Je suis… prêt…

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Aux armes citoyens…

Selon l’article 35 de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1793, il est du devoir du peuple d’intervenir quand l’état ne fait plus le sien.

Article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 : Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Pour ma part, la justice pourrito-corrompue de la Réunion à pris le parti de me piétiner moi et mes droits alors que mes demandes sont parfaitement légitimes, tout en couvrant la partie adverse coupable de délits à répétition à mon encontre, la complaisant dans son sentiment d’impunité.

Je ne reconnais plus la légitimité du gouvernement français ni de ses institutions aux ordres d’un impérialisme que je ne reconnais pas non plus.

Les inégalités observées ne peuvent être le fruit de la société telle qu’elle devrait être, mais belle est bien volontaires et organisées, le but étant de favoriser l’émergence d’une guerre civile sur nos terres.

Ne soyons pas dupes, cette guerre ne servira pas nos intérêts, bien loin s’en faut.

Aujourd’hui je suis littéralement harcelé par les institutions qui continuent de me prendre ce que je n’ai pas (mais y arrivent quand même, on peut faire confiance aux banques pour ça) tout en faisant la sourde oreille quant à la recherche des véritables causes.

En jouant aux cons comme ils le font, les mafieux du système sont en train de construire leurs propres échafauds, avec un peu de chance on restera dans la métaphore, mais quand on regarde l’état dans lequel se trouve notre planète, je crains que le jour où ça va péter, ce ne soit malheureusement une justice de sang qui en ressort…

Pour Leonarda le pantin de l’Élysée n’a pas hésité en lui accordant plusieurs dizaines de milliers d’euros pour qu’elle puisse se payer (à elle, ses frères, ses sœurs, ses parents, ses oncles et ses tantes…) un avocat digne de ce nom, pour un citoyen français (plusieurs générations quand même, merde !), l’état français aura l’immense mansuétude de lui offrir une petite centaine d’euros…

Et ce n’est qu’un exemple parmi bien d’autres.

Sachant que mon histoire n’est au départ qu’une bête divorce et considérant que l’expérience acquise par l’institution judiciaire sur ce sujet est suffisante pour un traitement rapide, les erreurs (nombreuses) que l’on retrouve dans la gestion de mon dossier laissent à penser que tout ceci n’est que le fruit d’un système totalement corrompu et sclérosé.

Il faut bien comprendre que la corruption dont je parle n’est pas visible sous la forme d’une intervention ponctuelle motivée par la partie adverse, non, nous vivons aujourd’hui dans un système qui est tellement établi que les dysfonctionnements se produisent par réflexe, presque naturellement.

Il suffit d’être bénéficiaire de l’aide juridictionnel pour voir votre dossier complètement détruit par votre avocat à la faveur de l’autre partie, aucun ordre n’a pourtant été donné, non, c’est juste que par habitude, les avocats réunionnais se foutent royalement de la gueule des justiciables, comme ça, parce que tous les autres avocats le font et que c’est dans les pratiques courantes.

Ajoutons à cela, le même genre de gestion concernant les pères au foyer, qui n’en déplaise à l’abrutie de la théorie du genre n’existent tout simplement pas, et votre dossier ne sera même pas étudié par le juge, le père doit être condamné en cas de divorce, surtout s’il est pauvre, point !

La troisième couche à une couleur plus locale, si votre agresseur est un homme bien établi, chef d’entreprise (un monopole bien sûr), il peut vous massacrer, il ne risquera au pire qu’un petit rappel à la loi. Exit le scénario absolument abject du guet-apens, le kidnapping des enfants le midi pour forcer la victime à se rendre chez l’agresseur (qui profitera d’être chez lui pour s’offrir la tête d’un handicapé, au passage), les provocations, et surtout la destruction d’un bien matériel.

Pour le chômeur c’est une agression à 2 000 €, pour l’agresseur, c’est une coupe de champagne avec le procureur.

À la Réunion, tout ceci est tellement ancré dans les meurs, que les magistrats ne se rendent même plus compte du mal qu’ils font.

Dans mon affaire, je subis trois différentes formes de corruption qui sont appliquées sans réflexion.

Malheureusement pour eux, je suis un putain d’enculé de fils de pute et je n’ai pas l’intention de me laisser faire.

La merde dans laquelle ils m’ont mis ne pourra que croître, et quand ils seront obligés de passer par la case justice pour demander leurs dédommagements, je saurais alors leur rappeler toute l’histoire, je leur montrerais alors les documents prouvant ma bonne foi et s’ils décident de me condamner quand même (ce qu’ils feront, car ils n’auront jamais le courage de reconnaître leurs fautes), alors je purgerai ma peine, mais en sortant, je quitterai ce pays de merde pour un autre (j’ai déjà fait ma demande d’asile politique, j’attends la réponde de Moscou).

Elle est belle ma bergerie… ou pas !

Nous sommes très nombreux à subir ces dysfonctionnements, mais la grande majorité préfère se la jouer en mouton bien obéissant, qu’à cela ne tienne, les autres, ceux qui luttent ont décidé d’un commun accord que les moutons avaient choisi leurs morts, c’est donc devenu leur problème.

Quand les guillotines sortiront, il n’y aura pas que des pourritures qui seront raccourcies, je crains que beaucoup de moutons n’y passent aussi, pour l’exemple.

C’est nous les citoyens qui faisons les sociétés dans lesquelles nous voulons vivre, les moutons sont des traîtres et des lâches qui seront traités comme des complices du système et ils seront jugés en complices.

Tous les accusés de Nuremberg qui se sont dédouanés en disant qu’ils ne faisaient qu’obéir aux ordres ont été exécutés quand même, il serait bon je pense que les moutons ne l’oublient pas, la justice du peuple est très forte, et elle va faire très mal.

J’ai reçu un écho favorable de la part de la CEDH qui apparemment serait ravie de traiter mon affaire tellement elle adore se payer les petits enculés de mafieux locaux.

Le dossier à monter est particulièrement coton, mais j’espère réunir tous les éléments qui me permettront d’engager la procédure au niveau européen.

