.

Je ne puis décrire la réponse d’un des personnages inutiles du chantier (comprendre, un de ceux qui papote), car celle-ci sera visuelle, disons que « fait pas ch… » est la première expression qui me vient à l’esprit pour traduire le geste.

Pas content, je réitère ma demande avec un peu plus de vigueur, et sa réponse déclenchera toute la procédure : « biiip sale zoreil… »

En 2014, sur notre Île, il y’a encore des comportements comme celui-ci, et tout cela commence à devenir inacceptable pour les victimes.

Marre de ce silence, de cette paix sociale, qui sous prétexte de ne pas froisser certaines catégories sociales, dénigre le blanc de métropole pour tous les crimes commis par des centaines de générations avant lui, et qui petit à petit à finit par entrer dans le langage commun, c’est vrai quoi, pourquoi s’offusquer quand quelqu’un vous traite de sale zor, ce n’est pas si grave finalement…

Sauf que c’est souvent, très souvent… trop souvent, et le fier Réunionnais que je suis en a un peu marre de se faire insulter par ses frères parce qu’il est français…

C’est quand même un comble non, oser demander à un inactif (accessoirement employé communal en service), de bien vouloir offrir quelques calories à un concitoyen et se voir insulter en retour est une situation tout à fait normale que le sale zor que je suis aussi devrait apparemment accepter et vivre sans réactions, sauf révérence et soumission, peut être… et encore.

Oui ma réaction de ce matin a été virulente, mais quelque part, ce n’était qu’une goûte d’eau, le vase était déjà à ras bord, et ce qui en est sorti n’était que le fruit de cet emmagasinage qui me pourrissait l’esprit depuis tant d’années, fatalement, ça à pété…

Oui j’ai pété un plomb, mais c’est toujours mieux que de les distribuer non ?

Quelque part, ce n’était que justice après toutes ses années à subir ce racisme patent, on ne peut reprocher à quelqu’un de décider d’arrêter de subir des agressions, et il serait temps de s’attaquer aux agresseurs, ou plus simplement, d’essayer de faire évoluer leurs idées.

Ils étaient sept, quatre regardant les trois qui bossaient…

Cette image qui pourrait prêter à sourire, sera pourtant confirmée quelques instants seulement après et par le plus grand des hasards, par une publication sur Internet d’une habitante d’un autre quartier du Tampon, qui photographie à l’appui, s’étonne de voir 10 employés communaux sur un chantier de quelques mètres carrés, coïncidence ?

Non, réalité, qui même prise au énième degré n’en est pas moins constable par les faits pratiquement tous les jours.

Nos impôts… avouez qu’on est un peu en droit de se poser des questions non ?

Et que dire alors lorsque l’on se voit ainsi insulté pour avoir osé demander à un travailleur de faire son travail ?

Ils étaient sept, quatre regardant les trois autres bosser, mais c’est moi le sale zor ?

Quant au concerné, je n’ai pas grand-chose à lui dire, si ce n’est que je suis vraiment désolé pour lui, au moins pour cette vie-là.

Ils étaient sept et six ont baissé les yeux pour regarder par terre, validant par leur lâcheté, le comportement raciste de leur collègue…

Il y’a un véritable danger dans la démocratisation de cette expression et la laisser ainsi gangréner le langage commun jusqu’à pratiquent devenir une réalité n’est pas vraiment la meilleure des voies à suivre et n’augure rien de bon pour l’avenir.

Il ne faut pas laisser certaines expressions accéder au langage commun, ou alors, bien les cadrer, sale zor n’est pas une expression sans conséquence, elle traduit une pensée qui ne souffre d’aucune ambigüité, une pensée obscure, car raciste.

Je ne suis pas un sale zor, je suis Réunionnais, je suis fier de l’être et je dis non à cette expression, elle doit disparaître des habitudes locales pour intégrer la réalité de sa fonction, c’est une insulte raciste, et son usage doit être réprimé, ou tout le moins cadré.

Un Réunionnais,

Notes
[1] : Le nom de cette rue n’a pas d’importance finalement, le but de cet article n’étant pas de faire sanctionner qui que se soit, les concernés se reconnaîtront… ou pas.

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(")_(") Maître Maa

 

Le drapeau breton interdit par Manuel Valls ?

DSCN3193Mais pas le drapeau israélien !

M. Valls, vous semblez avoir quelques trous de mémoire et je pense qu’il est temps que votre employeur, qui n’est autre que le peuple de France dont je ne suis qu’un des modestes éléments, vous les comble par quelques petites piqûres de rappels.

