Je ne suis pas un sale zor et j’emmerde ceux qui le pensent !

wp-media-13

Lettre ouverte

Monsieur le Maire du Tampon, Mesdames et Messieurs les Maires des autres communes de l’Île, Réunionnaises, Réunionnais,

Je tiens à exprimer toutes mes excuses aux habitants du quartier du marché couvert, pour le bruit causé par mon altercation avec un employé communal ce matin 10 octobre 2014, j’ai bien dit le bruit, pour les propos, je clarifie ci-après.

La rue Machin [1] est très étroite à cet endroit près du garage de réparation automobile, et nous, habitants du quartier, avons l’habitude de slalomer pour nous frayer un chemin, surtout en journée la semaine, et franchement, même si des fois c’est limite, cela ne me dérange pas plus que ça, c’est la vie, et puis quelque part, cela fait partie des charmes du quartier, aussi…

Maintenant, si quelqu’un se met à faire des travaux sur la rue, il est tout de suite moins facile de circuler, surtout si la zone de travaux n’est pas déclarée par des panneaux, ou que lesdits panneaux sont placés directement sur la chaussée, rendant alors la circulation pratiquement impossible dans de bonnes conditions, c’est le moins que l’ion puisse dire.

Bon, je ne suis pas du genre à chipoter pour quelques centimètres, ni quelques minutes non plus, mais voyant sept personnes en train de travailler sur le chantier, dont quatre qui ne font rien, fument leurs cigarettes ou papotent ente elles, je me permets alors de les interpeller pour leur demander de déplacer le panneau de quelques centimètres, histoire de faire sauter le bouchon de la rue.

Je ne puis décrire la réponse d’un des personnages inutiles du chantier (comprendre, un de ceux qui papote), car celle-ci sera visuelle, disons que « fait pas ch… » est la première expression qui me vient à l’esprit pour traduire le geste.

Pas content, je réitère ma demande avec un peu plus de vigueur, et sa réponse déclenchera toute la procédure : « biiip sale zoreil… »

En 2014, sur notre Île, il y’a encore des comportements comme celui-ci, et tout cela commence à devenir inacceptable pour les victimes.

Marre de ce silence, de cette paix sociale, qui sous prétexte de ne pas froisser certaines catégories sociales, dénigre le blanc de métropole pour tous les crimes commis par des centaines de générations avant lui, et qui petit à petit à finit par entrer dans le langage commun, c’est vrai quoi, pourquoi s’offusquer quand quelqu’un vous traite de sale zor, ce n’est pas si grave finalement…

Sauf que c’est souvent, très souvent… trop souvent, et le fier Réunionnais que je suis en a un peu marre de se faire insulter par ses frères parce qu’il est français…

C’est quand même un comble non, oser demander à un inactif (accessoirement employé communal en service), de bien vouloir offrir quelques calories à un concitoyen et se voir insulter en retour est une situation tout à fait normale que le sale zor que je suis aussi devrait apparemment accepter et vivre sans réactions, sauf révérence et soumission, peut être… et encore.

Oui ma réaction de ce matin a été virulente, mais quelque part, ce n’était qu’une goûte d’eau, le vase était déjà à ras bord, et ce qui en est sorti n’était que le fruit de cet emmagasinage qui me pourrissait l’esprit depuis tant d’années, fatalement, ça à pété…

Oui j’ai pété un plomb, mais c’est toujours mieux que de les distribuer non ?

Quelque part, ce n’était que justice après toutes ses années à subir ce racisme patent, on ne peut reprocher à quelqu’un de décider d’arrêter de subir des agressions, et il serait temps de s’attaquer aux agresseurs, ou plus simplement, d’essayer de faire évoluer leurs idées.

Ils étaient sept, quatre regardant les trois qui bossaient…

Cette image qui pourrait prêter à sourire, sera pourtant confirmée quelques instants seulement après et par le plus grand des hasards, par une publication sur Internet d’une habitante d’un autre quartier du Tampon, qui photographie à l’appui, s’étonne de voir 10 employés communaux sur un chantier de quelques mètres carrés, coïncidence ?

Non, réalité, qui même prise au énième degré n’en est pas moins constable par les faits pratiquement tous les jours.

Nos impôts… avouez qu’on est un peu en droit de se poser des questions non ?

Et que dire alors lorsque l’on se voit ainsi insulté pour avoir osé demander à un travailleur de faire son travail ?