Que Mme L I……., M. B B……, M. D P….. et les juges qui se sont occupés de mon dossier profites encore de leurs positions privilégiées, seule ma mort les sauvera de leur perte, car j’irai au bout de mes convictions et les sanctions seront calculées par rapport aux préjudices qu’ils m’ont fait subir par leur incompétence et leur inaction.

Il y’a de la radiation et de la place au barreau de St Pierre dans l’air.

Désormais, mon dossier est entre les mains d’un professionnel de la loi non réunionnais et incorruptible.

Citoyens, l’heure est grave et sans réaction de la part des moutons, on court à la guerre, vous êtes tous prévenus.

Bien entendu, c’est mon discours qui sera montré du doigt comme celui d’un agitateur qui cherche à déstabiliser le système.

La vérité est que nous sommes très nombreux à avoir le même sentiment et les autorités l’ont très bien compris, les attentats sous faux drapeaux et le chantage à l’antisémitisme devraient éveiller les esprits les plus critiques et les préparer à la suite, le fait qu’un sioniste déclaré, accessoirement employé de la CIA équipe aujourd’hui sa police municipale avec des armes létales devrait vous donner une idée de la direction prise par la France.

Les moutons préfèrent payer pour faire semblant d’être Charlie, ils payeront pour avoir été des Philippe Pétain et seront alors jugés et traités comme lui.

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(")_(") Maître Maa

Papalacaz… suite ?

nuke

On avance…

Ou pas !

650 € minimum pour simplement commencer à travailler sur mon appel, c’est le tarif il paraît…

Aujourd’hui, mes pertes et mes dettes se chiffrent avec 4 zéros…

Ne pas oublier les 2 500 euros d’honoraires, dont la part « pertes » est facile à chiffrer puisque c’est tout simplement du 100 % pour rien…

Mes revenus, même s’ils passent de chômeur à smicard, restent de toute manière inférieurs à toutes possibilités d’investissements supplémentaires… en gros, je vais déjà avoir beaucoup de mal à rembourser ce que je dois déjà, aggraver la dette serait inconscient de ma part.

Je porte plainte contre cette justice pour outrage à citoyen !

Le jugement de mon divorce est une perle d’oublis, et si dans une coure de justice il existe un délit d’outrage à magistrat, alors il devrait exister une transposition pour les citoyens, je m’en servirais alors contre cette justice qui par sa décision inique, démontre son mépris et insulte la véritable victime en éludant toutes les responsabilités de tous les vrais responsables, se contentant d’un jugement vide sans prendre le moindre risque vis-à-vis de l’un ou l’autre parti.

Des faits extrêmement graves se sont produits, à commencer par les oublis nombreux des avocats gérant mon dossier. Deux avocates, qui l’une après l’autre souffriront de cette même maladie qui semble toucher spécialement les avocats réunionnais.

Toutes les deux sont extrêmement difficiles à joindre, pour ne pas dire tout simplement impossible.

Toutes deux, semblent avoir des problèmes avec leurs messageries électroniques et il est là aussi, presque impossible de savoir si elles reçoivent bien les messages qu’on leur envoie.

Bien entendu, les messages contenant quelques mentions à leurs honoraires, ou une relance pour restant du, ont eux toujours su trouver ma boîte de réception, bizarrement.

Il suffit de comparer ma boîte de messages envoyés et ma boîte de réception pour voir que d’un côté on frise la centaine et de l’autre en deux ans, pas encore la dizaine, dont 7 pour des tarifs ou des relances d’honoraires.

Toutes deux semblent avoir mal interprété les pièces et les informations que je leur ai fournies, par exemple mon sacrifice (volontaire et assumé) de 10 ans comme père au foyer, et la décennie de vie commune avant mariage, qui éludés tous les deux, donnent à mon dossier une toute autre saveur où il n’est pas difficile de me reprocher d’avoir voulu profiter de la manne de ma prof de femme… et donc de ne rien m’accorder… du tout… ouche !

Sur ces deux points, je mets au défi les deux avocates concernées de bien vouloir m’expliquer pourquoi ces détails n’ont pas été portés au dossier.

Toutes deux ne feront l’impasse sur le contexte, et ignorerons royalement, toutes, je dis bien toutes, les infractions commises par la partie adverse qui sont pourtant très facile à prouver pour certaines d’entres elles et ce alors que je les en informerais en quasi temps réel.

Ainsi, ma femme se permettra de continuer à vivre chez moi comme si elle y était toujours, prétextant que cette maison étant à nous deux, elle pouvait continuer à en jouir à sa guise, rien que ça.

Un matin, je la surprendrais en train de vider un tiroir de documents administratifs, elle est entrée sans frapper, est allé directement au bureau comme si elle était chez elle, youpi tralala… Je lui ferai remarquer qu’elle au moins à une vie privée chez son copain, et que moi, il serait normal que je puisse en avoir une. Que nenni, c’est chez elle et je n’ai rein à dire, fin de la discussion, point !

Pendant plusieurs mois, je vivrais avec la crainte de voir ma maison visitée pendant que je suis au boulot, et bien entendu, cela ne manquera pas et se produira plusieurs fois, dont une particulièrement dégueulasse de la part d’une mère aimante, où profitant de la présence des enfants, et malgré qu’ils lui diront à ce moment-là qu’elle n’à pas le droit de rentrer, elle les forcera à la laisser entrer quand même.

Alors que je suis handicapé (fortement diminué dirons nous) et me déplace très difficilement sur un fauteuil de bureau à roulette, je vais devoir assurer mon rôle de père au foyer, essayant autant que faire se peut, de vider les étagères du haut avec un balai pour tous re-ranger plus bas, à ma nouvelle hauteur « de papa à roulette », pendant que maman s’éclate avec son mec dans ses putains de soirées dansantes…

Toutes deux oublieront pourtant de signaler ce contexte particulier.

Quelques jours plus tard, ma femme vide les comptes, alors qu’elle sait parfaitement que je suis sans revenus et que je suis bloqué à la maison avec mon handicap.