Vous êtes mon employé, vous me devez donc obéissance et respect, ce que vous avez manifestement oublié de faire pour l’un comme pour l’autre.

Je suis votre employeur, et en tant que tel, il est de mon devoir de vous remonter quelque peux les bretelles, qui, semble-t-il, se sont fortement distendues, d’abord parce que vous baissez trop souvent votre couvre fondement à la moindre demande des marionnettistes qui vous contrôlent, ensuite parce que vous abusez un peu sur la contenance de vos poches qui débordent à force de vouloir y glisser les étrennes invisibles de vos mécènes tout aussi inexistants… sauf que ça se voit, mais bref…

Refuser d’obéir aux ordre de son employeur, se traduit généralement, enfin, dans le vrai monde du travail, celui que vous ne pouvez pas connaître, par une invitation à aller visiter le site du pôle emploi, et accessoirement, comprendre comment il fonctionne.

Lui manquer de respect peut revêtir différents aspects, dont un très connu qui s’appelle le double triple vrillé tendu à travers ta bouche, quand même, merde !

Vous n’aimez pas la France, certes, elle n’est pas la terre de vos origines et vous nous le démontrez tous les jours, votre mépris pour cette terre qui vous nourrit n’a d’égal que la colère qu’il engendre, plus vous nous insulterez, plus notre volonté de vengeance monte en puissance, votre jeu est dangereux, enfin, pour vous surtout, nous il y’a longtemps que l’on ne rigole plus à vos très mauvaises blagues qui ne font rire personne et qui ne remplisse aucune salle. [1]

Vous n’hésitez pas à insulter vos hébergeurs, ne vous inquiétez pas, ils sauront vous le rendre, à force de mordre la main qui le nourrit, le chien finit par crever de lui-même, dans la plus parfaite indifférence des passants, qui au contraire pourraient même l’aider à crever plus vite, c’est sale, ça pue et puis, il y’a tellement d’équarrisseurs au chômage.

Nous vous avons accueillis comme nous savons si bien le faire, nous saurons aussi vous virer, car là aussi nous avons une certaine, et historique, expérience en la matière.

N’oubliez pas que vous venez de cet autre pays qui pratique la guillotine quand les gamelles sont vides, le retour de manivelle se fera donc Franco de Porc.

La collaboration ne devrait pas poser de problème le jour où nous vous jugerons, l’appareil sera Français, le bourreau viendra d’Espagne, pas de problème de conscience pour nous, l’Europe vue comme ça est une belle nation.

À bon entendeur…

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(")_(") Maître Maa

Notes

[MAJ 18 janvier 2014 – 16:20:20] L’info commence à buzzer, d’abord dénoncée par les Valssorateurs de tous poils, elle se voit au contraire confirmée par d’autres sites qui relaient.

[1] : Confirmation sur un autre site, ça craint vraiment du boudin, c’t’histoire 🙁

Papalacaz, le cri du cœur…

wp-media-15Père au foyer, le plus beau métier du monde…

L’histoire que je vais vous raconter est une histoire vraie !

Je vais vous raconter une histoire absolument rocambolesque, une aventure qui pourrait être extraordinaire si elle n’était pas banale…

C’est une histoire vraie qui est arrivée à une de mes amies, et je pense qu’il est de mon devoir de citoyen de la relater, parce que les faits qui se sont produits sont plutôt choquants et que malgré une fin plutôt bonne, personne n’en a parlé.

Comme de nombreuses femmes, elle a choisi d’être mère au foyer à la naissance de son premier enfant, et de fait, de quitter le monde du travail pour se consacrer à sa progéniture.

Pendant ce temps, son mari lui en a profité pour faire avancer sa carrière, prendre du galon, et monter les échelons.

Monsieur, grand fatigué devant l’éternel par son travail harassant, s’est trouvé une passion dans les danses de salon, car, disait-il, cela lui permettait de se décontracter et d’avoir moins de pression.

Et force fut de constater, par mon amie et les enfants (car entre temps, un deuxième était né), qu’effectivement, la pression tombait et l’homme moins stressé, affichait un bonheur que toute la famille partageait.

Elle aurait bien aimé sortir avec son mari, mais les cours de danse ayant lieu généralement le soir, il fallait bien quelqu’un pour garder les enfants… ce qu’elle fit, sans même se poser de question, le truc normal quoi.

La passion s’est malheureusement développée, et le père allait sortir jusqu’à 3 soirs par semaines… en moyenne !

