Apple m’a tuer…

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Dear Tim Cook

Je ne suis qu’un humble utilisateur de Macintosh depuis 1989 et depuis ce temps-là je n’ai jamais utilisé quoi que se soit en provenance de la concurrence, jamais.
J’ai toujours défendu Apple, notamment quand la société était au plus mal et semblait sur le point de péricliter, gardant confiance en l’avenir, car je savais que cette entreprise avait les moyens de retourner la situation.

J’ai vu venir OS X, je le sentais et je n’ai pas été contredit, quand Apple à annoncé le rachat de neXt j’ai été plus excité qu’étonné, ayant eu la chance de manipuler un neXt-Cube, je savais que le choix était très bon.

Quelle aventure que cet OS X premier du nom, le fameux Mac OS X 10.0.3, le truc le plus instable que je n’avais jamais eu sur Mac (avant Yosemite bien sûr), mais qui n’annonçait que du bon pour la suite (contrairement à Yosemite), c’était encore une bêta et ce qu’elle faisait quand elle ne plantait pas était juste énorme malgré tout.

Je suis revenu sur 9.2.2 pour bosser et quand j’ai reçu mon CD de la mise à jour 10.1 (parce qu’à l’époque Apple t’envoyait le CD à ton nom), je l’ai installée dans la foulée.

Je ne suis jamais retourné sur Mac OS 9, profitant de Classic pour les quelques applications qui n’avaient pas encore été transposées sur le nouvel OS, mais bootant définitivement sur OS X depuis ce jour.

Puis vinrent les versions suivantes, 10.2 (naissance d’iChat), puis 10.3 (naissance de Safari que j’avais prédit dans un article publié sur mon site perso) et les suivantes jusqu’au dernier système exploitable, 10.6, Snow Leopard.

Jamais un plantage, pas une seule perte de données, les mises à jour installées sans réfléchir par-dessus les anciennes et qui se sont toutes déroulées sans le moindre accroc.
Je dis bien dernier système exploitable, car c’est à partir de là qu’Apple va commencer à emprunter une pente très glissante vers la médiocrité.

Encore aujourd’hui, j’entends de nombreuses voix qui pensent comme moi que Snow Leopard est le dernier « vrai » système d’exploitation produit par Apple, je connais même des professionnels qui sont restés sur SL par peur de ne plus pouvoir travailler sur les versions suivantes, quand je regarde ça avec du recul, j’en viens à me demander s’ils n’avaient pas raison finalement.

Puis vint le tour de Lion… aie…

Ah Lion et cette nouvelle procédure d’installation qui passe par App Store et qui nécessite un téléchargement.

J’habite à la Réunion, une île magnifique située au milieu de l’océan Indien, ne cherche pas dans la mer sur ta carte Tim, pour ta boîte, cette île se trouve sur le continent africain…

La Réunion, c’est aussi (comme la Nouvelle-Calédonie que j’ai aussi eu la chance d’habiter) l’une des connexions les plus mauvaises que je n’ai jamais eues, les débits sont exécrables et le passage à Lion se fera sentir, le téléchargement prenant entre 2 et 185 heures, oui oui, 185 heures ! Je dis entre 2 et 185 parce que bien entendu, le téléchargement plantera plusieurs fois avant de finalement passer.

Qu’à cela ne tienne, j’ai toujours eu une confiance aveugle en Apple et je ne me laisserai pas impressionner par ce genre de petits détails.
D’ailleurs, à l’époque, je travaillais pour toi Tim, j’étais Technicien Certifié pour un revendeur local.

Pour l’anecdote, j’ai eu ma certification ce jour triste du départ de Steve.

Le matin, je me suis levé, excité et un peu nerveux quant à la perspective qui s’ouvrait à moi, et comme d’habitude, je suis allé faire un petit tour sur mes sites d’infos favoris, pour y lire l’information qui me mettra sur les genoux, un véritable choc.

Fortement ému, je vais hésiter à me présenter au centre de certification, incapable que j’étais d’accepter cette réalité… et de me concentrer.

Mais c’est en me remémorant ses propres paroles que je vais avoir le coup de fouet qu’il fallait, comme il aurait voulu que je le fasse, je laisserai ces détails de coté et me présenterai pour finalement l’obtenir « très facilement » !

Mon premier diplôme, le seul d’ailleurs de ma vie et il est signé Apple, j’en pleurais, j’te jure, ça à l’air débile comme ça, mais ce jour là restera à jamais l’un des plus beaux de ma vie.

En sortant du centre, j’ai levé les yeux au ciel et je lui ai dit merci de m’avoir donné cette force, j’imaginais comment il devait être fier de moi, puis j’ai vu les regards de travers des gens sur le trottoir, j’avais du parler à haute voix, mais je m’en foutais, j’avais enfin un pied dans la boîte qui me faisait rêver depuis plus de 20 ans, j’étais l’homme le plus fier du monde et le reste m’était égal.

Lion donc, par réflexe, et après avoir perdu plusieurs jours à essayer de télécharger la chose, je copierai l’installeur sur un disque externe, je ne le savais pas encore, mais je venais de me sauver la mise pour plus tard, car c’est effectivement ce qu’il faut faire, depuis Lion, il est fortement conseillé de faire une copie de l’installer avant de continuer… au cas où.

Mon Mac ne redémarrera pas, je fais partie de ceux qui ont eu le petit bug de l’installeur, tu sais, le fameux fichier qui n’était pas supprimé et qui faisait que Lion croyait qu’il n’était pas installé… et donc relançait la procédure d’installation… en boucle.

Sur le coup j’ai été très surpris, pas habitué à ce genre de bogue bizarre chez Apple, un peu comme si tous les matins je me réveillais en me demandant si j’étais réveillé…

C’est à partir de Lion que je vais aussi découvrir ce que c’est de devoir régulièrement rebooter son ordinateur sans raison, pratique que je ne maîtrisais pas, n’ayant jamais utilisé Windows…

Lion et le nouveau paradigme d’Apple concernant les protocoles réseaux, les autres machines locales qui changent de nom ou d’icône, qui sont connectées tout en étant déconnectées, déconnectées mais connectées, ou encore déconnectées et déconnectées… quand ce n’était pas tout simplement connectées parce que connectées (plutôt rare ça).

Web développeur de mon état, j’ai toujours eu un serveur Mac chez moi sur lequel j’hébergeais mes services, Apache, MySQL et PHP que je partageais dans une zone DNS locale limitée à mon réseau particulier que j’avais configuré en éditant les fichiers de Bind9.

Mon premier AMP, je l’ai compilé moi-même, mon QuickSilver 867 s’en rappelle encore, PHP m’avais à l’époque pris 5 heures pour se compiler, mais j’avais réussi.

Puis vint Mountain Lion et un sursaut d’amélioration, enfin pas sur le réseau, et encore moins sur le WiFi, Airport ayant décidé d’être de plus en plus mauvais au fil des versions sur ce point-là.

Même pas mal, je suis plus dur à cuir que ça, je ne vais pas me laisser bouffer par ce paquet de silice et je m’en sortirais quand même, mais avec ce sentiment que la qualité se dégrade de plus en plus.

Apple va continuer et sortir Maverick… qui sera l’un des éléments qui me pousseront à démissionner, ne supportant plus les griefs légitimes des clients à qui je devais mentir ouvertement, les accusant presque d’être à l’origine de tous leurs maux, alors que j’avais les mêmes problèmes en privé, mais que je ne pouvais pas le dire.

Difficile d’être formateur sur les technologies Apple et de se retrouver comme un con devant 10 élèves en train d’essayer de leur expliquer comment configurer Time Machine sur une Time Capsule… visible, mais inaccessible et qui donc refuse de valider la procédure d’activation. Obligé de finir mes démonstrations par des pirouettes, accusant la mauvaise qualité des connexions Internet pour expliquer les dysfonctionnements… du réseau local… hm !