Toutes deux… si si, et ce malgré une correspondance absolument surréaliste de ma femme, qui justifiera l’utilisation de la même somme (rondelette) de 4 manières totalement différentes (et sans le moindre justificatif), copies des messages transmis aux intéressées en temps réel.

Trois semaines après son départ, ma femme organise un véritable guet-apens qui commencera par le kidnapping des enfants vers midi, et se terminera le soir par une agression violente de l’amant sur ma personne (je suis encore hand, euh, fortement diminué…).

L’une ignorera totalement la chose, l’autre la soulèvera légèrement dans une de ses conclusions.

Il faudra 14 mois au procureur, et une relance, pour qu’il daigne me répondre par un classement de ma plainte…

Il faudra 48 heures à l’appareil d’état dans toute sa splendeur et son ensemble, pour traiter l’affaire du chat de Marseille et incarcérer l’auteur du crime pour un an ferme…

Avant la fin du deuxième mois après son départ, je suis déjà obligé d’emprunter 4 000 euros pour combler les oublis et autres manquements de ma femme.

Ah non pardon, ma femme à payé son avocat avec le compte commun, enfin, comme c’est aussi celui qu’elle à vidé, juste après bien sûr, en gros c’est moi qui lui ai payé son avocat, alors bon, le 700, le juge s’est assis dessus, normal, un chômeur handicapé doit payer l’avocat de sa femme fonctionnaire qui de plus est à l’origine de l’affaire…

La liste continue sur presque deux ans, et malheureusement pour moi, elle va fortement influer sur ma « courbe dépressive », j’en perdrai mon travail, le moral, l’envie de manger, et bien d’autres envies aussi.
Pourtant, tous les éléments cités ci-dessus seront méthodiquement oubliés par les deux avocates, dingue non ?

Aujourd’hui, je pourrais faire appel du jugement, mais je devrai encore me payer un avocat.

Payer un avocat ? Encore ?

Mais pour quoi faire ?

Pour qu’il ne fasse rien et que je perde encore mon temps et mon argent ?

Le 25 décembre, merci le calendrier, ne pouvant faire appel le jugement sera définitif et de ce jour-là, car ne pouvant racheter ma part de ce qui devrait pourtant me revenir, et ayant perdu tout espoir de voir un quelconque retour des sommes que j’ai engagées et donc que j’ai définitivement perdues, il sera aisé à mon ex de me faire virer tranquillement et de prendre possession de tout sans que je ne puisse prétendre à rien.

Avec l’aide de mes avocates, elle a réussi à me mettre dans une situation où je ne peux plus rien faire, pas même me défendre.

Il va y avoir la séparation des biens, et après, ben…

Heureusement que mes amis sont là pour me dire… de tourner la page et de penser à mes enfants…

Il ne me restera bientôt plus que ça d’eux, des pensées, une fois à la rue, il ne sera pas très difficile pour mon ex de démontrer mon incapacité à m’occuper sainement d’eux et à faire modifier le jugement en conséquence, là j’aurais vraiment tout perdu.

C’est presque facile vu comme ça hein ?

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(")_(") Maître Maa

Dur dur d’être un Papalacaz !

wp-media-46Il faut avoir foi en la justice de son pays…

Pour la justice française, utiliser ses connaissances pratiques dans un art de combat pour casser la gueule au mari de sa copine, qui est accessoirement diminué comme suite à un accident de la route, qui est de corpulence et de force inférieure (même en faisant abstraction du handicap), qui n’a pas la moindre connaissance dans un art de combat quelconque (plutôt même au contraire non-violent de conviction), sous les yeux de ses enfants, tout en lui bousillant son matériel de travail (matériel personnel dont la valeur approche celle d’un mois de salaire), un simple rappel à la loi suffit

Le classement n’étant pas sans suite, j’ai encore la possibilité de poursuivre mon agresseur pour dédommagements (ça m’a coûté 2 000 balles quand même), mais je n’ai pas les moyens de payer (encore) un avocat, je reste donc un peu dubitatif, et cela se comprend au demeurant, quant à la valeur réelle de l’adage cité en sous-titre…

Un an et deux mois pour conclure qu’une agression de personne handicapée par personne en bonne santé n’est qu’un banal fait divers qui mérite tout juste son petit rappel à la loi, pas de quoi fouetter un chat me direz vous, et le chat vous répondra qu’en cas de violences sur animal, l’agresseur est immédiatement condamné à de la prison ferme, peine qu’il devra effectuer quelques heures seulement après avoir commis son crime odieux, l’appareil judiciaire et policier français étant alors immédiatement mis en branle, on parle quand même d’un félin.

Pour les humains, c’est pas tout à fait pareil, et 14 mois plus tard, mon agresseur continue de se pavaner avec ma femme dans les boîtes de nuits de la Réunion, n’a subi qu’un petit rappel à la loi, mais la SPA est contente.

Bon, maintenant qu’on s’est fait plaisir avec les bonnes nouvelles, abordons la suite, qui est un poil moins drôle… quoique, au point où j’en suis, seule l’ironie me permet de continuer à avoir encore un semblant d’optimisme dans cette société complètement déconnectée.

Concernant mon ancienne avocate, je sais maintenant, grâce aux aveux directs ou sous-entendus de deux avocats, qu’elle s’est littéralement moquée de moi et n’a absolument pas fait son travail. Scandaleux, dégueulasse, je n’ai pas les mots, elle n’a pas hésité à prendre le pognon d’un chômeur tout en lui faisant croire qu’elle travaillait pour ses intérêts alors qu’elle faisait tout le contraire.

Je suis outré de devoir constater par le fait accompli, qu’une telle profession soit aussi peu surveillée et à quel point ses acteurs sont autoprotégés.

Elle mériterait un procès, mais quel avocat ici bas aurait le courage de défendre un citoyen contre un de ses collègues ?

Résultat, mon divorce est pratiquement plié, et aucun de mes arguments initiaux, abandon du domicile et des enfants par la mère, adultères, l’agression de l’amant, le harcèlement moral et financier, toute ma stratégie en gros, n’est plus recevable.

