Un dernier Tango…

… pour la route ?

Lundi 19 heures, elle me dépose les enfants, comme tous les lundis…

Le petit est malade depuis mardi… en gros depuis que je l’ai déposé chez elle le lundi précédent.

Mais bon, la pauvre fonctionnaire surindexée, il faut la comprendre, elle n’avait pas le temps de s’en occuper de la semaine alors c’est à moi le chômiste sans mutuelle de m’en occuper.

Oui parce que bon, la pauvre fonctionnaire, elle ne partage pas sa carte de la MGEN, ses super privilèges de bourgeoise ne sont accessibles aux enfants que quand ils sont avec elle voyons, hors de question qu’ils se soignent quand ils sont chez leur père oh !

Sauf que quand ils sont malades chez elle, elle n’a pas le temps de les emmener et c’est moi qui dois le faire la semaine d’après.

Mais putain, elle te sert à quoi ta carte de bourgeoise privilégiée, à part te la péter en société, et tu oses encore parler du bien-être des enfants.

Bref, vendredi pas d’école, mais c’est moi qui la semaine suivante, dois fournir le certificat médical de justification d’absence, comme si la fonctionnaire de l’école du petit avait oublié de demander à la mère de fonctionnaire aussi, de lui fournir les justificatifs… bizarre…

Vendredi donc, le petit il est tout seul (personne à la maison, monsieur travaille… tiens, ce n’est pas l’inverse qui a été déclaré devant le juge…), une journée entière, deux adultes, plus femme de ménage et jardinier… personne pour l’emmener chez le docteur, pas grave on emmerdera papa mardi…

Samedi, ça empire, mais madame à sa soirée Tango de prévue hors de question d’annuler… le camping non plus d’ailleurs…

Enfant malade + soirée dansante (bruit, tout ça) + camping = Narmol !

Mais c’est moi qui suis accusé (officiellement) d’être un mauvais père…

Et ce n’est pas les vomis dans la tente qui changeront quoi que se soit.

Les services sociaux ont été prévenus à plusieurs reprises, mais ils s’en foutent, pour eux, c’est moi qui vois le mal partout.

Je le dis sans détour, cela va très mal se terminer, très très mal, je préviens aujourd’hui, la santé de mes enfants est plus importante que tout.

Que les lâches se préparent, aujourd’hui ils baissent leurs culottes devant le pouvoir, pas d’inquiétude, on les aidera à les remettre avant de les pendre, la dignité, nous on connaît encore.

Et quand je parle de lâches, je parle aussi de tous ces « tangeros » et « ras » qui voient mes enfants dormir sur des bancs dans leurs soirées dansantes, et pas un seul pour se poser la question de savoir ce que foutent deux gamins de cet âge dans ces lieux de loisirs pour adultes, pas un, tous complices.

Jusqu’à aujourd’hui, j’ai toujours essayé d’épargner ce club de loisir pour riches adultes en manque de paillettes et de Jet7, je ne voulais pas porter l’opprobre sur une communauté à cause des actes de son gourou et de sa poule de luxe, mais là, ce sont mes enfants, accessoirement ceux de la poule précitée, et ils en ont marre depuis le début.

Mais ils n’osent le dire, le gourou est quand même du genre à être capable de casser la gueule à un handicapé sous les yeux de ses enfants… si vous voyez ce que je veux dire…

Ah si la Réunion pouvait être un état de droit…

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(")_(") Maître Maa, en mode Papalacaz énervé

 

Vive les Bananes

Vive les Bananes !

Je passe à la vitesse supérieure et je lance officiellement le mouvement des Bananes de la Réunion.

Un site avec un Wiki et un forum est désormais disponible et tout citoyen qui le désire est cordialement invité à venir débattre et proposer.

Nouvelle constitution, nouvelles lois, et surtout, des actions réelles et concrètes.

Si toi aussi tu as envie de devenir une Bananes (pluriel volontaire), tout se passe sur le site les-bananes.re

Je suis… prêt…

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Aux armes citoyens…

Selon l’article 35 de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1793, il est du devoir du peuple d’intervenir quand l’état ne fait plus le sien.

Article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 : Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Pour ma part, la justice pourrito-corrompue de la Réunion à pris le parti de me piétiner moi et mes droits alors que mes demandes sont parfaitement légitimes, tout en couvrant la partie adverse coupable de délits à répétition à mon encontre, la complaisant dans son sentiment d’impunité.

Je ne reconnais plus la légitimité du gouvernement français ni de ses institutions aux ordres d’un impérialisme que je ne reconnais pas non plus.

Les inégalités observées ne peuvent être le fruit de la société telle qu’elle devrait être, mais belle est bien volontaires et organisées, le but étant de favoriser l’émergence d’une guerre civile sur nos terres.

Ne soyons pas dupes, cette guerre ne servira pas nos intérêts, bien loin s’en faut.

Aujourd’hui je suis littéralement harcelé par les institutions qui continuent de me prendre ce que je n’ai pas (mais y arrivent quand même, on peut faire confiance aux banques pour ça) tout en faisant la sourde oreille quant à la recherche des véritables causes.

En jouant aux cons comme ils le font, les mafieux du système sont en train de construire leurs propres échafauds, avec un peu de chance on restera dans la métaphore, mais quand on regarde l’état dans lequel se trouve notre planète, je crains que le jour où ça va péter, ce ne soit malheureusement une justice de sang qui en ressort…

Pour Leonarda le pantin de l’Élysée n’a pas hésité en lui accordant plusieurs dizaines de milliers d’euros pour qu’elle puisse se payer (à elle, ses frères, ses sœurs, ses parents, ses oncles et ses tantes…) un avocat digne de ce nom, pour un citoyen français (plusieurs générations quand même, merde !), l’état français aura l’immense mansuétude de lui offrir une petite centaine d’euros…

Et ce n’est qu’un exemple parmi bien d’autres.

Sachant que mon histoire n’est au départ qu’une bête divorce et considérant que l’expérience acquise par l’institution judiciaire sur ce sujet est suffisante pour un traitement rapide, les erreurs (nombreuses) que l’on retrouve dans la gestion de mon dossier laissent à penser que tout ceci n’est que le fruit d’un système totalement corrompu et sclérosé.