« Messages », « Facetime », « Accéder à mon Mac », technologies qui ont une fâcheuse habitude à ne pas fonctionner, ou que l’on doit régulièrement réactiver sans raison apparente. Technologies qui pourtant faisaient la force d’Apple et qui représentait pur moi l’essentiel de mes démonstrations.

Quand j’y repense, j’ai un peu honte d’avoir ainsi roulé mes clients dans la farine en accusant tout l’Internet alors que la connexion entre les deux appareils n’était que locale (environ 4 mètres, quand même !)…

Marre de mentir, je finirai par dire mes 4 vérités à mon patron qui en récompense me foutra à la porte, on ne critique pas Apple voyons.

Bon d’accord, il ne m’a pas viré que pour ça, mais ce bordel ambiant me faisait vraiment honte et c’était de plus en plus difficile de recevoir les clients, sachant que la plupart des problèmes qu’ils soulevaient étaient bien causés par cette médiocratisation en cours, mais que je devais réfuter pour défendre Apple coûte que coûte.

Tu n’imagines pas Tim à quel point j’ai été soulagé de me retrouver au chômage, certes je perdais des sous, mais je gagnais tellement en qualité de vie.

J’ai repris mon ancienne occupation de père au foyer, et accessoirement de Web Développeur, et j’ai commencé à démonter WordPress, j’avais une idée pour un thème particulièrement optimisé, responsive, moderne et tout et tout, la consécration de nombreuses années de développements personnels enfin personnifiée dans un produit que j’allais peut être pouvoir vendre.
Pas facile le WP, mais bon, c’est le jeu.

Entre temps, mon QuickSilver va mourir de son alimentation (bonjour le choc après toutes ces années de bons et loyaux services), je réussirai à récupérer les données hébergées sur le serveur en démontant le disque dur et activerais le serveur local de mon iMac pour continuer à bosser.

En passant, merci d’avoir supprimé le partage Web, heureusement que je maîtrise (à mon humble niveau) le terminal et que je sais plus où moins quels fichiers modifier pour relancer mes services, cela ne me prendra que deux ou trois jours… seulement !

Mais voilà, je n’imaginais pas Apple faire pire, c’était sans compter sur Yosemite, le pire « truc » jamais produit par la pomme, une sorte de version bâtarde de Mac OS 7.5.5… en plus… euh… moderne.

C’était pourtant bien parti, j’avais fait la demande pour le bêta test public et j’avais été accepté, j’ai donc eu la chance de tester Yosemite avant tout le mode et pour une bêta je l’avais trouvé plutôt stable.

J’ai donc sauté sur Yosemite à sa sortie publique, je le regrette fortement, si j’avais su que cela m’amènerait aujourd’hui à reconsidérer mon métier…

Dès le premier redémarrage de Yosemite, je vais perdre mon serveur… ne cherchez pas le lien, c’est un peu comme si vous vous vouliez installer un nouvel autoradio dans votre voiture, et qu’en retour la cafetière du voisin se mettait à faire du thé.

L’explication est d’une simplicité presque vexante et se résume à la superbe nouvelle barre d’adresse / recherche unifiée de Safari qui décide d’elle même si vous tapez une URL ou une requête Google…

Rappelez-vous ci-dessus je vous parlais de mon serveur sur lequel j’avais défini une zone DNS très privée (toutes mes machines ayant leur propre nom de domaine du type : roger.truc, albert.truc) qui définissait une extension de domaine fictive le .truc

Ben voilà, avec Yosemite, les bogus sont tout simplement impossibles car Safari considère sans vous le demander que c’est une requête Google… bonjour la faille de sécurité, je suis même étonné que personne ne se soit lancé dans une procédure sur ce point-là, mais en même temps, les professionnels étant sérieux par définition, il serait logique de penser qu’ils utilisent de moins en moins le Mac, préférant utiliser de vrais outils.

Je vais sauver ma mise grâce à Ubuntu Server 14.04 que j’installe en urgence sur mon vénérable MacBook Noir, deux heures après, j’ai un serveur fonctionnel, mes bogus sont revenus grâce à Firefox et FirefoxDevelopperEdition (une tuerie ce truc) et le serveur tourne H24 depuis plusieurs mois sans le moindre problème, un seul reboot pour raison de sécurité.

Je suis du genre à persévérer et faire abstraction, je ne vais pas vous citer tous les problèmes rencontrés, j’en aurais pour 8 pages de plus, citons seulement Safari, qui pour un développeur Web est quand même un outil important.

La barre d’adresse / recherche unifiée ! Mon cher Tim, as tu seulement posé la question à un seul développeur Web avant de valider cette aberration ?

J’ai un projet sur le Net, et je le protège avec un certificat SSL, tu sais, le petit ’s’ que l’on ajoute au protocole dans l’adresse, le HTTP devenant HTTPS…

Ben tu vois, je clique dans la barre d’adresse et je n’ai que le nom de domaine machin.com, envolé les trois w et le http://…

Bon, ce n’est pas grave, je le tape à la main pour vérifier mon certificat, puis constatant que ça marche, je reviens sur le HTTP pour vérifier que je me fais bien éjecter par mon script.

Ah ben là, l’adresse est entière, chouette, je n’ai qu’a enlever le ‘s’ et ça roule.

Je dois retester en HTTPS, pas de problème, je clique dans la barre… et toute la partie protocole à encore disparue… c’est lourdingue comme tu ne l’imagines pas Tim, vraiment lourdingue.

Et je ne parle pas des cookies qui me demanderont plusieurs heures de recherches dans les arcanes sombres de Safari pour les retrouver, ou leurs gestions dans les préférences qui d’un coup se limitent à « supprimer toutes les infos liées aux sites (cookies, caches, LocalDB) » là où avant on pouvait supprimer juste le cache ou juste le cookie…

Mais bon je suis tenace et quand je reçois un mail d’Apple me demandent de tester la dernière bêta 10.10.3 avec le tout nouveau Photo, je m’exécute tranquillement et me lance dans l’aventure… et quelle aventure mon ami, la dernière pour tout te dire, juste la dernière, si j’avais su…

Apple me conseille d’installer cette bêta sur un disque externe, merci de me le préciser, comme si je n’avais pas un disque dédié, je te rappelle Tim que je l’ai déjà testé le bidule au cas où tu aies oublié.

Je vous écris cet article depuis le Mac de mon fils, mon iMac n’a pas survécu à ce test et il est mort tranquillement quelques jours plus tard…

Tu vois Tim, avec ta parano de vouloir tout contrôler, tu identifies les machines éligibles aux bêta test par leur numéro de série…

Je reprends, tu me conseilles d’installer la bêta sur un disque externe, ce que je vais faire, mais tu identifies ma machine sur son serial number…

Une fois de retour sur ma version normale, je vais découvrir un App Store complètement bogué qui est bloqué sur la mise à jour 10.10.3 bêta… euh… et plus aucune autre mise à jour ne me sera plus jamais proposées.

Les lenteurs vont se faire de plus en plus régulières et violentes, jusqu’à tout à l’heure ou je serai forcé de redémarrer le Mac… il ne redémarrera pas.

J’ai tout essayé, je te rappelle mon cher Tim que je suis un ancien tech certifié, je crois savoir à peu près quoi faire dans ces cas-là.

Finalement, j’ai tout réinstallé et tu me croiras si tu veux, mais maintenant j’ai un Yosemite 10.10.0 et App Store ne me propose que la 10.10.3 bêta.

iTunes et mail sont lancés, mais n’ont plus de fenêtres… cool.