Elle m’avait dit déposer un référé, jamais fait, oublié,

Intervention des enfants (ou, tout du moins une demande en ce sens), oubliée,

Divorce pour faute, oublié aussi, mais elle déposera quand même une demande de divorce simple à la place… cocasse,

Les nombreuses violations de l’Ordonnance de non-Conciliation dont s’est rendue coupable l’épouse, oubliées, non prise en compte, pas utilisées…

Le lien entre l’agression du mari handicapé par l’amant bien portant, quelques jours après le départ de madame du foyer familial, oublié… encore…

La seule chose qu’elle ait faite (dixit un avocat qui s’est penché sur mon dossier et que je ne citerai pas), c’est de se constituer défenseur dans mon affaire, elle n’a jamais transmis le moindre document à la cour, hormis la requête initiale, qui comme déjà dit, n’était pas la bonne (divorce simple alors qu’on s’était mis d’accord sur un divorce pour faute).

Il en ressort donc, que la seule action concrète dont l’avocate en question puisse s’accaparer la paternité est juste en total désaccord avec ce qu’elle avait mis en place avec son client, le reste n’est que suite logique.

Quand le juge me demande signer l’accord de principe, je le fais sans la moindre réflexion, je suis alors en pleine confiance de mon défenseur, jamais je ne me serais imaginé que ce jour-là, j’allais signer un document qui allait tout simplement mettre toute ma stratégie à la poubelle, le tout en parfaite connaissance de causes et de conséquences de mon avocate.

Je ne sais pas si vous saisissez bien le truc, vous allez voir un avocat, vous lui soumettez une affaire, vous élaborez une stratégie sur ses conseils, vous allez au tribunal, mettez en œuvre la stratégie en question avec la conviction de faire les choses bien puisqu’élaborées sur les conseils d’un professionnel, et vous découvrez bien plus tard et généralement trop tard, que vous avez fait exactement ce qu’il fallait pour faire gagner la partie adverse sans que celle-ci n’ait même à se défendre…

Et en plus, vous avez payé pour ça… ouaouh !

En gros, je suis en train de rédiger un petit texte chapitré résumant le tout. Il sera bientôt publié sur ce site au jour le jour, avec les patronymes complets des intéressés et les copies des documents attestant l’incompétence volontaire de cette avocate de Saint Pierre. Sans oublier ses amis, à commencer par certain président d’association de défense des pères, qui est devenu bien silencieux lorsque je lui ai fait part des errements de l’avocate qu’il m’avait pourtant lui-même conseillée !

Y’a-t-il un juge dans l’tribunal ?

J’ai aujourd’hui soif de réparations, mais surtout d’explications de la part de l’ordre des avocats que je vais contacter à cet effet, cette avocate à littéralement ruinée ma vie en me prenant le peu que j’avais pour le donner à la partie adverse qui venait justement de se servir et qui elle avait donc déjà tout.

Elle ment à un chômeur (le mari) pour lui prendre ce qu’il n’a pas et qui correspond au peu qu’il lui reste après que l’épouse se soit servie, et c’est le fonctionnaire (l’épouse) qui se retrouve avec le tout voire plus, car elle va très certainement obtenir une compensation, elle, prof, de moi, chômeur… bref…

10 ans de ma vie, sacrifiés pour m’occuper de mes deux enfants (et je ne le regrette pas), les nombreuses nuits blanches, les biberons, les couches… pour que madame puisse dormir.

Les balades en poussette et les week-ends tout seul avec les enfants au parc, avec ballons et vélos, pour que madame puisse travailler ses heures sup, génératrices, en plus du complément de salaire (fonctionnaire expatriée, quand même !), d’opportunités d’évolutions de carrières, qui ne manqueront pas d’arriver d’ailleurs.

Les soirées à m’occuper (avec plaisir cela dit) des enfants pour que madame puisse s’adonner à sa passion du tango (qui sera finalement l’élément destructeur de notre couple).

Le tout de Grenoble au Tampon, en passant par Nouméa et Lyon… je n’ai jamais été un frein, toujours là, à suivre et soulager madame.

Aujourd’hui, je suis handicapé, à 20 000 bornes de ma famille, je n’ai plus un rond, je me suis fait casser la gueule par l’amant, sous les yeux de mes enfants qui depuis vivent une semaine sur deux dans la même maison que le type qui a tapé papa en flippant tout le jour. Je ne vais rien obtenir de mon divorce puisque c’est finalement une sorte de divorce par consentement mutuel sans vraiment l’être, je vais très certainement devoir payer les frais de justice de madame (qu’elle a déjà payés en prenant sur le compte commun, mais bref) et ne verrais mes enfants qu’un week-end sur deux. Bien entendu, je serai viré de ma maison, avec mon salaire je trouverai un truc très cher, qui sera trop petit, et madame utilisera cet argument pour me refuser la garde.

Un avenir rose à point, n’est-il pas ?

La justice est un domaine très opaque et les avocats sont censés être là pour nous aider, nous seconder et nous conseiller. De notre côté, nous les citoyens censés ne pas ignorer la loi, nous nous trouvons dans l’obligation de leur accorder une confiance aveugle, car leur domaine nous est absolument inaccessible.

Belles théories…

Ah la la, vous n’imaginez pas la taille des bananiers Réunionnais, et quand bien même vous en seriez capables, multipliez le tout par encore plus et vous serez pas loin de la taille des petites pousses…

Pour la suite, j’hésite entre survivaliste et bonnet rouge, je vais encore réfléchir quelque temps.

Quoique… survivaliste à bonnet rouge, c’est pas mal non plus…

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Papalacaz, un métier qui n’existe pas…

DSCN2647Et ne comptez pas sur Mme Belkacem pour que cela change…

Votre conjoint vous gonfle et vous avez envie de vous barrer de votre domicile conjugal ?

Vous avez arrêté de travailler pour vous occuper de vos enfants et votre situation financière est un peu compliquée (pour ne pas dire difficile), car vous êtes un peu, par obligation envers votre progéniture il va de soi, dépendant du salaire de votre conjoint ?