Il faut bien comprendre que la corruption dont je parle n’est pas visible sous la forme d’une intervention ponctuelle motivée par la partie adverse, non, nous vivons aujourd’hui dans un système qui est tellement établi que les dysfonctionnements se produisent par réflexe, presque naturellement.

Il suffit d’être bénéficiaire de l’aide juridictionnel pour voir votre dossier complètement détruit par votre avocat à la faveur de l’autre partie, aucun ordre n’a pourtant été donné, non, c’est juste que par habitude, les avocats réunionnais se foutent royalement de la gueule des justiciables, comme ça, parce que tous les autres avocats le font et que c’est dans les pratiques courantes.

Ajoutons à cela, le même genre de gestion concernant les pères au foyer, qui n’en déplaise à l’abrutie de la théorie du genre n’existent tout simplement pas, et votre dossier ne sera même pas étudié par le juge, le père doit être condamné en cas de divorce, surtout s’il est pauvre, point !

La troisième couche à une couleur plus locale, si votre agresseur est un homme bien établi, chef d’entreprise (un monopole bien sûr), il peut vous massacrer, il ne risquera au pire qu’un petit rappel à la loi. Exit le scénario absolument abject du guet-apens, le kidnapping des enfants le midi pour forcer la victime à se rendre chez l’agresseur (qui profitera d’être chez lui pour s’offrir la tête d’un handicapé, au passage), les provocations, et surtout la destruction d’un bien matériel.

Pour le chômeur c’est une agression à 2 000 €, pour l’agresseur, c’est une coupe de champagne avec le procureur.

À la Réunion, tout ceci est tellement ancré dans les meurs, que les magistrats ne se rendent même plus compte du mal qu’ils font.

Dans mon affaire, je subis trois différentes formes de corruption qui sont appliquées sans réflexion.

Malheureusement pour eux, je suis un putain d’enculé de fils de pute et je n’ai pas l’intention de me laisser faire.

La merde dans laquelle ils m’ont mis ne pourra que croître, et quand ils seront obligés de passer par la case justice pour demander leurs dédommagements, je saurais alors leur rappeler toute l’histoire, je leur montrerais alors les documents prouvant ma bonne foi et s’ils décident de me condamner quand même (ce qu’ils feront, car ils n’auront jamais le courage de reconnaître leurs fautes), alors je purgerai ma peine, mais en sortant, je quitterai ce pays de merde pour un autre (j’ai déjà fait ma demande d’asile politique, j’attends la réponde de Moscou).

Elle est belle ma bergerie… ou pas !

Nous sommes très nombreux à subir ces dysfonctionnements, mais la grande majorité préfère se la jouer en mouton bien obéissant, qu’à cela ne tienne, les autres, ceux qui luttent ont décidé d’un commun accord que les moutons avaient choisi leurs morts, c’est donc devenu leur problème.

Quand les guillotines sortiront, il n’y aura pas que des pourritures qui seront raccourcies, je crains que beaucoup de moutons n’y passent aussi, pour l’exemple.

C’est nous les citoyens qui faisons les sociétés dans lesquelles nous voulons vivre, les moutons sont des traîtres et des lâches qui seront traités comme des complices du système et ils seront jugés en complices.

Tous les accusés de Nuremberg qui se sont dédouanés en disant qu’ils ne faisaient qu’obéir aux ordres ont été exécutés quand même, il serait bon je pense que les moutons ne l’oublient pas, la justice du peuple est très forte, et elle va faire très mal.

J’ai reçu un écho favorable de la part de la CEDH qui apparemment serait ravie de traiter mon affaire tellement elle adore se payer les petits enculés de mafieux locaux.

Le dossier à monter est particulièrement coton, mais j’espère réunir tous les éléments qui me permettront d’engager la procédure au niveau européen.

Que Mme L I……., M. B B……, M. D P….. et les juges qui se sont occupés de mon dossier profites encore de leurs positions privilégiées, seule ma mort les sauvera de leur perte, car j’irai au bout de mes convictions et les sanctions seront calculées par rapport aux préjudices qu’ils m’ont fait subir par leur incompétence et leur inaction.

Il y’a de la radiation et de la place au barreau de St Pierre dans l’air.

Désormais, mon dossier est entre les mains d’un professionnel de la loi non réunionnais et incorruptible.

Citoyens, l’heure est grave et sans réaction de la part des moutons, on court à la guerre, vous êtes tous prévenus.

Bien entendu, c’est mon discours qui sera montré du doigt comme celui d’un agitateur qui cherche à déstabiliser le système.

La vérité est que nous sommes très nombreux à avoir le même sentiment et les autorités l’ont très bien compris, les attentats sous faux drapeaux et le chantage à l’antisémitisme devraient éveiller les esprits les plus critiques et les préparer à la suite, le fait qu’un sioniste déclaré, accessoirement employé de la CIA équipe aujourd’hui sa police municipale avec des armes létales devrait vous donner une idée de la direction prise par la France.

Les moutons préfèrent payer pour faire semblant d’être Charlie, ils payeront pour avoir été des Philippe Pétain et seront alors jugés et traités comme lui.

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(")_(") Maître Maa

Pourquoi je suis optimiste ?

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Révolution…

On me reproche souvent des prises de position un poil trop « irrévocables »…

Hm…

Bon déjà, j’écoute les reproches que l’on me fait, et je les entends bien, mais…

Comme dirait Étienne Chouard, on devrait vraiment se concentrer sur la vraie cause et arrêter de perdre notre temps sur les mauvaises, généralement initiées par ceux-là mêmes qui ont un intérêt à ce que l’argent du contribuable soit avalé par le futile pour bien noyer l’important, voire le vital et éviter que le commun des mortels ne s’aperçoive qu’il est dans la Matrix…

Comment expliquer un état de fait, institué depuis plusieurs siècles par nos élites, toujours représentées actuellement par les marionnettes des gouvernements, touchant pratiquement tous les rouages de la société à une échelle mondiale, une stratégie tranquillement installée à grands coups de corruption à tous les étages et dont aucun homme politique actuel (dans le monde) n’échappe, aucun.

J’en suis bien incapable, je n’ai pas (encore) l’érudition nécessaire, mais je tends à y parvenir un jour, en attendant je m’informe, et concernant le paragraphe précédent, je pense que quelques vidéos de Chouard répondront pour moi.