Les lenteurs sont juste incroyables, environ 5 minutes d’attentes toutes les 5 secondes…

Dernière chance, formatage et clean installe… en croisant tous les doigts que je trouverai pour que Time Machine fonctionne…

Le couperet est tombé, ma sauvegarde Time Machine, que j’ai pourtant vérifiée avant de lancer la clean installe, est corrompue…

J’ai TOUT perdu, je n’arrive même pas à ouvrir l’image disque, 816 Go de données qui occupent de l’espace mais qui ne sont pas récupérables…

J’ai du mal à écrire, je n’ai aucun moyen de calculer la perte, elle est juste énorme.

Bien entendu, le dossier contenant une grande partie des éléments de mon procès en cours fait partie des éléments perdus, la partie adverse va pouvoir s’amuser, la plupart de mes preuves ont disparues…

En gros, pour me remercier d’avoir testé ton machin, tu viens juste de supprimer ma vie informatique, plus de 20 ans de travail, des milliers de fichiers originaux, des millions de lignes de codes…

Comme tu as pu le voir au cours de mon récit, j’en ai fait des efforts pour toi, mais là, j’arrête les frais, ce n’est plus possible, de toute façon je n’ai plus l’envie, c’est plié, adieu Apple…

Il est 2 h 30 du matin, l’iMac est sur la table d’opération depuis 17 h 30 et je crois que je vais arrêter de me battre, je dois accepter, c’est ainsi, c’est la vie.

Je ne suis même pas en colère Tim, tu vois, quand l’iMac fonctionnait encore, je pestais à chaque bug et je m’énervais 50 fois par jour, maintenant, je n’ai plus rien, donc fatalement plus de raison de m’énerver.

Non, je ne suis plus en colère Tim, je suis juste triste et plutôt serein, aujourd’hui j’ai une idée claire de mon avenir, car il ne sera plus lié à l’informatique, ces expériences ont eu raison de ma passion, je vais maintenant pouvoir me consacrer à des choses plus importantes, mes enfants, mon jardin, mes amis, ma famille et l’écriture, j’aime écrire.

Salut à toi, Tim, bonne chance pour la suite.

Ce fut malgré tout une belle aventure.

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(")_(") Maître Maa

Je suis… prêt…

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Aux armes citoyens…

Selon l’article 35 de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1793, il est du devoir du peuple d’intervenir quand l’état ne fait plus le sien.

Article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 : Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Pour ma part, la justice pourrito-corrompue de la Réunion à pris le parti de me piétiner moi et mes droits alors que mes demandes sont parfaitement légitimes, tout en couvrant la partie adverse coupable de délits à répétition à mon encontre, la complaisant dans son sentiment d’impunité.

Je ne reconnais plus la légitimité du gouvernement français ni de ses institutions aux ordres d’un impérialisme que je ne reconnais pas non plus.

Les inégalités observées ne peuvent être le fruit de la société telle qu’elle devrait être, mais belle est bien volontaires et organisées, le but étant de favoriser l’émergence d’une guerre civile sur nos terres.

Ne soyons pas dupes, cette guerre ne servira pas nos intérêts, bien loin s’en faut.

Aujourd’hui je suis littéralement harcelé par les institutions qui continuent de me prendre ce que je n’ai pas (mais y arrivent quand même, on peut faire confiance aux banques pour ça) tout en faisant la sourde oreille quant à la recherche des véritables causes.

En jouant aux cons comme ils le font, les mafieux du système sont en train de construire leurs propres échafauds, avec un peu de chance on restera dans la métaphore, mais quand on regarde l’état dans lequel se trouve notre planète, je crains que le jour où ça va péter, ce ne soit malheureusement une justice de sang qui en ressort…

Pour Leonarda le pantin de l’Élysée n’a pas hésité en lui accordant plusieurs dizaines de milliers d’euros pour qu’elle puisse se payer (à elle, ses frères, ses sœurs, ses parents, ses oncles et ses tantes…) un avocat digne de ce nom, pour un citoyen français (plusieurs générations quand même, merde !), l’état français aura l’immense mansuétude de lui offrir une petite centaine d’euros…

Et ce n’est qu’un exemple parmi bien d’autres.

Sachant que mon histoire n’est au départ qu’une bête divorce et considérant que l’expérience acquise par l’institution judiciaire sur ce sujet est suffisante pour un traitement rapide, les erreurs (nombreuses) que l’on retrouve dans la gestion de mon dossier laissent à penser que tout ceci n’est que le fruit d’un système totalement corrompu et sclérosé.

Il faut bien comprendre que la corruption dont je parle n’est pas visible sous la forme d’une intervention ponctuelle motivée par la partie adverse, non, nous vivons aujourd’hui dans un système qui est tellement établi que les dysfonctionnements se produisent par réflexe, presque naturellement.

Il suffit d’être bénéficiaire de l’aide juridictionnel pour voir votre dossier complètement détruit par votre avocat à la faveur de l’autre partie, aucun ordre n’a pourtant été donné, non, c’est juste que par habitude, les avocats réunionnais se foutent royalement de la gueule des justiciables, comme ça, parce que tous les autres avocats le font et que c’est dans les pratiques courantes.

Ajoutons à cela, le même genre de gestion concernant les pères au foyer, qui n’en déplaise à l’abrutie de la théorie du genre n’existent tout simplement pas, et votre dossier ne sera même pas étudié par le juge, le père doit être condamné en cas de divorce, surtout s’il est pauvre, point !

La troisième couche à une couleur plus locale, si votre agresseur est un homme bien établi, chef d’entreprise (un monopole bien sûr), il peut vous massacrer, il ne risquera au pire qu’un petit rappel à la loi. Exit le scénario absolument abject du guet-apens, le kidnapping des enfants le midi pour forcer la victime à se rendre chez l’agresseur (qui profitera d’être chez lui pour s’offrir la tête d’un handicapé, au passage), les provocations, et surtout la destruction d’un bien matériel.

Pour le chômeur c’est une agression à 2 000 €, pour l’agresseur, c’est une coupe de champagne avec le procureur.

À la Réunion, tout ceci est tellement ancré dans les meurs, que les magistrats ne se rendent même plus compte du mal qu’ils font.

Dans mon affaire, je subis trois différentes formes de corruption qui sont appliquées sans réflexion.

Malheureusement pour eux, je suis un putain d’enculé de fils de pute et je n’ai pas l’intention de me laisser faire.

La merde dans laquelle ils m’ont mis ne pourra que croître, et quand ils seront obligés de passer par la case justice pour demander leurs dédommagements, je saurais alors leur rappeler toute l’histoire, je leur montrerais alors les documents prouvant ma bonne foi et s’ils décident de me condamner quand même (ce qu’ils feront, car ils n’auront jamais le courage de reconnaître leurs fautes), alors je purgerai ma peine, mais en sortant, je quitterai ce pays de merde pour un autre (j’ai déjà fait ma demande d’asile politique, j’attends la réponde de Moscou).

Elle est belle ma bergerie… ou pas !

Nous sommes très nombreux à subir ces dysfonctionnements, mais la grande majorité préfère se la jouer en mouton bien obéissant, qu’à cela ne tienne, les autres, ceux qui luttent ont décidé d’un commun accord que les moutons avaient choisi leurs morts, c’est donc devenu leur problème.

Quand les guillotines sortiront, il n’y aura pas que des pourritures qui seront raccourcies, je crains que beaucoup de moutons n’y passent aussi, pour l’exemple.

C’est nous les citoyens qui faisons les sociétés dans lesquelles nous voulons vivre, les moutons sont des traîtres et des lâches qui seront traités comme des complices du système et ils seront jugés en complices.

Tous les accusés de Nuremberg qui se sont dédouanés en disant qu’ils ne faisaient qu’obéir aux ordres ont été exécutés quand même, il serait bon je pense que les moutons ne l’oublient pas, la justice du peuple est très forte, et elle va faire très mal.