Alors, comme vous êtes une personne moderne, vous vous lancez dans une quête d’informations sur le sujet avec l’aide votre grand ami Google.

Diable, que d’informations en retour, il va falloir trier le bon grain de l’ivraie…

La première chose que vous allez remarquer, c’est les conseils de base qui sont assez récurrents pour être pris au sérieux.

Quels que soient le site ou l’intervenant, vous remarquerez quelques points qui reviennent très souvent :

  • On ne quitte jamais le domicile conjugal sans ses enfants (même quelques jours),
  • On ne vide pas les comptes,
  • On n’envoie surtout pas le futur nouveau conjoint discuter physiquement avec l’ancien (comprendre, pas de contrat sur la tête de l’ancien conjoint),

Les deux premiers points ont d’autant plus d’importance si vous êtes celui qui entretien le couple, comprendre, celui qui n’a pas arrêté de travailler pour se consacrer aux enfants. Sinon, vous risquez de voir l’accusation renforcée de fait.

Le troisième est juste ce que l’on appelle en langage humain standard, du bon sens

Mais voilà, ce que les textes nous disent ne représente malheureusement que la théorie, car dans la réalité, tout ceci n’est applicable que dans le cas, très courant il est vrai, ou c’est madame qui à arrêté de travailler, qui est dans une situation financière compliquée, et que c’est monsieur qui est parti en abandonnant ses enfants.

Si jamais, comme moi, vous avez le malheur d’être un de ces couples modernes qui ont choisi de mettre « papa » à la cuisine, aux couches, aux biberons, soit en gros « à la maison », la séparation ne vas pas se dérouler « comme prévu »…

Pour faire court, votre femme peut partir sans ses enfants, elle peut vider les comptes, et elle peut même vous envoyer son nouveau mec vous casser la gueule, je vous le dis tous de suite en parfaite connaissance de cause, elle ne sera jamais inquiétée, jamais !

Vous verrez même votre plainte classée… et ce n’est pas votre situation de personne diminuée (handicapée pour être précis) qui changera quoi que se soit.

Faites une autre recherche sur le net, et vous verrez que pour ce genre de faits divers, si jamais c’est le papa qui s’amuse à cela, il est immédiatement remis sur le droit chemin par le système judiciaire français, il peut même se retrouver avec de la prison avec sursis (voir carrément de la prison ferme) et très souvent, il sera condamné à verser des sommes considérables en « dommages et intérêts ».

Bien entendu, vous ne trouverez pas ce genre d’information sur le site de Mme Balkacem, elle qui contribue à ce que cet écart de traitement soit au contraire encore plus important en attribuant à « la femme » encore plus de droits, moins de devoirs et donc beaucoup plus de pouvoirs…

Maintenant que vous savez que le fabuleux métier de père au foyer n’existe pas vraiment, ou seulement dans la tête des « faiseurs de promesses avant les élections », vous voici armé pour supporter la suite, qui est d’entrée très mal partie, sachez-le…

Le premier réflexe qui nous vient à l’esprit, nous autres papas au foyer, est de rechercher du soutien, en commençant par celui des associations qui défendent notre cause.

À la Réunion, il n’y en a qu’une et c’est donc avec une certaine logique que vous la contactez dans l’espoir que celle-ci vous aidera d’une manière ou d’une autre.

Contact pris, celle-ci vous conseille alors une avocate de votre région (Saint-Pierre pour moi) qui s’est engagée auprès de l’association et qui est censée s’occuper des dossiers des adhérents avec plus d’attention que pour les autres dossiers…

En y regardant de plus près, vous découvrez que cette association est parrainée par plusieurs personnalités locales qui ne sont pas inconnues et qui sont même, pour certaines, connues pour ne pas avoir peur de dire ce qu’elles pensent.

Le tout ne fait que vous conforter, vous vous sentez enfin soutenu, vous adhérez, vous prenez contact avec l’avocate conseillée et vous engagez alors la procédure…

Vous voici tout frais adhérent de l’association Paire 2 Cœurs, carte en main, procédure en cours, serein et attendant la suite avec confiance…

La réalité sera toute autre, et c’est un peu le but de cet article, sachez-le tout de suite, il s’agit quelque part d’une belle arnaque, dans tous les sens du terme.

L’avocate désignée est une menteuse professionnelle qui n’hésitera pas à vous expliquer le déroulement de la procédure qu’elle va initier, tout en en mettant une autre en place, et qui bien entendu dessert totalement vos intérêts.

Elle ne répondra pas à vos messages, ne vous recevra qu’une fois ou deux pour vous dire des choses honteusement mensongères pour vous rassurer et faire en sorte que vous laissiez passer le temps en faveur de la partie adverse.

Elle n’hésitera pas à rajouter une couche de mensonge, quand au cours du déroulement de la procédure, vous allez découvrir des éléments qui ne semblent pas correspondre à ce qu’elle vous avait promis. Sur ce dernier point, elle n’hésitera pas à vous raconter des histoires rocambolesques pour vous embrouiller l’esprit.

Bien entendu, elle prendra votre fric, vous n’avez aucune inquiétude à avoir sur ce point-là.

L’avocate ne répondant pas à vos messages, vous prendrez alors contact avec l’association et vous découvrirez alors qu’elle est devenue d’un coup très silencieuse.

Silence qui une fois constaté vous forcera à admettre qu’il y’a collusion et donc complicité entre elle et l’avocate…

À ce stade de la procédure, vous n’avez que deux solutions, soit vous continuez sans rien changer et vous êtes sûrs de ne pas voir un seul de vos griefs reconnus et donc au contraire de les voir se retourner contre-vous, soit vous décidez de quitter cette avocate pour tenter une autre voix avec un autre défenseur.

J’ai choisi pour ma part la deuxième voix, qui n’est pas la plus facile, étant déjà dans une situation financière compliquée, savoir que vous venez de perdre 1 500 € d’honoraires pour rien, c’est déjà insupportable, mais en plus, savoir qu’il va falloir assumer les honoraires du prochain défenseur… bref.