Moi je suis un autre type d’éveillé, je sais d’avance où le menteur veut m’emmener, et ne tombe donc pas dans son petit piège pathétique.

Mais je vois aussi, de par mes lectures diverses et variées, que cette prise de conscience semble se généraliser sur toute la planète, et qu’un peu partout, des actions pacifistes sont menées avec des résultats plus que probants…

Ces actions, même si elles sont localement « amusantes » ne sont pas moins autant de revenus qui échappent au capital… aie…

Si on recoupe l’idée générale telle que très bien racontée par Étienne [1], on comprend que tout s’inscrit dans un schéma mondial parfaitement bien huilé… huilé oui, enfin presque…

Techniquement parlant, le capital en est arrivé à un point où, emporté par une logique implacable et exponentielle, il se retrouve confronté à deux variables qu’il ne gère pas, le temps et la finalité physique de notre planète.

Pour le temps, on ne va pas rentrer dans les explications quantiques, absolues, relatives ou cordiennes, prenons le juste pour ce qu’il est, un flux qui s’écoule régulièrement dans un seul et unique sens.

La finalité de notre planète, c’est simplement le fait que, quelles que soient les ressources qu’elle possède en son sein, celles-ci sont de toute manière limitées au volume de la planète elle-même qui est fixe et représentent donc un ensemble fini.

Partant de ces deux postulats, essayez de me fabriquer une équation en ajoutant une variable coût des ressources dans le temps aux deux précédentes ci-dessus expliquées, faites évoluer le prix de vos ressources sur une base spéculative exponentielle, et laissez mijoter quelques siècles…

Quel que soit le modèle économique choisi, si celui-ci est spéculatif, l’équation explose à un moment donné, elle ne peut être stable.

Aujourd’hui, le système qu’il est bien pour nous mais qu’il est quand même extorqué par nos marionnettes gouvernementales est arrivé à une étape forte de son existence, sauf qu’il n’est pas mature…

Ce système de sponsoring politique qui consiste à aider financièrement un homme pour qu’il accède à un pouvoir qui lui sera ensuite tout acquis, ce système donc à une faille, Internet.

Jusqu’à aujourd’hui, le système était bien huilé, parce que les huileurs ignoraient ce qu’ils faisaient, le rôle précis de leur existence, ne se posaient pas de question, buvaient comme petit lait l’information qu’on leur transmettait.

Internet en permettant cette transmission par d’autres sources que la propagande officielle et recommandée [2], à surtout ouvert une boîte de pandore que les gouvernants, leurs marionnettistes plutôt, n’ont absolument pas pris en considération au moment de sa naissance, ne prenant pas la chose au sérieux, et ce fut leur plus grande erreur.

Depuis une bonne dizaine d’années, on à vu naître de nombreuses lois dans le monde pour protéger l’exception culturelle et les artistes en général, LEN, LCEN, DADVSI, Hadopi…, d’autres bien plus dangereuses ont été votées à l’échelle planétaire, toujours sous le couvert de protection de la culture et du commerce, et toutes l’ont été sans aucune concertation des concernés, à commencer par les peuples eux-mêmes.

Ces peuples, qui se retrouvent aujourd’hui coupables de crimes potentiels, car possédant simplement une connexion Internet… il y’a tellement d’infractions possibles que toute personne sur la planète possédant un abonnement Internet et s’en servant, peut à tout moment se retrouver à Guantnanmo…

Si vous ne voyez toujours pas…

Mais voilà, pour nous aider et nous démocratiser, nos très chers gouvernants [3], nous ont concocté une machine administrative ultra poussive, totalement déficiente, construite en dépit du bon sens, et surtout extrêmement lente, trèèèèèèèèèès lente…

Mais lente ne veux pas dire immobile, et à cause de quelques irréductibles qui s’accrochent à leurs procédures, les couperets finissent par tomber les uns après les autres, qui sont autant de faits accablants qui ouvrent les esprits à leur manière, et là aussi, c’est une évolution exponentielle…

Résultat, ils sont pris par le temps, et agissent donc à découvert, sûrs de leurs impunités, mais le temps joue en notre faveur, le leur se compte en jour, ils ont des ascenseurs à renvoyer dans des temps impartis par leurs sponsors, nous on à rien à perdre, encore moins notre temps.

Nous sommes de plus en plus nombreux à voir les signes de cette corruption globale et à voir que toutes ses petites actions locales ont finalement un impact énorme sur le système global, l’évolution ultra répressive des lois dans le monde ses dernières années est un signe que les marionnettistes ont les chocottes, ils cherchent à discréditer, ne proposent rien de concret alors que la demande est extrêmement forte partout, se complaisent dans leurs discours dégoulinants de cynocrisie, usant de leurs pouvoirs relatifs pour faire taire toute objection, car ils savent qu’ils ont perdu le contrôle :

L’information ne leur appartient plus, ils ne peuvent plus mentir.

Oui ce pouvoir est relatif, et toute personne qui cherche l’information partout ailleurs qu’à la source officielle le sait très bien.

Alors si ma position est encore irrévocable à vos yeux, c’est juste parce que vous n’êtes pas encore allé vous informer ailleurs, et il est temps que vous vous y mettiez, après vous verrez que ma position n’est pas si extrémiste…

Non, je suis optimiste, car pour chaque petit bâton jeté dans leurs roues, ce sont des milliards qu’ils perdent et pour certains, c’est de plus en plus près de la vraie banqueroute…

Nous au contraire, on gagne en qualité de vie, on n’aime pas leurs produits alors on fait autrement, et eux, ben ils commencent vraiment à pleurer, et c’est cool, faut pas lâcher, on tient le bon bout, et puis, on est bien trop nombreux et pas si pressés… finalement 😉

Eux par contre… ils peuvent disparaître aussi vite que les dinosaures.

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(")_(") Maître Maa

Notes

[1] :Voir la vidéo sur les 1 % qui se gavent comme jamais, expression que vous m’entendrez souvent employer d’ailleurs, vous savez maintenant pourquoi.

[2] : En plus des 5 fruits et légumes bien entendu.

[3] : Ne vous inquiétez pas, on à gardé les factures.

Soyons fier de notre système judiciaire… ou pas !