J’ai reçu un écho favorable de la part de la CEDH qui apparemment serait ravie de traiter mon affaire tellement elle adore se payer les petits enculés de mafieux locaux.

Le dossier à monter est particulièrement coton, mais j’espère réunir tous les éléments qui me permettront d’engager la procédure au niveau européen.

Que Mme L I……., M. B B……, M. D P….. et les juges qui se sont occupés de mon dossier profites encore de leurs positions privilégiées, seule ma mort les sauvera de leur perte, car j’irai au bout de mes convictions et les sanctions seront calculées par rapport aux préjudices qu’ils m’ont fait subir par leur incompétence et leur inaction.

Il y’a de la radiation et de la place au barreau de St Pierre dans l’air.

Désormais, mon dossier est entre les mains d’un professionnel de la loi non réunionnais et incorruptible.

Citoyens, l’heure est grave et sans réaction de la part des moutons, on court à la guerre, vous êtes tous prévenus.

Bien entendu, c’est mon discours qui sera montré du doigt comme celui d’un agitateur qui cherche à déstabiliser le système.

La vérité est que nous sommes très nombreux à avoir le même sentiment et les autorités l’ont très bien compris, les attentats sous faux drapeaux et le chantage à l’antisémitisme devraient éveiller les esprits les plus critiques et les préparer à la suite, le fait qu’un sioniste déclaré, accessoirement employé de la CIA équipe aujourd’hui sa police municipale avec des armes létales devrait vous donner une idée de la direction prise par la France.

Les moutons préfèrent payer pour faire semblant d’être Charlie, ils payeront pour avoir été des Philippe Pétain et seront alors jugés et traités comme lui.

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Soyons fier de notre système judiciaire… ou pas !

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Bonjour journal, salut lecteur,

Je suis, au dire de Mme Taubira, un justiciable fier du système judiciaire qui le défend et qui, toujours selon elle, est ici à la Réunion plus que compétent, la preuve étant le si petit nombre de dossiers en souffrance…

Je ne saurais trop lui conseiller de consulter un spécialiste, à sa discrétion un ophtalmo ou un psy, mais un tel aveu d’aveuglement est quand même quelque peu inquiétant pour quelqu’un qui exerce un mandat public requérant de telles responsabilités.

Fier ?

Euh…

Un énorme mensonge du genre : « oui, il est possible qu’il puisse y avoir éventuellement de petits dysfonctionnements locaux et ponctuels dans de très rares cas où l’instance judiciaire est mise à défaut sur l’ensemble de ses constats autant sur la cause à pourvoir, mais aussi sur le sentiment aspiré de sa compétence absolue, sans oublier la nécessité de favoriser l’ajout intrinsèque d’un contrat générique… en partie… », serait très certainement mieux passé que cette énorme faute de goût consistant à juste éluder le sujet.

Comment pourrais-je être fier de ce système judiciaire qui se moque royalement de moi depuis bientôt deux ans ?

Les avocats réunionnais, très et trop chèrement payés aux goûts de bien des « défendus » locaux, sont, semble-t-il, tous atteints de la même maladie, proche d’alzheimer, mais pas assez pour être interdit d’exercer, et ont tous un problème d’emploi du temps, qui dès qu’il s’agit de bien vouloir répondre aux clients en provenance de l’aide juridictionnel, n’arrivent pas à lui trouver un créneau.

Créneaux qui quand il s’agit d’envoyer une relance pour impayé ou restant du, deviennent comme par magie disponibles en nombre.

Ah que je suis fier…

Ah ses petits oublis involontaires que l’on nous demande d’applaudir fièrement, les conclusions déposées trop tard, les éléments manquants, quand le dossier n’est pas tout simplement vide.

Mais Mme (dernière fois que je vous accorde une majuscule, faut pas abuser non plus, j’ai mes limites et ma fierté, bordel…), l’handicapé que je suis (ou j’étais plutôt au moment des faits) est super fier de savoir qu’il vit dans un pays où se faire gentiment casser la figure, pardon, je vais reprendre dans votre langue mme.

Mais mme, l’handicapé que je suis est super fier de savoir qu’il vit dans un pays où, une agression sur personne vulnérable est interprétée par les instances comme « avoir l’outrecuidance de profiter de son handicap pour mettre volontairement sa personne dans la trajectoire des poings de son adversaire dans le but d’obtenir une réparation financière dans une procédure ultérieure, le tout de manière préméditée »…
Je présume que je dois prendre le classement de mon affaire comme un geste magnanime du système à mon encontre qui à préféré ça à une procédure contre moi ?

Mais mme, c’est même avec une petite larme que je passe mes soirées au pied de « ma bougie chauffe plat » à comptabiliser le nombre absolument incroyable d’incohérences qui parsème mon dossier, tout en aiguisant tranquillement mon couperet pour me passer le temps et parce que j’aime cette douce et mélancolique mélodie de la pierre glissant paresseusement sur le fil…

Mais mme, c’est même avec une fierté non contenue que j’applaudis les décisions abjectes de nos chers (très chers, trop chers) procureurs, et c’est dans l’abandon le plus total que je m’incline lorsque vous mutez un vendu du système parce que le bougre, excusez l’insulte, le bougre disais-je à eu l’audace de pointer les dysfonctionnements du système et que cela servait les intérêts des justiciables réunionnais… que le diable m’emporte, mais nous vous devons la vie sur ce coup la mme…

Et nous vous la rendrons, sur le cou… aussi.
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Réunionnais cherche système judiciaire pour son Île…

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Mais où est donc passée la justice de la réunion ?

Imaginez un ami, un vrai, un de ceux que l’on compte sur les doigts d’une seule main.

Imaginez que cet ami ait un fils et que ce fils soit avocat ici à la réunion.

Alors, imaginez maintenant ce que l’on peut ressentir quand on vient de passer un an à faire confiance au fils de son ami et que l’on découvre qu’il s’est moqué de tout le monde (son père y compris) et qu’en fait il est aussi pourri que tous les autres avocats du coin ?

Je n’en veux pas à mon ami qui le restera, mais ce que son fils m’a fait restera gravé longtemps dans ma mémoire, profiter ainsi de la détresse de quelqu’un pour l’entuber en profitant de cette confiance aveugle accordée à son père.

Il a profité de mes rapports avec son père pour me vendre sa camelote et moi, j’y suis allé en totale confiance.

À la réunion donc, il n’y à pas d’avocat, aucun, ce sont tous des pourritures et aucun ne sort du lot.

Il n’y a plus de solutions ici, le syndicat des avocats doit être dissous, et la profession nettoyée en profondeur, il n’est pas normal qu’une profession aussi importante soit si peu contrôlée, aucunement surveillée, pas du tout cadrée et donc totalement impunie.

Papalacaz… suite ?

nuke

On avance…

Ou pas !

650 € minimum pour simplement commencer à travailler sur mon appel, c’est le tarif il paraît…

Aujourd’hui, mes pertes et mes dettes se chiffrent avec 4 zéros…

Ne pas oublier les 2 500 euros d’honoraires, dont la part « pertes » est facile à chiffrer puisque c’est tout simplement du 100 % pour rien…

Mes revenus, même s’ils passent de chômeur à smicard, restent de toute manière inférieurs à toutes possibilités d’investissements supplémentaires… en gros, je vais déjà avoir beaucoup de mal à rembourser ce que je dois déjà, aggraver la dette serait inconscient de ma part.

Je porte plainte contre cette justice pour outrage à citoyen !

Le jugement de mon divorce est une perle d’oublis, et si dans une coure de justice il existe un délit d’outrage à magistrat, alors il devrait exister une transposition pour les citoyens, je m’en servirais alors contre cette justice qui par sa décision inique, démontre son mépris et insulte la véritable victime en éludant toutes les responsabilités de tous les vrais responsables, se contentant d’un jugement vide sans prendre le moindre risque vis-à-vis de l’un ou l’autre parti.