Mais quand le nouveau défenseur, une fois votre dossier en main et après l’avoir analysé, vous explique que vous vous êtes fait entuber d’un bout à l’autre de l’histoire et que la suite risque d’être pus que très délicate, vous évoluez alors entre deux sentiments, le premier étant de prendre les armes et d’aller vous expliquer avec vos détracteurs, l’avocate, l’association, votre femme et bien entendu son agresseur de petit ami, le deuxième étant de vous reprendre et d’envisager la suite en respectant les procédures. J’ai bien entendu choisi la deuxième voix.

Mais voilà, la première avocate ayant outrageusement menti dès le dépôt de la première requête, vous vous retrouvez dans l’obligation de demander l’annulation pure et simple de la procédure pour pouvoir enfin engager la bonne… et là, c’est chaud bouillant.

L’argument utilisé pour demander l’annulation mettant en cause votre premier défenseur, le magistrat en charge de votre dossier va devoir prendre une décision, s’il accepte votre requête, il reconnaît implicitement les écarts de votre défenseur, et dans le monde judiciaire, rares sont les magistrats qui ont le courage de s’en prendre à un membre de leur corporation.

Quand bien même il accepte votre requête en annulation, la partie adverse va alors considérer cette action comme étant une déclaration de guerre, elle mettra alors en œuvre tout ce qui est en sa possession pour faire traîner les choses, et quand une des deux parties n’est pas très riche, le temps joue généralement en faveur de celui qui a les moyens d’attendre, ce qui n’est pas mon cas.

S’il n’accepte pas la requête, vous êtes bons pour pleurer et compter vos pertes, qui sont, vous vous en doutez, innombrables.

À commencer par la perte de vos enfants, votre situation financière ne vous permettant plus de les assumer pleinement (l’argument consistant à faire reconnaître l’asphyxie financière de l’autre n’étant pas recevable puisque ce n’est pas la bonne requête qui a été initiée) et aucune possibilité de faire reconnaître cette situation comme étant le résultat du comportement de votre conjoint. Le magistrat se fout bien de savoir que vous êtes devenu pauvre grâce aux actions destructives de votre conjoint, il s’en tiendra à la requête initiale qui ne prend pas ce genre de détails en compte.

10 ans de votre vie sacrifiée pour rien, un travail à plein temps non reconnu, votre carrière au point mort et que vous devez relancer, des comptes totalement asséchés et aucun espoir d’obtenir la moindre compensation… avouez qu’il faut avoir une certaine confiance pour continuer à vivre après ça.

Mais voilà, je n’ai plus rien à perdre, alors je ne vais pas lâcher l’affaire, cela prendra le temps qu’il faut, mais je me battrai, et quoi qu’on en dise, je le ferai avant tout pour mes enfants, quand on à vécu cette aventure fabuleuse qui est celle du parent au foyer, ceux-ci deviennent de fait comme partie intégrante de votre chaire et vous avec énormément de mal à imaginer la suite de votre vie sans eux.

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(")_(") Maître Maa

Avocat menteur, ce serait pas un pléonasme ?

wp-media-31Corruption de compétition

Acte 27, paragraphe 22, verset 18…

Après avoir galèré plusieurs mois pour pouvoir exfiltrer mon dossier de chez mon ex-avocate, je suis maintenant en mesure de confirmer la très très mauvaise gestion de celui-ci par celle-là…

Non seulement il y’a manifestement eu du laissé aller, mais en y regardant de plus près, et grâce à l’aide considérable d’un ami avocat qui à bien voulu jeter un œil dans tous ce fourbi juridique, il en ressort un dossier entaché de mensonges absolument infectes qui non content de me mettre dans une situation extrêmement délicate, démontrent surtout le caractère presque criminel du comportement de mon ex-avocate.

Je n’irai pas par quatre chemins, mon avocate est une menteuse, et je le dis sans détour, une menteuse…

Quand je l’ai rencontré la première fois et que je lui ai proposé mon affaire de divorce, j’ai été très clair sur plusieurs points, trois pour être précis :

  • L’adultère (divorce pour faute),
  • La danse (passion dévastatrice qui est à l’origine de la destruction de ma famille),
  • Audition des enfants.

Dès les premiers jours de notre correspondance par courriel, je lui demanderai par exemple :

  • Puis-je changer les serrures ?
  • Puis-je me désolidariser du compte bancaire commun ?

Par la suite, après la réunion de non conciliation, je constaterai plusieurs infractions à l’ordonnance commise par mon épouse et j’en avertirai mon avocate en presque temps réel :

  • Elle s’introduira à plusieurs reprise à mon domicile en mon absence, vidant les placards (l’ordonnance m’accorde la jouissance exclusive du domicile),
  • Elle va oublier de payer certaines de ses obligations (l’ordonnance lui impose le paiement de certaines sommes),

A ce jour, aucun des faits sus-cités n’à été respecté, ni fait l’objet d’une quelconque réaction de la part de l’avocate, je m’explique (j’ai bien d’autres détails croustillant, mais je m’en tiendrai à ceux-ci pour le moment) :

Premier point concernant la requête initiale et la demande de divorce pour faute, l’ordonnance fait état d’une demande de divorce sans considérations des faits à l’origine de celui-ci… premier mensonge…

Deuxième point, la danse, en absence de divorce pour faute, ce détail disparait de la procédure… deuxième mensonge…

L’audition des enfants, l’ordonnance indique que les enfants ayant été informés par leurs parents de leur droits à être entendus mais n’en ayant pas fait la demande, ils n’ont pas été entendu et ne le seront pas… troisième mensonge…

En possession de l’ordonnance, je me rendrai chez mon avocate pour me faire expliquer ces petits détails que je trouve étrangement peu en rapport avec ma plainte initiale ou ses précédents discours sur le sujet.