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Bonjour journal, salut lecteur,

Je suis, au dire de Mme Taubira, un justiciable fier du système judiciaire qui le défend et qui, toujours selon elle, est ici à la Réunion plus que compétent, la preuve étant le si petit nombre de dossiers en souffrance…

Je ne saurais trop lui conseiller de consulter un spécialiste, à sa discrétion un ophtalmo ou un psy, mais un tel aveu d’aveuglement est quand même quelque peu inquiétant pour quelqu’un qui exerce un mandat public requérant de telles responsabilités.

Fier ?

Euh…

Un énorme mensonge du genre : « oui, il est possible qu’il puisse y avoir éventuellement de petits dysfonctionnements locaux et ponctuels dans de très rares cas où l’instance judiciaire est mise à défaut sur l’ensemble de ses constats autant sur la cause à pourvoir, mais aussi sur le sentiment aspiré de sa compétence absolue, sans oublier la nécessité de favoriser l’ajout intrinsèque d’un contrat générique… en partie… », serait très certainement mieux passé que cette énorme faute de goût consistant à juste éluder le sujet.

Comment pourrais-je être fier de ce système judiciaire qui se moque royalement de moi depuis bientôt deux ans ?

Les avocats réunionnais, très et trop chèrement payés aux goûts de bien des « défendus » locaux, sont, semble-t-il, tous atteints de la même maladie, proche d’alzheimer, mais pas assez pour être interdit d’exercer, et ont tous un problème d’emploi du temps, qui dès qu’il s’agit de bien vouloir répondre aux clients en provenance de l’aide juridictionnel, n’arrivent pas à lui trouver un créneau.

Créneaux qui quand il s’agit d’envoyer une relance pour impayé ou restant du, deviennent comme par magie disponibles en nombre.

Ah que je suis fier…

Ah ses petits oublis involontaires que l’on nous demande d’applaudir fièrement, les conclusions déposées trop tard, les éléments manquants, quand le dossier n’est pas tout simplement vide.

Mais Mme (dernière fois que je vous accorde une majuscule, faut pas abuser non plus, j’ai mes limites et ma fierté, bordel…), l’handicapé que je suis (ou j’étais plutôt au moment des faits) est super fier de savoir qu’il vit dans un pays où se faire gentiment casser la figure, pardon, je vais reprendre dans votre langue mme.

Mais mme, l’handicapé que je suis est super fier de savoir qu’il vit dans un pays où, une agression sur personne vulnérable est interprétée par les instances comme « avoir l’outrecuidance de profiter de son handicap pour mettre volontairement sa personne dans la trajectoire des poings de son adversaire dans le but d’obtenir une réparation financière dans une procédure ultérieure, le tout de manière préméditée »…
Je présume que je dois prendre le classement de mon affaire comme un geste magnanime du système à mon encontre qui à préféré ça à une procédure contre moi ?

Mais mme, c’est même avec une petite larme que je passe mes soirées au pied de « ma bougie chauffe plat » à comptabiliser le nombre absolument incroyable d’incohérences qui parsème mon dossier, tout en aiguisant tranquillement mon couperet pour me passer le temps et parce que j’aime cette douce et mélancolique mélodie de la pierre glissant paresseusement sur le fil…

Mais mme, c’est même avec une fierté non contenue que j’applaudis les décisions abjectes de nos chers (très chers, trop chers) procureurs, et c’est dans l’abandon le plus total que je m’incline lorsque vous mutez un vendu du système parce que le bougre, excusez l’insulte, le bougre disais-je à eu l’audace de pointer les dysfonctionnements du système et que cela servait les intérêts des justiciables réunionnais… que le diable m’emporte, mais nous vous devons la vie sur ce coup la mme…

Et nous vous la rendrons, sur le cou… aussi.
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(")_(") Maître Maa

Papatribuables du monde entier…

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Alors papa, ton retour se passe bien ?

C’est que tu comprends, n’ayant pas voté pour toi, je constate avec amertume que les raisons qui m’ont fait fuir les isoloirs ce jour-là étaient bien réelles, mais aussi bien justifiées, l’actualité Tamponnaise me confortant jour après jour dans mes décisions de fuir ce système que tu aimes tant.

Tu sais papa, quand tu as annoncé ton intention de revenir, un de mes neurones chargés de la bonne marche des poils internes de ma narine gauche n’a pas supporté le choc et à immédiatement demandé sa mutation pour devenir amibe dans le grand côlon… d’après lui, quitte à être pris pour de la merde, autant que cela se fasse dans les normes et le bon environnement.

Pour ma part, je n’avais déjà pas trop envie de me prendre la tête avec toutes ces contingences matérielles et l’annonce de ton retour m’a convaincu que j’avais pris la bonne décision en organisant pour ce jour-là une balade avec mes enfants le plus loin possible des isoloirs.

Je savais que tu allais gagner ces élections au Tampon, c’était couru d’avance, la mémoire collective aidant et tu le sais, il te suffisait de la jouer bien démago là où il faut et toutes les pleureuses de l’île de se mettre à tes ordres.

Pathétique n’est il pas, mais tellement vrai, et nous le savons tous les deux.

Rien qu’une larme…

Si on m’avait dit qu’en allant voter pour toi ce jour-là, je m’assurais plus tard la prestation scénique, mais néanmoins désolante d’une vielle idole des jeunes que les moins de 75 ans ne peuvent pas connaître, c’est sûr que je n’y serais pas allé du tout, soyons honnête, si l’affaire Frédéric François et surtout son coût exorbitant avait été ne serait-ce que sous-entendue pendant ta campagne, tu en aurais été quitte pour te payer (à nos frais bien entendu) une retraite scandaleusement imméritée.

Mais bon, tu nous connais, pour ce genre de petits détails on est prêt à quelques sacrifices, que tu ne mérites pas un centime de tes pairs est une chose, mais face à l’urgence je vote pour ton repos, c’est mon côté fleur bleu, je sais… de rien, c’est un plaisir, quand même, merde !

Alors ce matin quand j’ai ouvert la lettre de la société Sudéau me demandant de lui fournir toute une page de renseignements personnels, RIB compris bien sûr, j’ai été un peu surpris tu comprends.