Des faits extrêmement graves se sont produits, à commencer par les oublis nombreux des avocats gérant mon dossier. Deux avocates, qui l’une après l’autre souffriront de cette même maladie qui semble toucher spécialement les avocats réunionnais.

Toutes les deux sont extrêmement difficiles à joindre, pour ne pas dire tout simplement impossible.

Toutes deux, semblent avoir des problèmes avec leurs messageries électroniques et il est là aussi, presque impossible de savoir si elles reçoivent bien les messages qu’on leur envoie.

Bien entendu, les messages contenant quelques mentions à leurs honoraires, ou une relance pour restant du, ont eux toujours su trouver ma boîte de réception, bizarrement.

Il suffit de comparer ma boîte de messages envoyés et ma boîte de réception pour voir que d’un côté on frise la centaine et de l’autre en deux ans, pas encore la dizaine, dont 7 pour des tarifs ou des relances d’honoraires.

Toutes deux semblent avoir mal interprété les pièces et les informations que je leur ai fournies, par exemple mon sacrifice (volontaire et assumé) de 10 ans comme père au foyer, et la décennie de vie commune avant mariage, qui éludés tous les deux, donnent à mon dossier une toute autre saveur où il n’est pas difficile de me reprocher d’avoir voulu profiter de la manne de ma prof de femme… et donc de ne rien m’accorder… du tout… ouche !

Sur ces deux points, je mets au défi les deux avocates concernées de bien vouloir m’expliquer pourquoi ces détails n’ont pas été portés au dossier.

Toutes deux ne feront l’impasse sur le contexte, et ignorerons royalement, toutes, je dis bien toutes, les infractions commises par la partie adverse qui sont pourtant très facile à prouver pour certaines d’entres elles et ce alors que je les en informerais en quasi temps réel.

Ainsi, ma femme se permettra de continuer à vivre chez moi comme si elle y était toujours, prétextant que cette maison étant à nous deux, elle pouvait continuer à en jouir à sa guise, rien que ça.

Un matin, je la surprendrais en train de vider un tiroir de documents administratifs, elle est entrée sans frapper, est allé directement au bureau comme si elle était chez elle, youpi tralala… Je lui ferai remarquer qu’elle au moins à une vie privée chez son copain, et que moi, il serait normal que je puisse en avoir une. Que nenni, c’est chez elle et je n’ai rein à dire, fin de la discussion, point !

Pendant plusieurs mois, je vivrais avec la crainte de voir ma maison visitée pendant que je suis au boulot, et bien entendu, cela ne manquera pas et se produira plusieurs fois, dont une particulièrement dégueulasse de la part d’une mère aimante, où profitant de la présence des enfants, et malgré qu’ils lui diront à ce moment-là qu’elle n’à pas le droit de rentrer, elle les forcera à la laisser entrer quand même.

Alors que je suis handicapé (fortement diminué dirons nous) et me déplace très difficilement sur un fauteuil de bureau à roulette, je vais devoir assurer mon rôle de père au foyer, essayant autant que faire se peut, de vider les étagères du haut avec un balai pour tous re-ranger plus bas, à ma nouvelle hauteur « de papa à roulette », pendant que maman s’éclate avec son mec dans ses putains de soirées dansantes…

Toutes deux oublieront pourtant de signaler ce contexte particulier.

Quelques jours plus tard, ma femme vide les comptes, alors qu’elle sait parfaitement que je suis sans revenus et que je suis bloqué à la maison avec mon handicap.

Toutes deux… si si, et ce malgré une correspondance absolument surréaliste de ma femme, qui justifiera l’utilisation de la même somme (rondelette) de 4 manières totalement différentes (et sans le moindre justificatif), copies des messages transmis aux intéressées en temps réel.

Trois semaines après son départ, ma femme organise un véritable guet-apens qui commencera par le kidnapping des enfants vers midi, et se terminera le soir par une agression violente de l’amant sur ma personne (je suis encore hand, euh, fortement diminué…).

L’une ignorera totalement la chose, l’autre la soulèvera légèrement dans une de ses conclusions.

Il faudra 14 mois au procureur, et une relance, pour qu’il daigne me répondre par un classement de ma plainte…

Il faudra 48 heures à l’appareil d’état dans toute sa splendeur et son ensemble, pour traiter l’affaire du chat de Marseille et incarcérer l’auteur du crime pour un an ferme…

Avant la fin du deuxième mois après son départ, je suis déjà obligé d’emprunter 4 000 euros pour combler les oublis et autres manquements de ma femme.

Ah non pardon, ma femme à payé son avocat avec le compte commun, enfin, comme c’est aussi celui qu’elle à vidé, juste après bien sûr, en gros c’est moi qui lui ai payé son avocat, alors bon, le 700, le juge s’est assis dessus, normal, un chômeur handicapé doit payer l’avocat de sa femme fonctionnaire qui de plus est à l’origine de l’affaire…

La liste continue sur presque deux ans, et malheureusement pour moi, elle va fortement influer sur ma « courbe dépressive », j’en perdrai mon travail, le moral, l’envie de manger, et bien d’autres envies aussi.
Pourtant, tous les éléments cités ci-dessus seront méthodiquement oubliés par les deux avocates, dingue non ?

Aujourd’hui, je pourrais faire appel du jugement, mais je devrai encore me payer un avocat.

Payer un avocat ? Encore ?

Mais pour quoi faire ?

Pour qu’il ne fasse rien et que je perde encore mon temps et mon argent ?

Le 25 décembre, merci le calendrier, ne pouvant faire appel le jugement sera définitif et de ce jour-là, car ne pouvant racheter ma part de ce qui devrait pourtant me revenir, et ayant perdu tout espoir de voir un quelconque retour des sommes que j’ai engagées et donc que j’ai définitivement perdues, il sera aisé à mon ex de me faire virer tranquillement et de prendre possession de tout sans que je ne puisse prétendre à rien.

Avec l’aide de mes avocates, elle a réussi à me mettre dans une situation où je ne peux plus rien faire, pas même me défendre.

Il va y avoir la séparation des biens, et après, ben…

Heureusement que mes amis sont là pour me dire… de tourner la page et de penser à mes enfants…

Il ne me restera bientôt plus que ça d’eux, des pensées, une fois à la rue, il ne sera pas très difficile pour mon ex de démontrer mon incapacité à m’occuper sainement d’eux et à faire modifier le jugement en conséquence, là j’aurais vraiment tout perdu.

C’est presque facile vu comme ça hein ?

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(")_(") Maître Maa

Je ne suis pas un sale zor et j’emmerde ceux qui le pensent !

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Lettre ouverte

Monsieur le Maire du Tampon, Mesdames et Messieurs les Maires des autres communes de l’Île, Réunionnaises, Réunionnais,

Je tiens à exprimer toutes mes excuses aux habitants du quartier du marché couvert, pour le bruit causé par mon altercation avec un employé communal ce matin 10 octobre 2014, j’ai bien dit le bruit, pour les propos, je clarifie ci-après.

La rue Machin [1] est très étroite à cet endroit près du garage de réparation automobile, et nous, habitants du quartier, avons l’habitude de slalomer pour nous frayer un chemin, surtout en journée la semaine, et franchement, même si des fois c’est limite, cela ne me dérange pas plus que ça, c’est la vie, et puis quelque part, cela fait partie des charmes du quartier, aussi…

Maintenant, si quelqu’un se met à faire des travaux sur la rue, il est tout de suite moins facile de circuler, surtout si la zone de travaux n’est pas déclarée par des panneaux, ou que lesdits panneaux sont placés directement sur la chaussée, rendant alors la circulation pratiquement impossible dans de bonnes conditions, c’est le moins que l’ion puisse dire.