Elle me confirmera oralement lors d’un entretiens, que ce ne sont là que des lettres types et que je ne dois pas m’inquiéter, que tout ceci sera débattu lors de la phase contradictoire. Là encore il s’agira d’un énorme mensonge, mais ce n’est que le quatrième…

Concernant notre correspondance électronique, c’est très simple, elle n’a jamais (jamais !) répondu à mes messages, aucune réponse, jamais…

Résultat, mon épouse se pointera à plusieurs reprises à mon domicile car je n’ai pas oser changer les serrures de peur de me mettre en porte à faux avec la loi, un oubli de l’avocate qui va permettre à mon épouse de bien s’amuser.

Concernant la désolidarisation du compte commun, l’oubli de mon avocate se terminera par un découvert et des frais que je devrais assumer alors qu’ils représentent presque le double de ma capacité financière… Mon épouse va oublier de payer certaines de ses obligations, et ce sont mes provisions, à moi qui respecte mes engagements, qui seront absorbées par les oublis de madame… Chômeur, je verrai partir près de trois mois d’indemnités, et devrai en plus rembourser en urgence mes traites (pourtant provisionnées) à un cabinet de recouvrement…

Ces deux oublis me sont extrêmement préjudiciable, si mon avocate m’avait répondu pour les serrures, mon épouse n’aurait jamais pu s’introduire à mon domicile en mon absence, elle n’aurait pas pu vider les placards et ne serait pas partie avec pratiquement tous les documents administratif de la famille.

Si elle m’avait répondu pour la désolidarisation bancaire, je n’aurais pas eu à payer les oublis de mon épouse et je continuerais à jouir des provisions « en avance » que j’avais veillé à toujours verser sur le compte.

Ces deux points constituent à eux deux de multiples infractions à l’ordonnance de non conciliation, pourtant, mon avocate ne fera rien, ne rebondira pas, ne contactera pas la partie adverse, et laissera tranquillement l’eau couler sous les ponts.

Pire, un jour, elle va me promettre (oralement) de déposer un référé pour que mon épouse se fasse tirer les oreilles, mais elle n’en fera rien. Cinquième mensonge…

Aujourd’hui, je suis dans l’obligation de demander une annulation de la procédure en plaidant le manque d’information, mon avocate tenant un discours avec moi et un autre avec la cour, et je ne le découvre malheureusement que maintenant.

Cette demande d’annulation risque d’être refusée, auquel cas, je suis vraiment dégoûté car j’aurais tout perdu en croyant être défendu par un professionnel qui n’était en fait qu’un escroc… aie !

Si elle est acceptée, la partie adverse le prendra pour une déclaration de guerre et la suite de la procédure prendra encore plus de temps, les délais vont s’allonger… déjà que je suis sur la paille, je ne suis pas vraiment sûr de pouvoir tenir le coup, matériellement parlant.

Dans l’état actuel des choses, j’ai payé une avocate pour rien… super !

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(")_(") Maître Maa

Papalacaz, chapitre suivant

wp-media-51Avocat, prêt, partez…

Autant il est difficile de trouver un bon avocat, qu’il l’est de communiquer avec les mauvais autres.

Alors que je n’ai toujours pas la moindre information au sujet de la procédure en cours de la part de mon avocat [1], je constate la même absence de mouvement maintenant que je lui ai signifié mon intention d’en prendre un autre.

Toujours cette même technique de l’inaction attentiste, et moi je me retrouve sans trop savoir si je vais pouvoir me retourner pendant qu’il en est encoure temps.

Je ne comprends pas ces méthodes totalement irrespectueuses, soit il fait son travail et communique avec son client, ce qui, je crois, est un comportement normal, soit il ne fait rien et dans ce cas ne s’oppose pas à son départ.

Moi qui croyais bêtement que le temps qui vient de passer était normal, j’ai découvert récemment qu’il n’en était rien, surtout au regard du nombre d’infractions commises par la partie adverse, et sans oublier l’agression perpétrée par le « petit » ami [2] et dont j’ai été victime.

Comme dans tout bon vieux film de la Série Noire où l’amant se ligue avec la femme pour assassiner le mari, je me retrouve confronté à la dure réalité du « ça n’arrive pas qu’aux autres », sauf que dans les films, les coupables sont vite démontés et finissent leurs jours en cabane.

Ce qui me dépasse, c’est que mon avocat ne se serve pas de ces éléments à charge contre la partie adverse, pire, en ne faisant rien (alors que j’étais persuadé du contraire), mes plus grosses cartouches prennent l’eau et risquent juste de faire un tout petit long feu, alors qu’elles auraient pu vaporiser la planète, enfin, c’est une image.

Le référé oublié…

Comment peut-on dire à son client que l’on va déposer un référé et ne pas le faire ?

Des mois perdus pour rien, des infractions à répétitions, et le Papalacaz qui sombre tranquillement jusqu’à perdre son boulot et se retrouver dans une situation financière extrêmement délicate [3], au point de devoir emprunter pour éviter les découverts et manger (et faire manger ses deux enfants aussi), et ce malgré une ordonnance de non-conciliation très claire sur ce sujet.

En général, messieurs qui divorcez, amusez-vous à violer l’ordonnance et vous verrez à quelle vitesse la justice est capable de fonctionner quand elle le veut.

Mais voilà, je ne suis qu’un père au foyer, vous savez ce genre d’homme moderne qui fait les gros titres des magazines féminins lorsqu’ils remplissent leurs torchons, en parlant de ces nouveaux pères modernes, qui ont décidé d’embrasser le très difficile métier de papa au foyer, pour que madame puisse se consacrer entièrement à sa carrière.

Et ils ont où ces mêmes journalistes lorsqu’il s’agit de défendre la cause des pères au foyer qui divorcent ?

Ah, mais c’est qu’il ne faudrait pas se fâcher avec son lectorat hein non plus, les pères au foyer c’est vendeur, les femmes qui abusent dans les procédures de divorce, ça n’existe pas voyons.

Bref, jamais je n’aurais cru pouvoir tomber sur un avocat aussi silencieux, c’est à se demander d’ailleurs s’il n’y a pas comme qui dirait faute professionnelle à ce niveau.

Encore une semaine de vaines batailles à venir, avec le fol espoir que je vais enfin réussir à contacter mon avocat.

À suivre… sûrement.