Là encore, je vais passer pour l’emmerdeur de service, mais quand je vois que l’un des détails les plus flagrants rencontré dans la grande majorité des arnaques, pardon, des affaires, non plus, des mascarades politico-industrio-financière, c’est justement la multiplication des intermédiaires, je suis alors en droit de me demander si Le Tampon ne serait pas en train d’essayer d’enfiler encore un peu plus ses administrés.

Qu’est-ce donc que cette nouvelle entreprise qui n’existait pas hier ?

Le syndrome du robinet !

Mon cher papa, que tu veuilles améliorer la qualité du réseau de distribution de l’eau au Tampon est appréciable, ne boudons pas le plaisir quand il se présente, mais sachons le consommer avec parcimonie, on ne sait jamais.

Oui donc, que tu t’actives enfin autour de ce petit problème de l’eau au Tampon est certes appréciable, mais tu oublies un peu vite, que même si cette fameuse mémoire collective tant à se dissoudre rapidement dans le temps, il est de ces choses que personne ne peut oublier, et en ce qui concerne ce petit problème d’eau, tu apparais un peu comme un expert dans l’embrouille, si ce n’est son initiateur, tu comprendra alors que sur ce sujet en particulier, la moindre de tes déclarations ou le moindre de tes actes, mérite (contrairement à tes émoluments) l’attention de ce peuple que tu es censé représenter.

Ah ce réseau que tu connais bien pour l’avoir méticuleusement ignoré dans la pratique pendant presque toute ta carrière politique, tout en l’utilisant dans la théorie pour tes campagnes.

Tu m’excusera auprès de ton copain de la société machin, mais je ne lui renverrai pas le document demandé, tu dois certainement avoir encore quelques amis à la Cise qui se feront un plaisir de tout te communiquer en parfaite illégalité et dans le parfait non-respect des lois, comme tu le fais si bien pour toutes ces petites tracasseries de la vie que tu gères pour toi, euh pour nous pardon, depuis que tu te tournes les pouces en politique.

Non je ne transmettrais pas un énième RIB, non je signerais pas un énième contrat et non je ne remplirai pas une énième fiche de renseignements personnels, parce que tu comprends, je fais parte de ceux qui ont les yeux ouverts et qui voient très bien que tout ceci n’est que fariboles pour occuper la scène.

Les robinets ont donc un modèle de fonctionnement qui semble parfaitement s’adapter aux exigences des politiciens, ils permettent aux fonds de couler à flots quand il s’agit d’aider ou de financer des projets ahurissants, hors de prix, inutiles ou ne servant finalement que quelques rares intérêts personnels et généralement proches de l’élu pilotant la vanne, et ont de grosses difficultés à assurer le débit minimum dès qu’il leur est demandé de faire leur travail pour la communauté… mais c’est toujours le même élu qui tourne… ou pas le clapet.

Je suis donc au regret, mon cher (très très très cher) papa, de t’annoncer que je ne cautionnerai pas cette nouvelle tentative de ta part de vouloir me prendre un peu plus de ce que je n’ai déjà plus, je te parle d’argent bien entendu.

Ne nous méprenons pas, tu ne me prendras jamais ni mon honneur ni ma fierté, d’abord parce que je ne te laisserais pas faire, mais surtout parce que je sais que ce n’est pas derrière ce genre de notions que tu cours, bien au contraire.

Et au passage, si tu croises les types d’EDF, dis-leur que j’attends toujours leur passage depuis Bejisa et que mon fil, qui tenait encore bien jusque là, va bientôt électrocuter tout le quartier, mais bon, cela ne fait que quelques années qu’ils sont au courant, ah ah, au courant… hm…

L’addition s’il vous plaît…

Ta petite famille est en train de se poser de sérieuses questions mon petit papa, tes enfants ont été extrêmement déçu par tes inactions et ton retour n’a pas été apprécié comme tu le voulais, tu le sais et comme moi tu sais aussi que tout ton système ne tient plus qu’à un fil, tu t’y accroches encore un peu, le temps de gratter au maximum ce que tu pourras.

Ce que tu ignores, ou plutôt, ce que tu voudrais nous faire croire que tu ignores, c’est que tout ce que tu es en train de gratter ne te servira à rien, et tu le sais, quand la roue tournera, tu deviendras transparent comme tout le monde, tu n’auras plus tes petits pouvoirs, tu seras un citoyen comme un autre, enfin non, pas toi en fait, tu ne deviendras jamais un citoyen comme un autre, tu as déjà été jugé et ta douloureuse t’attends là-haut.

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(")_(") Maître Maa

Je ne suis pas un sale zor et j’emmerde ceux qui le pensent !

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Lettre ouverte

Monsieur le Maire du Tampon, Mesdames et Messieurs les Maires des autres communes de l’Île, Réunionnaises, Réunionnais,

Je tiens à exprimer toutes mes excuses aux habitants du quartier du marché couvert, pour le bruit causé par mon altercation avec un employé communal ce matin 10 octobre 2014, j’ai bien dit le bruit, pour les propos, je clarifie ci-après.

La rue Machin [1] est très étroite à cet endroit près du garage de réparation automobile, et nous, habitants du quartier, avons l’habitude de slalomer pour nous frayer un chemin, surtout en journée la semaine, et franchement, même si des fois c’est limite, cela ne me dérange pas plus que ça, c’est la vie, et puis quelque part, cela fait partie des charmes du quartier, aussi…

Maintenant, si quelqu’un se met à faire des travaux sur la rue, il est tout de suite moins facile de circuler, surtout si la zone de travaux n’est pas déclarée par des panneaux, ou que lesdits panneaux sont placés directement sur la chaussée, rendant alors la circulation pratiquement impossible dans de bonnes conditions, c’est le moins que l’ion puisse dire.

Bon, je ne suis pas du genre à chipoter pour quelques centimètres, ni quelques minutes non plus, mais voyant sept personnes en train de travailler sur le chantier, dont quatre qui ne font rien, fument leurs cigarettes ou papotent ente elles, je me permets alors de les interpeller pour leur demander de déplacer le panneau de quelques centimètres, histoire de faire sauter le bouchon de la rue.

Je ne puis décrire la réponse d’un des personnages inutiles du chantier (comprendre, un de ceux qui papote), car celle-ci sera visuelle, disons que « fait pas ch… » est la première expression qui me vient à l’esprit pour traduire le geste.