Cette passion ira jusqu’à prendre de plus en plus de place dans la famille, à un point qu’il n’hésitera pas à abandonner son épouse et ses deux enfants des journées entières pendant qu’il s’y adonnait à des kilomètres de là. Et comme il prenait le véhicule familial pour s’y rendre, le reste de la famille n’avait d’autre choix que d’attendre son retour, coincé à la maison.

Avec lui, les week-ends commençaient à 17 h le dimanche… quand il ramenait la voiture.

Il sortira jusqu’à des heures pas possibles, rentrant chez lui à 6 h du matin, alors que son réveil est censé sonner à 6 h 30… pour aller travailler…

La fatigue aidant, cette passion se transforme en calvaire pour les trois autres membres de la famille, monsieur est souvent fatigué, dors beaucoup pour rattraper, les week-ends y passent et le reste de la famille attends…

Quand il se réveille, c’est pour aller travailler, quand il revient du travail, c’est pour travailler (les copies, la nouvelle réforme du machin…, bref), et quand il finit de travailler, c’est pour sortir…

Vous sentez venir le truc hein, et vous avez bien raison, un jour, excédée, elle prêche faux et obtiens fatalement le vrai, la danse n’était qu’un prétexte pour la tromper avec une de ces partenaires de danse justement.

Dur et tellement banal de nos jours, découvrir que l’être que vous aimez depuis 25 ans vous trompe depuis plusieurs années, ça fait mal.

Mon amie n’apprécie pas, et on la comprend, et annonce alors à son mari qu’il doit en choisir une des deux, normal me direz-vous.

Mais monsieur aime manger à tous les râteliers, et la valse des mensonges commence alors qui durera plus d’un an, un an où il quittera l’autre plusieurs fois, pour la retrouver juste après, puis la requittera… la retrouvera…

Elle en a marre et décide de mettre un terme à cette comédie, appréciant moyennement que monsieur et sa copine se moquent d’elle aussi impunément, elle le mettra alors devant son dernier choix, décidant elle même de s’en tenir à la décision de son mari si celui-ci décidait d’aller voir ailleurs si l’herbe était plus verte, ce qu’il fit, sans une once de courage, puisqu’il ira jusqu’à mettre la difficile décision dans la bouche de sa copine, incapable qu’il était de le faire soi-même.

La copine de monsieur ne se fera pas prier, et attrapera en plein vol et du premier coup une si belle occasion de détruire la famille de la femme de son copain.

Une fois la séparation décidée par l’autre copine, ce lâche n’ayant pas eu les corones de le faire lui même, elle lui demandera alors de partir de la maison vivre avec elle puisqu’apparemment c’est ce qu’il veut.

Il partira, la queue basse et le regard fuyant, laissant sa femme et ses deux enfants seuls au domicile conjugal.

Petite précision, entre temps, mon amie s’est blessée bêtement aux pieds en glissant sur le trottoir et elle s’est cassé, les deux chevilles… aie, les deux !

Oh, rien de grave, mais le truc bête, quand on à un pied cassé on à toujours la possibilité de marcher avec des béquilles, mais les deux, même si ce sont de petites fractures, c’est tout de suite moins drôle au quotidien.

C’est pourtant en la sachant dans cet état qu’il l’abandonnera, ainsi que le domicile et les enfants…

J’ai presque eu honte quand j’ai appris ça, et je suis immédiatement allé la voir pour lui proposer mon aide, elle déambulait assise sur un fauteuil de bureau, et s’était même inventé un système avec un manche à balai pour pouvoir attraper les denrées sur les étagères devenues trop hautes pour elle qui était assise. J’avais du mal à l’imaginer en train de s’occuper de ces deux monstres (je les adore ces deux gamins et j’ai décidé il y’a longtemps que je faisais parie de ceux qui avaient le droit de les appeler des monstres, na !)…

Sur ces entrefaites, monsieur découvre qu’il a peut être fait une bêtise en partant un peu vite et surtout en abandonnant les enfants seuls avec une épouse fortement diminuée, mais aussi, peut être, parce qu’il vient de s’apercevoir qu’il n’aurait peu être pas du vider les comptes non plus, il est fonctionnaire, son épouse est… euh… mère au foyer chômiste sans indemnités, il cherche à rattraper le coup, ça ne fait aucun doute.

Ni, une ni deux, il va en profiter un jour pour inviter ses deux enfants à aller grignoter un truc dans un resto, c’était un mercredi, les enfants étaient aussi peu enjoués que ça (ils ont déjà très mal pris le sacrifice de la danse, et moyennement apprécié la séparation pour une partenaire de danse justement), et bien entendu, il ne les ramènera pas comme promis.