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(")_(") Maître Maa

Notes

[1] : Véridique, pas un (1, UN singulier, unique) message depuis près d’un an, sauf pour me dire que je lui dois de l’argent bien entendu, alors que de mon côté j’en ai envoyé un nombre considérable. Même quand je lui demanderai s’il a bien reçu mon dernier virement, pas de réponse, c’est déprimant.

[2] : Mais alors petit… d’une bassesse crasse comme on en fait plus depuis longtemps, enfin, il reste apparemment un spécimen à la Réunion, et il est tombé (c’est le cas de le dire) sur moi, sans oublier mon handicap aux jambes, je ne devais pas être une victime très difficile à mater. Quand je dis petit, c’est vraiment petit, insignifiant, comme lui d’ailleurs.

[3] : Le vidage des comptes est justement une des infractions constatées et je suis sûr que si je m’étais permis le dixième, la procédure serait terminée depuis longtemps, avec une belle victoire écrasante pour madame.

Qui n’en veux de mes bananes ?

wp-media-35Fin de silence

Je n’ai plus rien à perdre, je suis à la rue dans quelques jours, le temps de clore un peu tous mes contrats me liant encore à cette société pourrie et je pars sur les routes de la Réunion en ermitage.

Être père au foyer en France est déjà une complication en soi, mais être père au foyer dans une république bananière, ce n’est franchement pas simple.
Shhtt… pas là…

Victoire !

wp-media-41Salut à toi papa du monde

Enfin quelque chose à se mettre sous la dent dans cette histoire, et franchement, ce n’est pas trop tôt.

Le premier janvier 2014 je serais SDF, rien n’a été fait, avocat, juge et autres ont gentiment ignoré toutes mes requêtes,  j’ai pourtant présenté mon dossier en indiquant avec précision dans quelle merde je me retrouverais si l’on ne m’aidait pas.

Des promesses ont été faites, des actes ont été signifiés (ordonnance de non conciliation par exemple) mais lorsqu’il faut passer aux applications, il n’y à plus personne.

Mesdames qui divorcez, ne vous inquiétez pas, votre mari n’est pas un obstacle, faites ce que vous voulez, videz les comptes, vous pouvez même faire un contrat sur sa tête, au pire si jamais il à le malheur de se plaindre, c’est lui que l’on mettra sur la paille, ou en prison.

Elle est belle notre justice…

La vérité c’est qu’en France, père au foyer ça n’existe pas.

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(")_(") TM, citoyen divorçant…

Fais ce qu’elle dit, pas ce qu’elle fait

wp-media-4Papa célibataire, cherche pas, t’es seul…

Prends une ordonnance de non-conciliation contenant trois directives, les deux premières sont des obligations concernant madame, oublie-les et concentre-toi sur la troisième qui te concerne toi.

La première est plutôt à ton avantage, autant dire que pour madame elle n’existe pas, normal…

La deuxième est une obligation plutôt lourde, limite une sanction à l’égard de madame, mais là aussi, il semblerait qu’elle soit victime de cécité soudaine.

La troisième te concerne, et même si ce n’est qu’une toute petite directive sans grande gravité, madame exige qu’elle soit appliquée à la lettre et te menace de tous les feux du Ciel si tu ne t’inclines pas immédiatement devant son inestimable grandeur solaire.

Bon, tu es fort et doté d’un certain sens de l’humour et tu préfères en rire dans un premier temps. Puis tu te renseignes et tu découvres que tu es bien dans ton droit pour les trois directives et que madame abuse plus que largement au sujet des deux premières qu’elle se permet d’ignorer royalement.

Il ne te reste que la solution judiciaire, mais pour ce faire, il te faut faire table rase de tout ce que tu peux encore ressentir pour cette femme avec qui tu as tant partagé pendant tant d’années, c’est maintenant une étrangère et son comportement agressif à ton encontre doit t’inciter à la considérer désormais en ennemi contre qui toutes les défenses possibles doivent être mises en œuvre… c’est dommage, mais c’est comme ça.

Il va maintenant falloir faire appliquer l’ordonnance, ça va te coûter 22 bras en huissier, tu n’as plus les moyens (ils ont été transférés sur les comptes de madame) et bien entendu, aucune solution ne te sera proposée par les instances en charge de ton dossier.

Tu crois naïvement que le juge va venir à ta rescousse, c’est vrai quoi, c’est lui qui à produit l’ordonnance, il serait normal qu’il participe à sa mise en application, et tu te trompes lourdement, la seule solution, c’est les huissiers que TU vas devoir financer, et même si au final tu seras très certainement remboursé, tu devras malgré tout avancer les sommes, et madame sait parfaitement que tu ne pourras jamais les trouver.

Alors tu créer un site internet, tu colles un lien PayPal et tu fais appel à la générosité de tes pairs…

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(")_(") TM, citoyen divorçant…

Journal d’un père, l’invisibilité au quotidien !

Marié un jour… divorcé le lendemain…

Si comme moi tu divorces et que tu essayes de faire respecter tes droits, tu trouveras sur ce site pleins de bons conseils pour t’écraser encore plus et donner à ton ex tout ce qu’elle désire sans qu’elle n’ait à le demander.

Car comme tu l’as déjà sans doute remarqué, elle fait ce qu’elle veut, ne respecte pas l’ordonnance de non-conciliation, ne paye pas sa part, etc., et toi, tu patines dans tous les sens pour juste faire respecter tes droits.

Alors que si toi, tu t’étais permis le millième…

Tu as donc découvert qu’en la matière, tes droits n’ont de valeur quand dans les textes où ils apparaissent, et deviennent tout à coup inexistants dès qu’il est nécessaire de les faire appliquer.

Je monte ce site parce que ma situation est devenue critique, je suis à deux doigts de la rue, mes finances n’ont de finances que le nom et mon frigo est bientôt vide, sans oublier le réservoir de la voiture, qui lorsqu’il le sera aussi, m’imposera de perdre mon travail pour impossibilité de m’y rendre…

Papa qui divorce, une chute sans fin…

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(")_(") TM, citoyen divorçant…