Ils étaient sept, quatre regardant les trois autres bosser, mais c’est moi le sale zor ?

Quant au concerné, je n’ai pas grand-chose à lui dire, si ce n’est que je suis vraiment désolé pour lui, au moins pour cette vie-là.

Ils étaient sept et six ont baissé les yeux pour regarder par terre, validant par leur lâcheté, le comportement raciste de leur collègue…

Il y’a un véritable danger dans la démocratisation de cette expression et la laisser ainsi gangréner le langage commun jusqu’à pratiquent devenir une réalité n’est pas vraiment la meilleure des voies à suivre et n’augure rien de bon pour l’avenir.

Il ne faut pas laisser certaines expressions accéder au langage commun, ou alors, bien les cadrer, sale zor n’est pas une expression sans conséquence, elle traduit une pensée qui ne souffre d’aucune ambigüité, une pensée obscure, car raciste.

Je ne suis pas un sale zor, je suis Réunionnais, je suis fier de l’être et je dis non à cette expression, elle doit disparaître des habitudes locales pour intégrer la réalité de sa fonction, c’est une insulte raciste, et son usage doit être réprimé, ou tout le moins cadré.

Un Réunionnais,

Notes
[1] : Le nom de cette rue n’a pas d’importance finalement, le but de cet article n’étant pas de faire sanctionner qui que se soit, les concernés se reconnaîtront… ou pas.

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

 

Renoncer pour l’amour de ses enfants…

DSCN0893

Soit pauvre et tait toi… physiquement… ferme là quoi !

Personne en ce monde ne peut imaginer ce que l’on ressent lorsque l’on se noie au milieu d’un fleuve en furie.

Bien en sécurité sur la berge, l’Homme regarde et compatis, ne sachant trop que faire, réfléchissant sur les causes, les raisons, les responsables, il regarde l’autre sombrer…

Mais celui qui se noie lui, à une tout autre vision des choses, il n’est pas vraiment concentré sur les questions relatives aux détails de sa situation, et franchement, il s’en tape royalement le coquillard, il est juste en train de voir la mort à chaque seconde et la seule chose qui lui ferait plaisir en cet instant, c’est juste une main pour l’aider à sortir de cette merde, et promis, après il discutera des causes et autres responsabilités avec qui vous voulez.

Il suffit de quelques secondes pour se noyer, et 18 mois plus tard, j’entends encore la société qui de la barge, me confirme que j’ai droit à de l’aide et qu’elle arrive bientôt…

Sauf que bon, désolé de te décontenancer petite société, mais cela fait belle lurette que mon instinct de survie à réussi à me sortir de cette merde sans aide, j’ai réussi à rejoindre le bord sur lequel j’ai pu, avec bonheur, remettre le pied.

J’ai survécu au pire, je suis vivant et j’ai vraiment faim de vie.

Mes agresseurs se sont fait tirer l’oreille, leurs actes ont été classés, au final, j’en arrive même à me demander si j’ai bien passé un an au milieu du fleuve à essayer de survivre, à lire les conclusions, il ne s’est rien passé… ouche !

La machine, emportée par son élan, que dis-je, embourbée dans son inertie, continue de traiter mon affaire comme si de rien n’était alors que dans les faits, en ne réagissant pas aux nombreuses provocations de l’autre partie, elle ne fait que me conforter dans mon inexistence de justiciable invisible qui de fait à bien du mal aujourd’hui à croire même aux formules de politesse présentes en bas des courriers, à la fin, on en vient à douter de tout, que voulez-vous.

Les enfants dans tout ça ?

Partout je lis des témoignages de parents divorcés ou divorçant, et bien souvent, dans les cas les plus difficiles, il est un des deux parents qui prendra sur lui une bonne partie des concessions de manière à clore l’affaire au plus vite et ne pas déranger les enfants plus longtemps.

J’en suis arrivé à me demander si finalement, je ne devrais pas laisser tomber une liste de requêtes parfaitement légitimes et longue comme le bras, pour que cette affaire se termine et que les enfants sachent une fois pour toutes à quelle sauce leur avenir sera mangé.

Le plus difficile dans ce genre de décisions, c’est que l’argument numéro un est justement celui qui fait défaut à cause de la partie adverse, qui elle en est plus que pourvue et peut même s’en servir pour assurer la négociation à son avantage.