Mon amie n’est pas contente (et on la comprend), le contacte et lui annonce qu’elle veux venir les rechercher, elle se déplace alors très péniblement avec des béquilles, l’un de ses pieds peut éventuellement se poser pour quelques pas, et elle a de nouveau le droit de conduire, mais pas trop.

Le mari lui propose de venir chez lui (chez sa copine en fait), elle ne se pose aucune question et s’y rend sur le champ…

Ce qui l’attend là bas est un guet-apens digne des films les plus noirs de la série du même nom, la rencontre tourne au vinaigre, le mari et sa nouvelle copine se jouent d’elle en la prenant de haut, elle ne reconnaît pas son mari, il est totalement sous le contrôle de la copine, la soumission semble totale. N’appréciant pas de se voir ainsi insultée, et comprenant qu’elle ne repartira pas avec ses enfants et que tout ceci est un vulgaire guet-apens, elle essaye alors de s’extraire de l’endroit avant que cela ne dérive de trop… elle n’en aura pas le temps.

Au sortir d’un dialogue de sourds, la copine de monsieur va lui sauter dessus (littéralement, la plainte déposée est très claire sur ce point) la plaquer au sol (elle est en béquilles je vous le rappelle) et une fois immobilisée, lui donnera plusieurs coups de poing à la tête, le tout parce qu’elle aurait coupé la parole à monsieur et que ceci constitue à son humble avis, une violence verbale qui mérite d’être réprimée par la force sans sommation.

Les enfants assistent à la scène… choc !

Retour chez elle, sans les enfants…

Et début de l’histoire judiciaire…

Quand son avocat est informé, il dépose immédiatement un référé auprès du JAF, utilisant l’agression pour le justifier, et une plainte au pénal pour l’agression.

Dans la semaine, la garde totale sera accordée à la mère ainsi que l’autorité parentale, le père sera invité à se trouver une autre copine moins violente, ou alors à assumer de ne pas pouvoir avoir la garde de ses enfants, même exceptionnellement tant qu’il vivra avec celle qui pourrait éventuellement reconnue coupable d’agression sur personne diminuée, le JAF reconnaissant implicitement le caractère délictueux de l’agression, mais ne pouvant le juger puisque hors de sa juridiction.

La complicité des deux amants sera retenue elle aussi, le guet-apens prenant alors la couleur de la préméditation.

La passion de monsieur sera retenue comme étant une des causes de la destruction de la famille, et une circonstance aggravante dans son comportement.

Le guet-apens est retenu par le TGI, la procédure suivra son cours au pénal.

Une provision, correspondant aux sommes que le mari avait empruntées sur le compte commun, sera exigée en urgence avec des frais très importants en cas de retard constaté.

Une somme conséquente sera versée pour dommages et intérêts.

Ainsi qu’un capital correspondant à la compensation du sacrifice qu’elle avait consenti en arrêtant de travailler pour s’occuper de ces enfants.

Au total, la somme permettra à mon amie de racheter le domicile conjugal.

L’agression sera jugée plus tard, et le résultat pourrait encore aggraver les choses pour monsieur, la copine elle, s’en tape, elle à pas d’enfants à perdre ni de boulot… et puis elle est riche, elle paiera…

L’histoire que je viens de vous raconter est totalement fausse.

Pour être plus précis, cette histoire est à refaire, mais au lieu de parler de mère au foyer, on va mettre un homme à la place, moi, un père au foyer.

Je vous laisse faire les conversions, mais l’histoire est la même, jusqu’au début de l’histoire judiciaire.

À partir de ce moment-là, l’histoire se déroule totalement et bizarrement, différemment pour moi.

Et je vais être très concis, puisque pour moi, rien n’a été fait, l’agression date d’un an et le seul retour judiciaire que j’ai pu obtenir, c’est d’apprendre que ma plainte pour l’agression avait été classée…

Rien, et quand je dis rien, c’est pas pour dire pas grand-chose non, rien !

Nada, Niet, Nicht, Nothing… RIEN !

Abandon des enfants… rien !

Vidages des comptes… rien !

Agression… rien !

Violations répétées et constatées de l’ordonnance de non-conciliation… rien !

Alors quand on me demande pourquoi j’ai créé une page Facebook… comment dire… à vous de voir ?