Bon, je ne suis pas du genre à chipoter pour quelques centimètres, ni quelques minutes non plus, mais voyant sept personnes en train de travailler sur le chantier, dont quatre qui ne font rien, fument leurs cigarettes ou papotent ente elles, je me permets alors de les interpeller pour leur demander de déplacer le panneau de quelques centimètres, histoire de faire sauter le bouchon de la rue.

Je ne puis décrire la réponse d’un des personnages inutiles du chantier (comprendre, un de ceux qui papote), car celle-ci sera visuelle, disons que « fait pas ch… » est la première expression qui me vient à l’esprit pour traduire le geste.

Pas content, je réitère ma demande avec un peu plus de vigueur, et sa réponse déclenchera toute la procédure : « biiip sale zoreil… »

En 2014, sur notre Île, il y’a encore des comportements comme celui-ci, et tout cela commence à devenir inacceptable pour les victimes.

Marre de ce silence, de cette paix sociale, qui sous prétexte de ne pas froisser certaines catégories sociales, dénigre le blanc de métropole pour tous les crimes commis par des centaines de générations avant lui, et qui petit à petit à finit par entrer dans le langage commun, c’est vrai quoi, pourquoi s’offusquer quand quelqu’un vous traite de sale zor, ce n’est pas si grave finalement…

Sauf que c’est souvent, très souvent… trop souvent, et le fier Réunionnais que je suis en a un peu marre de se faire insulter par ses frères parce qu’il est français…

C’est quand même un comble non, oser demander à un inactif (accessoirement employé communal en service), de bien vouloir offrir quelques calories à un concitoyen et se voir insulter en retour est une situation tout à fait normale que le sale zor que je suis aussi devrait apparemment accepter et vivre sans réactions, sauf révérence et soumission, peut être… et encore.

Oui ma réaction de ce matin a été virulente, mais quelque part, ce n’était qu’une goûte d’eau, le vase était déjà à ras bord, et ce qui en est sorti n’était que le fruit de cet emmagasinage qui me pourrissait l’esprit depuis tant d’années, fatalement, ça à pété…

Oui j’ai pété un plomb, mais c’est toujours mieux que de les distribuer non ?

Quelque part, ce n’était que justice après toutes ses années à subir ce racisme patent, on ne peut reprocher à quelqu’un de décider d’arrêter de subir des agressions, et il serait temps de s’attaquer aux agresseurs, ou plus simplement, d’essayer de faire évoluer leurs idées.

Ils étaient sept, quatre regardant les trois qui bossaient…

Cette image qui pourrait prêter à sourire, sera pourtant confirmée quelques instants seulement après et par le plus grand des hasards, par une publication sur Internet d’une habitante d’un autre quartier du Tampon, qui photographie à l’appui, s’étonne de voir 10 employés communaux sur un chantier de quelques mètres carrés, coïncidence ?

Non, réalité, qui même prise au énième degré n’en est pas moins constable par les faits pratiquement tous les jours.

Nos impôts… avouez qu’on est un peu en droit de se poser des questions non ?

Et que dire alors lorsque l’on se voit ainsi insulté pour avoir osé demander à un travailleur de faire son travail ?

Ils étaient sept, quatre regardant les trois autres bosser, mais c’est moi le sale zor ?

Quant au concerné, je n’ai pas grand-chose à lui dire, si ce n’est que je suis vraiment désolé pour lui, au moins pour cette vie-là.

Ils étaient sept et six ont baissé les yeux pour regarder par terre, validant par leur lâcheté, le comportement raciste de leur collègue…

Il y’a un véritable danger dans la démocratisation de cette expression et la laisser ainsi gangréner le langage commun jusqu’à pratiquent devenir une réalité n’est pas vraiment la meilleure des voies à suivre et n’augure rien de bon pour l’avenir.

Il ne faut pas laisser certaines expressions accéder au langage commun, ou alors, bien les cadrer, sale zor n’est pas une expression sans conséquence, elle traduit une pensée qui ne souffre d’aucune ambigüité, une pensée obscure, car raciste.

Je ne suis pas un sale zor, je suis Réunionnais, je suis fier de l’être et je dis non à cette expression, elle doit disparaître des habitudes locales pour intégrer la réalité de sa fonction, c’est une insulte raciste, et son usage doit être réprimé, ou tout le moins cadré.

Un Réunionnais,

Notes
[1] : Le nom de cette rue n’a pas d’importance finalement, le but de cet article n’étant pas de faire sanctionner qui que se soit, les concernés se reconnaîtront… ou pas.

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(")_(") Maître Maa

 

Heures sombres, le retour…

Face à faceLa délation en France aujourd’hui ?

En des temps reculés, mais non point si éloignés que ça quand même, notre pays fut le théâtre de guerres meurtrières, qui comme chacun sait, on fait de trop nombreuses victimes parmi les citoyens de notre nation.

Sous l’occupation, certains citoyens français, si l’on peut les appeler des citoyens tant leurs actions furent particulièrement détestables, s’adonnèrent à une pratique nauséeuse qui consistait à vendre (gratuitement en plus) certaines informations concernant d’autres citoyens, sous le fallacieux prétexte qu’ils représentaient des ennemis de l’occupant.

Ma grand-mère, qui adorait les adages, me disait pourtant que l’ennemi de mon ennemi est mon ami, mais pour ces sous-citoyens, l’occupant étant devenu leur ami, ils en fut tout autre, et ce fut avec un certain plaisir qu’ils n’hésitèrent point à forniquer avec le diable pour, j’imagine, le petit plaisir personnel.

Leur jeu favori était de dénoncer le « Juif » ou le résistant, sachant pourtant parfaitement quels sorts leur seraient réservés, ils n’en donnèrent pas moins le cœur à l’ouvrage, y mettant toute leur énergie pour satisfaire, et leur ego et l’occupant qui n’en demandait pas tant, mais qui en appréciait quand même les résultats.

Je ne vais pas m’appesantir sur les ravages causés par ces praticiens de l’immonde, l’histoire et les Français ont suffisamment de retours aujourd’hui pour savoir que c’était juste des sous merdes et que cette partie est plus à reléguer aux oubliettes qu’autre chose.

Les Français aujourd’hui n’ont pas oublié ces collabos, ces balances ou bien encore ces raclures de dénonciateurs, et c’est souvent avec mépris qu’ils en parlent, le geste n’est jamais passé, ne passe toujours pas et ne passeras jamais.

Imaginons pourtant que je m’amuse aujourd’hui à publier sur mon site Internet, et ce régulièrement, des informations nominatives concernant certains de mes concitoyens, leurs patronymes, leurs adresses postales, et même pourquoi pas, le nom de leur employeur, les prénoms de leurs enfants ou bien encore carrément, les noms des écoles qu’ils fréquentent.

Bien entendu, pour justifier mon immonde travaille de collabo, je me reposerais sur des accusations absolument abjectes, non fondées et non prouvées, comme l’antisémitisme par exemple, qui est aujourd’hui l’excuse la plus facile à mettre en œuvre et qui ne demande aucune justification, si ce n’est qu’il suffit de dire que vous avez été contredit par quelqu’un qui n’était pas d’accord avec vous.

Il ne se passerait pas deux heures après la publication de mon premier message pour que je sois fort probablement victime d’un accident ou que je sois assigné en justice pour diffamation, ce qui, il faut bien en convenir est tout à fait normal.

Mais voilà, il y’a en ce moment même en France, une communauté dite organisée, reconnue dans d’autres pays comme les États-Unis comme étant une association terroriste, protégée par le ministère de l’Intérieur et logée par nos impôts, qui elle peut tout à fait se livrer à ce genre de pratiques calomnieuses sans que cela n’émeuve un seul instant nos instances dirigeantes. [1]

Pire, non seulement elle peut se livrer à son sport favori, qui consiste à livrer au public toutes les informations qu’elle souhaite sur n’importe qui, mais en plus elle le fait avec l’aval de notre gouvernement, sous prétexte que leur argument-choc, l’antisémitisme, est devenu à les croire l’argument preuve que la personne dénoncée est par avance coupable et qu’elle mérite le lynchage sans procès.