On parle bien entendu d’argent, c’est connu, un père au foyer handicapé chômeur qui se bat pour défendre son honneur et ses enfants, ne peut être qu’un beau fumier de profiteur qui ne cherche qu’à ruiner sa pauvre fonctionnaire de future ex-épouse qui elle n’a eu que le temps de faire évoluer sa carrière pendant que monsieur torchait les mouflets.

Vous pensez bien bien que tous les privilèges qu’elle à gagné grâce au sacrifice de son connard de mari lui sont définitivement acquis sans qu’il puisse prétendre à un quelconque morceau de quoi que se soit voyons.

Pour moi, c’est une ruine financière absolument impossible à remonter tant que les responsables ne seront pas invités à rembourser ce qui a été oublié et le temps passant, cette ruine ne peut que s’aggraver…

Tout laisser tomber, alors que je suis dans l’incapacité de prétendre à quoi que se soit pour assurer l’avenir de mes enfants, c’est avoir le courage de choisir la paix pour mes enfants, quitte à ce qu’ils me détestent le reste de leur vie pour ça…

Grâce à son inertie et son incapacité à agir dans cette affaire, la justice française me fait comprendre que je n’ai pas à discuter, que mon épouse a le droit de me ruiner, de m’endetter, de m’affamer et que les enfants n’ont pas voix au chapitre.

En gros, la justice française se moque totalement des justiciables lorsqu’elle ose dire que les pères ont autant de droits que les mères.

Si j’avais fait le dixième de ce qu’elle a fait, je serais déjà en taule depuis un bon moment.

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Aux armes citoyens, sortez les guillotines !

palestine4everArticle 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793

Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

M. Hollande, comme suite à votre déclaration de soutien envers le gouvernement israélien actuel au sujet de leur nettoyage ethnique en cours dans la bande de Gaza, je me retrouve dans l’obligation de sortir de ma réserve et d’annoncer qu’officiellement, le citoyen français que je suis ne peut moralement continuer à vous soutenir, comme le devrait pourtant tout citoyen envers son président légitimement élu.

En soutenant officiellement un gouvernement considéré comme criminel par une grande majorité des populations de notre planète depuis plus d’un demi siècle [1], vous stigmatisez la France et les Français en donnant l’impression aux autres peuples du monde que nous, citoyens de ce pays, vous soutenons !

Non, M. Hollande, les français ne vous soutiennent pas, ni sur ce coup-là, ni sur bien d’autres, voire sur presque tout ce que vous entreprenez (entendre aussi, ce que vous n’entreprenez pas), ils ne sont pas d’accord avec votre politique en général et encore moins avec cette pathétique campagne de « soutien » envers le gouvernement criminel de Sion

Il n’est pas question que les Palestiniens puissent croire un seul millième de seconde que je suis en accord avec les déclarations du président officiellement élu de mon pays, il est donc urgent de montrer mon total désaccord envers lui.

Moi citoyen français, suis donc dans l’obligation de renier ma patrie de naissance et de cœur tant que mon président continuera à se prostituer devant un gouvernement illégitime et criminel et qu’il ne sera jugé et condamné pour ce crime.

Non, les Français ne soutiennent pas les sionistes, oui, ils soutiennent les Palestiniens et oui, ils se souviendront de vous comme du plus lâche président qu’ils aient jamais eu.

Espérez maintenant que la foule ne réclame son dû, les traîtres seront traités comme ils l’ont toujours été, et il n’y a aucune raison pour que vous échappiez à la sentence qui vous est réservée.

Amis Palestiniens, croyez les peuples du monde, n’écoutez pas leurs gouvernements, la grande majorité des enfants de la Terre que nous sommes, vous soutiennent vous et non vos agresseurs. J’emploie ici le pluriel, car la politique de Sion ne serait jamais devenue ce qu’elle est aujourd’hui sans la collaboration d’autres puissances internationales qui ont depuis trop longtemps apporté leur caution voire leur contribution pour certains, afin d’aider le peuple élu à commettre tous ses crimes, hier comme aujourd’hui et, si on les écoutait, demain….

Sauvons la Palestine, écrivons, parlons, partageons, bloguons, crions, chantons, que le monde entier, et les Palestiniens en premiers sachent combien sont nombreux les gens qui les soutiennent.

Et que le Temple de Sion et leurs alliés, prennent conscience dans le même temps, du nombre grandissant d’enfants de la Terre qui ne les supportent plus.