En gros, je suis un père au foyer, de ceux qui font la une des magasines féminins quand il s’agit de vendre une feuille de chou parlant des ces nouveaux héros d’Hommes modernes, mais qui lorsqu’ils divorcent, redeviennent très rapidement un simple détail inexistant dans l’inéquitable équation du divorce pour laquelle notre société à pris la mauvaise habitude de tout accorder à la mère.

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(")_(") Maître Maa

P.-S.

J’ai laissé volontairement de côté de nombreux détails qui viennent pourtant allourdir le tableau pour me concentrer sur les plus évidents.

Je suis un citoyen inversé…

Palme et soleilEt j’en suis fier !

Cher président inversé,

Je n’ai pas voté pour toi, je suis donc l’inverse d’un de tes électeurs… et j’en suis fier !

J’ai des oreilles et elles fonctionnent, je suis donc l’inverse d’un sourd… et j’en suis fier !

J’ai un cerveau et je m’en sers, ne t’en déplaise, je suis donc l’inverse d’un abruti… et j’en suis fier !

J’ai des yeux, un peu fatigués, certes, mais pas trop, je suis donc l’inverse d’un aveugle… et j’en suis fier !

J’ai une conception de la vie basée sur le respect et l’amour, je suis donc l’inverse d’un terroriste… et j’en suis fier !

J’ai une mémoire qui fonctionne très bien, je suis donc l’inverse d’un mouton facile à duper… et j’en suis fier !

J’ai une certaine conception des valeurs qui ont fait la force de ma patrie, je suis donc l’inverse d’un de tes amis, je n’aurais jamais de faux travail dans un de tes faux ministère… et putain ça, j’en suis fier !

Je suis né au siècle dernier dans un pays magnifique et historiquement respecté dans le monde entier que l’on appelle encore La France (avec les majuscules s’il te plaît), je suis donc l’inverse d’un étranger dans son pays… et putain ça, j’en suis fier !

J’aime ma planète et ses habitants, je suis donc fatalement un peu en décalage avec tes discours racistes, xénophobes et antisémites que tu n’arrives même plus à masquer derrière tes mensonges… et j’en suis fier !

Je me plais à me cultiver, à me questionner, à faire fonctionner mon libre arbitre ou bien encore écouter les autres, je suis donc encore une fois l’inverse de ce que tu voudrais que je sois… et j’en suis fier !

J’aime les quenelles, aussi bien celles qui se mangent et qui fuient un peu mon assiette en ce moment (et sur ce point, je suis malheureusement l’inverse du seul à qui ça arrive), que celles que tu te manges en ce moment (et là par contre, je suis l’inverse de celui qui n’en rit pas), je suis donc un dangereux terroriste à abattre… vite… et j’en suis fier !

J’aime ma langue, car elle est riche et pleine de mots (si si, j’te jure mec, des mots…) qui ont encore leur place dans le dictionnaire, cette langue qui sait encore ce qu’est l’inverse de quelque chose, contrairement à toi qui n’à même pas conscience d’être l’inverse d’un homme, et j’en suis fier !

Alors aujourd’hui, j’aimerais savoir ce que l’inverse de mon président ne pense pas de savoir ce que les citoyens inversés qui n’ont pas voté pour lui pensent des problèmes inversés qu’ils subissent et que tu ne vois pas, de ces mots dérangeants et inversés que tu fais mine de ne pas entendre, des ces choses horribles que tu aimerais qu’ils ne voient pas, de ces actes barbares qu’ils ne cautionnent pas, de ces valeurs que tu ne défends pas, de cette mémoire que tu effaces un peu vite, de ce pays que tu n’aimes pas, de cette culture que je ne renierais pas malgré ton invitation à me laisser guider aveuglément en toute non-confiance en toi, et de ce libre arbitre que tu voudrais me supprimer parce qu’il est trop bon pour moi (et surtout très mauvais pour ton propre compte en banque) ?

Par contre, si tu pouvais vraiment faire l’inverse de tout ce que tu fais depuis que tu as été élu, je ne t’en saurais de toute manière pas gré du tout, comme tu ne l’as sûrement pas lu quelques lignes plus haut, j’ai trop de mémoire pour oublier tout ce que toi et tes amis corrompus n’avez pas fait pour l’oublier le jour du vote.

Ah et au cas où la débilité de ce texte ne t’apparaît pas du premier coup d’œil, je te dirais alors, à la manière d’un Deproges en son temps :

Cher président inversé, je te prie d’accepter l’expression inversée de mon total mépris, à l’endroit celui-ci,

Ah ! et sur ce point on est tous d’accord, tu es bien entendu l’inverse d’un gros con…

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