Pas content, je réitère ma demande avec un peu plus de vigueur, et sa réponse déclenchera toute la procédure : « biiip sale zoreil… »

En 2014, sur notre Île, il y’a encore des comportements comme celui-ci, et tout cela commence à devenir inacceptable pour les victimes.

Marre de ce silence, de cette paix sociale, qui sous prétexte de ne pas froisser certaines catégories sociales, dénigre le blanc de métropole pour tous les crimes commis par des centaines de générations avant lui, et qui petit à petit à finit par entrer dans le langage commun, c’est vrai quoi, pourquoi s’offusquer quand quelqu’un vous traite de sale zor, ce n’est pas si grave finalement…

Sauf que c’est souvent, très souvent… trop souvent, et le fier Réunionnais que je suis en a un peu marre de se faire insulter par ses frères parce qu’il est français…

C’est quand même un comble non, oser demander à un inactif (accessoirement employé communal en service), de bien vouloir offrir quelques calories à un concitoyen et se voir insulter en retour est une situation tout à fait normale que le sale zor que je suis aussi devrait apparemment accepter et vivre sans réactions, sauf révérence et soumission, peut être… et encore.

Oui ma réaction de ce matin a été virulente, mais quelque part, ce n’était qu’une goûte d’eau, le vase était déjà à ras bord, et ce qui en est sorti n’était que le fruit de cet emmagasinage qui me pourrissait l’esprit depuis tant d’années, fatalement, ça à pété…

Oui j’ai pété un plomb, mais c’est toujours mieux que de les distribuer non ?

Quelque part, ce n’était que justice après toutes ses années à subir ce racisme patent, on ne peut reprocher à quelqu’un de décider d’arrêter de subir des agressions, et il serait temps de s’attaquer aux agresseurs, ou plus simplement, d’essayer de faire évoluer leurs idées.

Ils étaient sept, quatre regardant les trois qui bossaient…

Cette image qui pourrait prêter à sourire, sera pourtant confirmée quelques instants seulement après et par le plus grand des hasards, par une publication sur Internet d’une habitante d’un autre quartier du Tampon, qui photographie à l’appui, s’étonne de voir 10 employés communaux sur un chantier de quelques mètres carrés, coïncidence ?

Non, réalité, qui même prise au énième degré n’en est pas moins constable par les faits pratiquement tous les jours.

Nos impôts… avouez qu’on est un peu en droit de se poser des questions non ?

Et que dire alors lorsque l’on se voit ainsi insulté pour avoir osé demander à un travailleur de faire son travail ?

Ils étaient sept, quatre regardant les trois autres bosser, mais c’est moi le sale zor ?

Quant au concerné, je n’ai pas grand-chose à lui dire, si ce n’est que je suis vraiment désolé pour lui, au moins pour cette vie-là.

Ils étaient sept et six ont baissé les yeux pour regarder par terre, validant par leur lâcheté, le comportement raciste de leur collègue…

Il y’a un véritable danger dans la démocratisation de cette expression et la laisser ainsi gangréner le langage commun jusqu’à pratiquent devenir une réalité n’est pas vraiment la meilleure des voies à suivre et n’augure rien de bon pour l’avenir.

Il ne faut pas laisser certaines expressions accéder au langage commun, ou alors, bien les cadrer, sale zor n’est pas une expression sans conséquence, elle traduit une pensée qui ne souffre d’aucune ambigüité, une pensée obscure, car raciste.

Je ne suis pas un sale zor, je suis Réunionnais, je suis fier de l’être et je dis non à cette expression, elle doit disparaître des habitudes locales pour intégrer la réalité de sa fonction, c’est une insulte raciste, et son usage doit être réprimé, ou tout le moins cadré.

Un Réunionnais,

Notes
[1] : Le nom de cette rue n’a pas d’importance finalement, le but de cet article n’étant pas de faire sanctionner qui que se soit, les concernés se reconnaîtront… ou pas.

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(")_(") Maître Maa

 

Renoncer pour l’amour de ses enfants…

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Soit pauvre et tait toi… physiquement… ferme là quoi !

Personne en ce monde ne peut imaginer ce que l’on ressent lorsque l’on se noie au milieu d’un fleuve en furie.

Bien en sécurité sur la berge, l’Homme regarde et compatis, ne sachant trop que faire, réfléchissant sur les causes, les raisons, les responsables, il regarde l’autre sombrer…

Mais celui qui se noie lui, à une tout autre vision des choses, il n’est pas vraiment concentré sur les questions relatives aux détails de sa situation, et franchement, il s’en tape royalement le coquillard, il est juste en train de voir la mort à chaque seconde et la seule chose qui lui ferait plaisir en cet instant, c’est juste une main pour l’aider à sortir de cette merde, et promis, après il discutera des causes et autres responsabilités avec qui vous voulez.

Il suffit de quelques secondes pour se noyer, et 18 mois plus tard, j’entends encore la société qui de la barge, me confirme que j’ai droit à de l’aide et qu’elle arrive bientôt…

Sauf que bon, désolé de te décontenancer petite société, mais cela fait belle lurette que mon instinct de survie à réussi à me sortir de cette merde sans aide, j’ai réussi à rejoindre le bord sur lequel j’ai pu, avec bonheur, remettre le pied.

J’ai survécu au pire, je suis vivant et j’ai vraiment faim de vie.

Mes agresseurs se sont fait tirer l’oreille, leurs actes ont été classés, au final, j’en arrive même à me demander si j’ai bien passé un an au milieu du fleuve à essayer de survivre, à lire les conclusions, il ne s’est rien passé… ouche !

La machine, emportée par son élan, que dis-je, embourbée dans son inertie, continue de traiter mon affaire comme si de rien n’était alors que dans les faits, en ne réagissant pas aux nombreuses provocations de l’autre partie, elle ne fait que me conforter dans mon inexistence de justiciable invisible qui de fait à bien du mal aujourd’hui à croire même aux formules de politesse présentes en bas des courriers, à la fin, on en vient à douter de tout, que voulez-vous.

Les enfants dans tout ça ?

Partout je lis des témoignages de parents divorcés ou divorçant, et bien souvent, dans les cas les plus difficiles, il est un des deux parents qui prendra sur lui une bonne partie des concessions de manière à clore l’affaire au plus vite et ne pas déranger les enfants plus longtemps.