Aujourd’hui, c’est donc le cœur gros que je décide de brûler ma carte d’identité française.

J’en aurai une nouvelle quand les traîtres auront été jugés et condamnés.

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Notes
[1] : Israël est connu et reconnu pour être « l’état » qui viole le plus de lois internationales depuis près de 70 ans sans pour autant qu’une seule sanction n’ait été appliquée par la communauté internationale. Cette même communauté internationale qui dans le même temps, reconnaissait pourtant les violations en elles-mêmes. D’autres pays ont vu leur sol bombardé pendant des décennies pour bien moins que ça, mais avec l’accord de la (toujours et même) communauté internationale qui bien souvent, préfère baisser sa culotte devant l’envoyé de Sion…

Dur dur d’être un Papalacaz !

wp-media-46Il faut avoir foi en la justice de son pays…

Pour la justice française, utiliser ses connaissances pratiques dans un art de combat pour casser la gueule au mari de sa copine, qui est accessoirement diminué comme suite à un accident de la route, qui est de corpulence et de force inférieure (même en faisant abstraction du handicap), qui n’a pas la moindre connaissance dans un art de combat quelconque (plutôt même au contraire non-violent de conviction), sous les yeux de ses enfants, tout en lui bousillant son matériel de travail (matériel personnel dont la valeur approche celle d’un mois de salaire), un simple rappel à la loi suffit

Le classement n’étant pas sans suite, j’ai encore la possibilité de poursuivre mon agresseur pour dédommagements (ça m’a coûté 2 000 balles quand même), mais je n’ai pas les moyens de payer (encore) un avocat, je reste donc un peu dubitatif, et cela se comprend au demeurant, quant à la valeur réelle de l’adage cité en sous-titre…

Un an et deux mois pour conclure qu’une agression de personne handicapée par personne en bonne santé n’est qu’un banal fait divers qui mérite tout juste son petit rappel à la loi, pas de quoi fouetter un chat me direz vous, et le chat vous répondra qu’en cas de violences sur animal, l’agresseur est immédiatement condamné à de la prison ferme, peine qu’il devra effectuer quelques heures seulement après avoir commis son crime odieux, l’appareil judiciaire et policier français étant alors immédiatement mis en branle, on parle quand même d’un félin.

Pour les humains, c’est pas tout à fait pareil, et 14 mois plus tard, mon agresseur continue de se pavaner avec ma femme dans les boîtes de nuits de la Réunion, n’a subi qu’un petit rappel à la loi, mais la SPA est contente.

Bon, maintenant qu’on s’est fait plaisir avec les bonnes nouvelles, abordons la suite, qui est un poil moins drôle… quoique, au point où j’en suis, seule l’ironie me permet de continuer à avoir encore un semblant d’optimisme dans cette société complètement déconnectée.

Concernant mon ancienne avocate, je sais maintenant, grâce aux aveux directs ou sous-entendus de deux avocats, qu’elle s’est littéralement moquée de moi et n’a absolument pas fait son travail. Scandaleux, dégueulasse, je n’ai pas les mots, elle n’a pas hésité à prendre le pognon d’un chômeur tout en lui faisant croire qu’elle travaillait pour ses intérêts alors qu’elle faisait tout le contraire.

Je suis outré de devoir constater par le fait accompli, qu’une telle profession soit aussi peu surveillée et à quel point ses acteurs sont autoprotégés.

Elle mériterait un procès, mais quel avocat ici bas aurait le courage de défendre un citoyen contre un de ses collègues ?

Résultat, mon divorce est pratiquement plié, et aucun de mes arguments initiaux, abandon du domicile et des enfants par la mère, adultères, l’agression de l’amant, le harcèlement moral et financier, toute ma stratégie en gros, n’est plus recevable.

Elle m’avait dit déposer un référé, jamais fait, oublié,

Intervention des enfants (ou, tout du moins une demande en ce sens), oubliée,

Divorce pour faute, oublié aussi, mais elle déposera quand même une demande de divorce simple à la place… cocasse,

Les nombreuses violations de l’Ordonnance de non-Conciliation dont s’est rendue coupable l’épouse, oubliées, non prise en compte, pas utilisées…

Le lien entre l’agression du mari handicapé par l’amant bien portant, quelques jours après le départ de madame du foyer familial, oublié… encore…

La seule chose qu’elle ait faite (dixit un avocat qui s’est penché sur mon dossier et que je ne citerai pas), c’est de se constituer défenseur dans mon affaire, elle n’a jamais transmis le moindre document à la cour, hormis la requête initiale, qui comme déjà dit, n’était pas la bonne (divorce simple alors qu’on s’était mis d’accord sur un divorce pour faute).