Aujourd’hui en France, on trouve donc sur un site dont je tairai le nom pour ne pas lui faire de pub, des publications invitant les lecteurs à aller « casser » du quenelleur en fournissant toutes les informations nécessaires, du patronyme à l’adresse postale. [2]

Il y’a quelques mois, les Français ont pu assister à un magistral spectacle organisé par le ministre de l’Intérieur, financé par son incompétence et nos deniers et bien entendu relayé par la presse, qui comme à son habitude, se mit aux ordres sans discuter, publiant les messages de propagande de notre illuminé de la place Beauvau, le doigt sur la couture du pantalon, qui pourtant semblait bien baissé sur le coup.

Ah qu’elle fut belle cette affaire de la quenelle, et qu’il est beau notre Dieudonné favori, bouffon adoré et adulé par son vrai public, qui comme lui était, et est toujours grand amateur de ce geste potache et émancipateur.

C’était sans compter sur la ci-avant citée communauté terroriste organisée, qui, peu ravie de constater le succès de cette émancipation gestuelle, ne put s’empêcher de ressortir se vielles sorcières afin de pouvoir partit à leur chasse avec toute l’armada qu’on leur connaît, à commencer par un gouvernement obéissant et le sempiternel vocable accusateur d’antisémite, suffisant à lui seul à faire condamner toute personne qui aurait l’outrecuidance de ne pas boire son fiel vomitif et meurtrier.

Les appels, les contres appels, les menaces et les vociférations de notre manolo national, rien n’y fera, l’émancipation avait pris son élan, la quenelle était devenue incontrôlable, elle avait quitté le giron de son géniteur pour être appropriée par le peuple qui trouvait en elle un moyen facile et pas cher de dire ce qu’il pensait à ce gouvernement qui avait encore et encore démontré son mépris envers ceux qui pourtant attendaient tant de lui.

C’est là que la communauté à sorti de son chapeau la définition qui allait faire se retourner dans leur tombe tous les Larousse et tous les Robert du monde : la quenelle est un salut nazi inversé, et par sa définition, mérite que tout soit fait pour que leurs auteurs soient irrémédiablement mis au ban de la société et ce quelques soient les moyens utilisés. Quand la communauté exige, tout est autorisé, le gouvernement se couche et les machines judiciaires, politiques, policières et même militaires se mettent en branle pour aller dénicher le quenelleur lycéen, et tant pis si ça lui fait rater son bac… [3]

Dénichons le simple travailleur, et tant pis si ça lui fait perdre son travail… le pompier, et tant pis pour se carrière, le flic, le militaire, le blanc, le noir, la mère de famille… et tant pis si cela détruit leurs vies, la quenelle est devenue le crime du siècle, leurs auteurs doivent être abattus à vue, et tant pis, là aussi, pour les dommages collatéraux, quand même, merde !

C’est dans ce combat nauséabond que le courageux contributeur du site Internet va œuvrer, non seulement en publiant des informations personnelles et privées sur des quenelleurs qui auraient été reconnus sur des photos publiées sur des réseaux sociaux, mais en plus, en accompagnant ses publications de messages incitant ses lecteurs à retrouver et lyncher les personnes dénoncées. [4]

Bien entendu, on reconnaît bien là le courage mondialement reconnu de ce membre vénéré de la communauté en question qui demande à d’autres de se charger du sale boulot, lui se contentant juste de dénoncer, tranquillement assis derrière son clavier et prêt à prendre l’avion pour son pays d’origine au cas où cela dégénérerait. Ce qui ne manquera pas de se produire, lorsqu’il remarquera que la chose est en train de prendre une tournure qui pourrait se retourner contre lui, qui de par son site est malheureusement connu, et sur ce point, il ne peu s’en prendre qu’à lui même, contrairement à toutes ses victimes, lui n’a pas été dénoncé, au contraire, il signe tous ses articles de son vrai nom. [5]

Ce n’est pas une fiction, c’est en ce moment même en France, et l’origine de cette vague de dénonciation est carrément signée et assumée par la communauté juive de France… glup’s, LICRA, CRIF, LDJ et le fameux site de collabos, tous affichent en grand leur appartenance à cette communauté qui fait le bonheur et l’adhésion de notre ministre de l’intérieur, en gros, cette même communauté qui fut pourtant la principale victime des dénonciations calomnieuses dont je parlais en début d’article et qui furent monnaie courante pendant la Deuxième Guerre mondiale.

Comment une communauté qui à tant souffert du comportement abject de quelques citoyens pendant la guerre, peut elle aujourd’hui user des mêmes méthodes pou lutter contre un ennemi inexistant et le faire lyncher ? [6]

Il est bon à ce moment de rappeler que les associations citées ci-avant, ne sont en rien représentatives de la communauté dont ils affichent pourtant fièrement le nom, je connais bien des pratiquants de ce culte qui ne se reconnaissent absolument pas dans ces groupuscules qui ne sont appréciés par personne, à commencer par les membres de la communauté dont ils se disent pourtant être les représentants.

Attention aux amalgames, la quenelle n’est pas un geste anti Juif, ni même antisémite, c’est juste un geste anti système, un geste d’émancipation qui froisse juste une toute petite partie d’une toute petite partie d’une frange de la population mondiale, une partie que s’affiche comme représentant les Juifs, mais qui en fait n’est que l’officine du mouvement sioniste et qui n’est en rien reconnue ou appréciée par les vrais Juifs de confession, qui eux prônent plutôt le respect et la tolérance.

Et puis, être antisémite cela veut dire quelque chose de précis et cela s’applique à une région très précise de la planète, alors que les initiateurs et les agitateurs de ces histoires sont eux localisés à une région beaucoup plus petite dans laquelle on ne retrouve que quelques rares représentants de la zone qui les hébergent. [7]

Suis-je anti Européen parce que j’ai eu maille à partir avec mon voisin qui est un habitant de l’Europe, ou suis-je juste un anti voisin ?

L’amalgame est facile et il est très important pour toute personne possédant un esprit critique actif de bien se poser les bonnes questions, les problèmes actuels ne viennent pas des Juifs (jamais ils n’auraient la très mauvaise idée d’utiliser la délation pour servir leurs intérêts sachant toute la douleur que cela représente pour eux, contrairement aux sionistes qui utilisent absolument toutes les ficelles possibles et inimaginables sans se soucier des incohérences ni des dégâts causés, bien au contraire, plus il y’a aura de dégâts et mieux ce sera pour eux), mais des sionistes qui sont reconnus même en Israël pour être des terroristes, ils ne bénéficient de la caution de personne, ils ont juste du pouvoir et de l’argent. Les sionistes sont un mal partout où ils posent les pieds, ne savent faire que la guerre, ne respectent personne, et ne tolèrent absolument rien qui ne soit pas de leur fait. Ce sont les plus gros parasites de notre planète, et contrairement à ce qu’ils essayent de faire croire à tous le monde, ils ne sont qu’un tout petit nombre et n’ont le soutient de personne, tout ce qui les composent n’est qu’une vitrine avec derrière un vide sidéral, et le jour où les citoyens du monde s’en apercevront, je ne donne pas cher de leur survie.

Non les Juifs ne sont pas des collabos, par contre les sionistes… avouez que la question mérite d’être posée non ?

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(")_(") Maître Maa

Notes

[1] : La LDJ, ou Ligue de Défense Juive, ou Ligue des Danseuses Juives, est interdite d’exercice et a été démantelée en Israël et aux États-Unis, car reconnue comme étant une organisation terroriste.