J’en suis arrivé à me demander si finalement, je ne devrais pas laisser tomber une liste de requêtes parfaitement légitimes et longue comme le bras, pour que cette affaire se termine et que les enfants sachent une fois pour toutes à quelle sauce leur avenir sera mangé.

Le plus difficile dans ce genre de décisions, c’est que l’argument numéro un est justement celui qui fait défaut à cause de la partie adverse, qui elle en est plus que pourvue et peut même s’en servir pour assurer la négociation à son avantage.

On parle bien entendu d’argent, c’est connu, un père au foyer handicapé chômeur qui se bat pour défendre son honneur et ses enfants, ne peut être qu’un beau fumier de profiteur qui ne cherche qu’à ruiner sa pauvre fonctionnaire de future ex-épouse qui elle n’a eu que le temps de faire évoluer sa carrière pendant que monsieur torchait les mouflets.

Vous pensez bien bien que tous les privilèges qu’elle à gagné grâce au sacrifice de son connard de mari lui sont définitivement acquis sans qu’il puisse prétendre à un quelconque morceau de quoi que se soit voyons.

Pour moi, c’est une ruine financière absolument impossible à remonter tant que les responsables ne seront pas invités à rembourser ce qui a été oublié et le temps passant, cette ruine ne peut que s’aggraver…

Tout laisser tomber, alors que je suis dans l’incapacité de prétendre à quoi que se soit pour assurer l’avenir de mes enfants, c’est avoir le courage de choisir la paix pour mes enfants, quitte à ce qu’ils me détestent le reste de leur vie pour ça…

Grâce à son inertie et son incapacité à agir dans cette affaire, la justice française me fait comprendre que je n’ai pas à discuter, que mon épouse a le droit de me ruiner, de m’endetter, de m’affamer et que les enfants n’ont pas voix au chapitre.

En gros, la justice française se moque totalement des justiciables lorsqu’elle ose dire que les pères ont autant de droits que les mères.

Si j’avais fait le dixième de ce qu’elle a fait, je serais déjà en taule depuis un bon moment.

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(")_(") Maître Maa

Dur dur d’être un Papalacaz !

wp-media-46Il faut avoir foi en la justice de son pays…

Pour la justice française, utiliser ses connaissances pratiques dans un art de combat pour casser la gueule au mari de sa copine, qui est accessoirement diminué comme suite à un accident de la route, qui est de corpulence et de force inférieure (même en faisant abstraction du handicap), qui n’a pas la moindre connaissance dans un art de combat quelconque (plutôt même au contraire non-violent de conviction), sous les yeux de ses enfants, tout en lui bousillant son matériel de travail (matériel personnel dont la valeur approche celle d’un mois de salaire), un simple rappel à la loi suffit

Le classement n’étant pas sans suite, j’ai encore la possibilité de poursuivre mon agresseur pour dédommagements (ça m’a coûté 2 000 balles quand même), mais je n’ai pas les moyens de payer (encore) un avocat, je reste donc un peu dubitatif, et cela se comprend au demeurant, quant à la valeur réelle de l’adage cité en sous-titre…

Un an et deux mois pour conclure qu’une agression de personne handicapée par personne en bonne santé n’est qu’un banal fait divers qui mérite tout juste son petit rappel à la loi, pas de quoi fouetter un chat me direz vous, et le chat vous répondra qu’en cas de violences sur animal, l’agresseur est immédiatement condamné à de la prison ferme, peine qu’il devra effectuer quelques heures seulement après avoir commis son crime odieux, l’appareil judiciaire et policier français étant alors immédiatement mis en branle, on parle quand même d’un félin.

Pour les humains, c’est pas tout à fait pareil, et 14 mois plus tard, mon agresseur continue de se pavaner avec ma femme dans les boîtes de nuits de la Réunion, n’a subi qu’un petit rappel à la loi, mais la SPA est contente.

Bon, maintenant qu’on s’est fait plaisir avec les bonnes nouvelles, abordons la suite, qui est un poil moins drôle… quoique, au point où j’en suis, seule l’ironie me permet de continuer à avoir encore un semblant d’optimisme dans cette société complètement déconnectée.

Concernant mon ancienne avocate, je sais maintenant, grâce aux aveux directs ou sous-entendus de deux avocats, qu’elle s’est littéralement moquée de moi et n’a absolument pas fait son travail. Scandaleux, dégueulasse, je n’ai pas les mots, elle n’a pas hésité à prendre le pognon d’un chômeur tout en lui faisant croire qu’elle travaillait pour ses intérêts alors qu’elle faisait tout le contraire.

Je suis outré de devoir constater par le fait accompli, qu’une telle profession soit aussi peu surveillée et à quel point ses acteurs sont autoprotégés.

Elle mériterait un procès, mais quel avocat ici bas aurait le courage de défendre un citoyen contre un de ses collègues ?

Résultat, mon divorce est pratiquement plié, et aucun de mes arguments initiaux, abandon du domicile et des enfants par la mère, adultères, l’agression de l’amant, le harcèlement moral et financier, toute ma stratégie en gros, n’est plus recevable.

Elle m’avait dit déposer un référé, jamais fait, oublié,

Intervention des enfants (ou, tout du moins une demande en ce sens), oubliée,

Divorce pour faute, oublié aussi, mais elle déposera quand même une demande de divorce simple à la place… cocasse,

Les nombreuses violations de l’Ordonnance de non-Conciliation dont s’est rendue coupable l’épouse, oubliées, non prise en compte, pas utilisées…

Le lien entre l’agression du mari handicapé par l’amant bien portant, quelques jours après le départ de madame du foyer familial, oublié… encore…

La seule chose qu’elle ait faite (dixit un avocat qui s’est penché sur mon dossier et que je ne citerai pas), c’est de se constituer défenseur dans mon affaire, elle n’a jamais transmis le moindre document à la cour, hormis la requête initiale, qui comme déjà dit, n’était pas la bonne (divorce simple alors qu’on s’était mis d’accord sur un divorce pour faute).

Il en ressort donc, que la seule action concrète dont l’avocate en question puisse s’accaparer la paternité est juste en total désaccord avec ce qu’elle avait mis en place avec son client, le reste n’est que suite logique.