[2] : Le nom de ce site s’écrit en trois lettres, la première est un J et les deux suivantes sont les deux lettres qui à l’époque de cette funeste et dernière grande guerre, désignait pourtant l’ennemi, le tout est suivi par le vocable fort mal placé de « news », je vous laisse découvrir le suffixe du domaine ça ne devrait pas être difficile.

[3] : Fantabuleuse contradiction des accusateurs immaculés de la bien pensense sioniste, si le signe est inversé, c’est qu’il veut dire l’inverse de ce qu’est censé représenter l’original, c’est donc un salut antinazi par définition. On remarquera d’ailleurs un succulent rétropédalage de l’accusateur principal, lui même à l’origine de la cabale anti Dieudonné, qui expliquera plus tard que ce geste n’est antisémite que s’il est pratiqué devant un bâtiment religieux ou un mémorial de la Shoah. La encore on pourrait lui rétorquer qu’une synagogue n’est pas sémite, ni même la Shoah, mais comme il n’en est pas à une contradiction près, on va le laisser s’enliser tranquillement dans ses croyances…

[4] : Là aussi, le travail de destruction sera fait en totale adéquation avec les idées de son auteur, sans vérifications, sans chercher à comprendre quoi que se soit et en se foutant cordialement des dommages collatéraux ou des éventuelles erreurs d’appréciations. Il s’en suivra la dénonciation complètement ridicule et fausse d’un journaliste qui fut un jour surpris de découvrir un article le nommant lui est son employeur (qui n’était autre que lui même, bonjour le sérieux du travail effectué) comme étant un antisémite quenelleur méritant d’être lynché sur la place publique. Bon joueur, celui-ci ne fera que relever le manque de sérieux de la méthode, mais ne portera pas plainte pour dénonciation calomnieuse.

[5] : Une des marques de fabrique de la milice qui agit au nom des délateurs est d’agir à visage couvert, si possible en surnombre et de fuir très vite quand les forces en présence se défendent avec un peu trop de vigueur à leur goût.

[6] : Il faut bien comprendre que pour les sionistes, le simple fait d’être en désaccord avec leurs idées fait de vous un antisémite et le soutien pathétique que leur accordent bon nombre de gouvernement et d’institutions leurs donnent le pouvoir de déclarer qui ils veulent comme étant un ennemi à abattre par tous les moyens, même si le crime ou le délit n’existe que dans leurs petits esprits étriqués.

[7] : La zone géographique occupée par les Sémites est plutôt vaste, sur la carte liée, la zone occupée par les sionistes ne représente que quelques pixels… qu’on se le dise, il existe donc une vraie différence entre être antisémite et antisioniste.

Les banques se gavent…

wp-media-40Et elles nous gavent !

Les banques se foutent vraiment de nous et le font sans le moindre scrupule, il faut dire qu’avec les protections offertes par nos gouvernements, elles auraient bien tort de ne pas en profiter.

Ce sont les championnes des frais en tout genre, quand il n’y en a pas, elles en inventent et si malgré tout vous arrivez à éviter le pire, elles trouveront toujours un moyen de vous en faire payer quand même.

Chronologie des faits :

Virement depuis le compte A le 6 janvier pour provisionner le compte B en prévision d’un prélèvement automatique mensuel ayant lieu généralement le 7 du mois.

La banque A le validera le 7…

Bien entendu il sera crédité par la banque B seulement le 8 et bien entendu aussi, le prélèvement sera refusé.

Le 10, la banque B facture deux fois des frais de commission d’intervention de 8 €…

Amusant n’est-il pas ?

Regardons les relevés (copies d’écran des comptes bancaires en ligne) :

La banque A fait bien état d’un virement effectué le 7 est la date de validité est bien le 7… aussi…
releve-banquea

La banque B quant à elle, nous fait une pirouette à la Jean-Richard de la grande époque, c’est carrément épique, il faut bien regarder le tableau…
releve-banqueb
Remarquez la logique dans l’ordre affiché, on commence de haut en bas par le 11, puis le 10, puis… le 7 pour terminer au 8…, bien sûr et comme par hasard, c’est la bonne ligne qui est mal datée, grrr !

Vu de mon logiciel de compta cela donne :
releve-logiciel-compta
Sur cette capture on voit que le découvert est bien provoqué par les deux prélèvements concernant les fameuses commissions d’intervention, sans elles, je passe, grâce à elles, je suis quitte de payer 16 €… pour rien !

Bon, c’est une interprétation comme une autre, et je suis bien conscient que les banques ont de très bons arguments pour expliquer ces petites subtilités, je n’en crois pas un mot bien entendu, tout le monde sait que les banques font ce qu’elles veulent…

Je pose alors cette petite question à ma banque A pour qu’elle m’explique pourquoi tous mes paiements par carte bancaire sont datés de la veille (colonne valeur), tickets de caisses à l’appui ?

Ce petit exemple ne souffre d’aucune ambiguïté quant à son aspect « je me fous de votre gueule en toute impunité et je vous emmerde ».

Quand ça les arrange, elles calculent la veille, sinon, quand ça les arrange, elles calculent au lendemain…

Franchement mes très chères banques, vous croyez vraiment pouvoir échapper à la guillotine là ?

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SEPA qui c’est, mais merci quand même !

wp-media-34Tous à vos RIB, pour votre bien…

Cette année, les banques ont trouvé un moyen de plus pour nous embrouiller la tête sous couvert de nous protéger et de nous permettre plus de facilité dans nos démarches.

SEPA est un acronyme pour : Single Euro Payments Area, ou en Voltaire bien d’chez nous, Région Unifiée pour les Paiements en Euros…

Vous avez tous pu le constater sur vos relevés de comptes, la plupart des organismes qui vous prélèvent l’utilisent déjà, et ce pour votre plus grande confusion.

Avant quand la régie des eaux me prélevait, je le savais en lisant la ligne sur mon relevé, car son nom apparaissait.

Aujourd’hui grâce à SEPA, l’intitulé est devenu totalement impersonnel et ne veut plus rien dire, impossible de savoir qui est l’émetteur du prélèvement.

Quant aux fameux délais, ils sont toujours aussi longs, voire même plus longs, enfin, quand vous êtes l’émetteur bien entendu…

Alors heureux ?

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(")_(") Maître Maa

Adieu Piton de l’Eau…

Je ne te reverrai plus !

En octobre 2008, je me suis offert une petite randonnée au Piton de l’Eau, une bonne heure de marche pour un point de vue absolument magnifique, tous ceux qui ont fait cette promenade ne me contrediront pas sur ce point.

En novembre 2012, j’ai eu un accident de la route dans lequel j’y ai laissé mes deux pieds et même si j’ai retrouvé la position verticale, je reste fortement limité dans mes déplacements, qui ne peuvent se faire qu’avec l’aide d’une canne et sur de petites distances.

Aujourd’hui, au détour d’un article concernant les pratiques presque mafieuses de l’ONF qui cherche à privatiser notre belle montagne, j’apprends que la route qui menait au parking a été fermée et que désormais, pour faire cette petite randonnée, il faut faire 18 km de marche !

Cette promenade, j’aurai pu la refaire malgré mon handicap, en prenant la journée il va de soi, certes j’en aurais souffert, mais je pense que j’aurais pu.

Mais voilà, 18 km pour moi, c’est devenu chose impossible et c’est donc avec bien de la peine que je me console en regardant les photos prises en 2008 qui ravivent en moi le souvenir de cette magnifique promenade.

Merci aux technocrates qui ont encore décidé ce qui était bon pour moi, je ne les oublierais pas quand il sera temps pour moi de penser à ce qui est bon pour eux, les élections arrivent, et j’ai de grands projets pour leurs amis qui les soutiennent… encore… un peu.

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