Quand le juge me demande signer l’accord de principe, je le fais sans la moindre réflexion, je suis alors en pleine confiance de mon défenseur, jamais je ne me serais imaginé que ce jour-là, j’allais signer un document qui allait tout simplement mettre toute ma stratégie à la poubelle, le tout en parfaite connaissance de causes et de conséquences de mon avocate.

Je ne sais pas si vous saisissez bien le truc, vous allez voir un avocat, vous lui soumettez une affaire, vous élaborez une stratégie sur ses conseils, vous allez au tribunal, mettez en œuvre la stratégie en question avec la conviction de faire les choses bien puisqu’élaborées sur les conseils d’un professionnel, et vous découvrez bien plus tard et généralement trop tard, que vous avez fait exactement ce qu’il fallait pour faire gagner la partie adverse sans que celle-ci n’ait même à se défendre…

Et en plus, vous avez payé pour ça… ouaouh !

En gros, je suis en train de rédiger un petit texte chapitré résumant le tout. Il sera bientôt publié sur ce site au jour le jour, avec les patronymes complets des intéressés et les copies des documents attestant l’incompétence volontaire de cette avocate de Saint Pierre. Sans oublier ses amis, à commencer par certain président d’association de défense des pères, qui est devenu bien silencieux lorsque je lui ai fait part des errements de l’avocate qu’il m’avait pourtant lui-même conseillée !

Y’a-t-il un juge dans l’tribunal ?

J’ai aujourd’hui soif de réparations, mais surtout d’explications de la part de l’ordre des avocats que je vais contacter à cet effet, cette avocate à littéralement ruinée ma vie en me prenant le peu que j’avais pour le donner à la partie adverse qui venait justement de se servir et qui elle avait donc déjà tout.

Elle ment à un chômeur (le mari) pour lui prendre ce qu’il n’a pas et qui correspond au peu qu’il lui reste après que l’épouse se soit servie, et c’est le fonctionnaire (l’épouse) qui se retrouve avec le tout voire plus, car elle va très certainement obtenir une compensation, elle, prof, de moi, chômeur… bref…

10 ans de ma vie, sacrifiés pour m’occuper de mes deux enfants (et je ne le regrette pas), les nombreuses nuits blanches, les biberons, les couches… pour que madame puisse dormir.

Les balades en poussette et les week-ends tout seul avec les enfants au parc, avec ballons et vélos, pour que madame puisse travailler ses heures sup, génératrices, en plus du complément de salaire (fonctionnaire expatriée, quand même !), d’opportunités d’évolutions de carrières, qui ne manqueront pas d’arriver d’ailleurs.

Les soirées à m’occuper (avec plaisir cela dit) des enfants pour que madame puisse s’adonner à sa passion du tango (qui sera finalement l’élément destructeur de notre couple).

Le tout de Grenoble au Tampon, en passant par Nouméa et Lyon… je n’ai jamais été un frein, toujours là, à suivre et soulager madame.

Aujourd’hui, je suis handicapé, à 20 000 bornes de ma famille, je n’ai plus un rond, je me suis fait casser la gueule par l’amant, sous les yeux de mes enfants qui depuis vivent une semaine sur deux dans la même maison que le type qui a tapé papa en flippant tout le jour. Je ne vais rien obtenir de mon divorce puisque c’est finalement une sorte de divorce par consentement mutuel sans vraiment l’être, je vais très certainement devoir payer les frais de justice de madame (qu’elle a déjà payés en prenant sur le compte commun, mais bref) et ne verrais mes enfants qu’un week-end sur deux. Bien entendu, je serai viré de ma maison, avec mon salaire je trouverai un truc très cher, qui sera trop petit, et madame utilisera cet argument pour me refuser la garde.

Un avenir rose à point, n’est-il pas ?

La justice est un domaine très opaque et les avocats sont censés être là pour nous aider, nous seconder et nous conseiller. De notre côté, nous les citoyens censés ne pas ignorer la loi, nous nous trouvons dans l’obligation de leur accorder une confiance aveugle, car leur domaine nous est absolument inaccessible.

Belles théories…

Ah la la, vous n’imaginez pas la taille des bananiers Réunionnais, et quand bien même vous en seriez capables, multipliez le tout par encore plus et vous serez pas loin de la taille des petites pousses…

Pour la suite, j’hésite entre survivaliste et bonnet rouge, je vais encore réfléchir quelque temps.

Quoique… survivaliste à bonnet rouge, c’est pas mal non plus…

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Les banques se foutent vraiment de la gueule du monde…

wp-media-18Et cela ne semble pas les déranger plus que ça !

Il y’a quelque temps de cela, je commettais ici même un petit billet sur le même sujet, relatant par l’exemple comment ma banque se permettait de me voler mon argent en décalant subrepticement les opérations de crédits et de débits de manière à ce que les débits interviennent juste avant les crédits, provoquant ainsi des « incidents » qui bien entendu sont plus que fortement facturés par la banque.

Bien entendu, j’ai immédiatement pris contact avec mon conseiller pour lui demander de décaler mon prélèvement mensuel de manière à ce que j’aie le temps de faire les virements depuis mon autre compte, et bien entendu, il n’a rien fait et j’ai encore 16 € de « frais de vol » à payer ce mois-ci.

Encore une fois, le petit détail qui tue sur le relevé, c’est l’ordre d’affichage qui ne correspond pas aux dates, comme par hasard, et comme vous pouvez le voir sur l’image ci-après, c’est justement le mouvement de mon virement qui est « mal daté » et qui provoque les frais d’interventions.

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Ce même mouvement qui est pourtant bien passé le mois d’avant à la bonne date (ce prélèvement et l’assurance associée, sont les deux seules choses qui me font conserver ce compte, sinon, il y’a bien longtemps que je l’aurais vaporisé, avec le banquier qui va avec bien entendu).

Sur mon autre compte, la date correspond bien à l’ordre d’affichage, soit le 7 mars…

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Ma lame de guillotine est bientôt terminée, il ne me manque plus que le support.

J’en ai vraiment ras le bol de ses voleurs à cols blancs, et comme je sais que je ne suis pas le seul, j’en suis aujourd’hui à espérer que ça explose au plus vite, histoire de me faire plaisir sur certaines personnes…

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