Il en ressort donc, que la seule action concrète dont l’avocate en question puisse s’accaparer la paternité est juste en total désaccord avec ce qu’elle avait mis en place avec son client, le reste n’est que suite logique.

Quand le juge me demande signer l’accord de principe, je le fais sans la moindre réflexion, je suis alors en pleine confiance de mon défenseur, jamais je ne me serais imaginé que ce jour-là, j’allais signer un document qui allait tout simplement mettre toute ma stratégie à la poubelle, le tout en parfaite connaissance de causes et de conséquences de mon avocate.

Je ne sais pas si vous saisissez bien le truc, vous allez voir un avocat, vous lui soumettez une affaire, vous élaborez une stratégie sur ses conseils, vous allez au tribunal, mettez en œuvre la stratégie en question avec la conviction de faire les choses bien puisqu’élaborées sur les conseils d’un professionnel, et vous découvrez bien plus tard et généralement trop tard, que vous avez fait exactement ce qu’il fallait pour faire gagner la partie adverse sans que celle-ci n’ait même à se défendre…

Et en plus, vous avez payé pour ça… ouaouh !

En gros, je suis en train de rédiger un petit texte chapitré résumant le tout. Il sera bientôt publié sur ce site au jour le jour, avec les patronymes complets des intéressés et les copies des documents attestant l’incompétence volontaire de cette avocate de Saint Pierre. Sans oublier ses amis, à commencer par certain président d’association de défense des pères, qui est devenu bien silencieux lorsque je lui ai fait part des errements de l’avocate qu’il m’avait pourtant lui-même conseillée !

Y’a-t-il un juge dans l’tribunal ?

J’ai aujourd’hui soif de réparations, mais surtout d’explications de la part de l’ordre des avocats que je vais contacter à cet effet, cette avocate à littéralement ruinée ma vie en me prenant le peu que j’avais pour le donner à la partie adverse qui venait justement de se servir et qui elle avait donc déjà tout.

Elle ment à un chômeur (le mari) pour lui prendre ce qu’il n’a pas et qui correspond au peu qu’il lui reste après que l’épouse se soit servie, et c’est le fonctionnaire (l’épouse) qui se retrouve avec le tout voire plus, car elle va très certainement obtenir une compensation, elle, prof, de moi, chômeur… bref…

10 ans de ma vie, sacrifiés pour m’occuper de mes deux enfants (et je ne le regrette pas), les nombreuses nuits blanches, les biberons, les couches… pour que madame puisse dormir.

Les balades en poussette et les week-ends tout seul avec les enfants au parc, avec ballons et vélos, pour que madame puisse travailler ses heures sup, génératrices, en plus du complément de salaire (fonctionnaire expatriée, quand même !), d’opportunités d’évolutions de carrières, qui ne manqueront pas d’arriver d’ailleurs.

Les soirées à m’occuper (avec plaisir cela dit) des enfants pour que madame puisse s’adonner à sa passion du tango (qui sera finalement l’élément destructeur de notre couple).

Le tout de Grenoble au Tampon, en passant par Nouméa et Lyon… je n’ai jamais été un frein, toujours là, à suivre et soulager madame.

Aujourd’hui, je suis handicapé, à 20 000 bornes de ma famille, je n’ai plus un rond, je me suis fait casser la gueule par l’amant, sous les yeux de mes enfants qui depuis vivent une semaine sur deux dans la même maison que le type qui a tapé papa en flippant tout le jour. Je ne vais rien obtenir de mon divorce puisque c’est finalement une sorte de divorce par consentement mutuel sans vraiment l’être, je vais très certainement devoir payer les frais de justice de madame (qu’elle a déjà payés en prenant sur le compte commun, mais bref) et ne verrais mes enfants qu’un week-end sur deux. Bien entendu, je serai viré de ma maison, avec mon salaire je trouverai un truc très cher, qui sera trop petit, et madame utilisera cet argument pour me refuser la garde.

Un avenir rose à point, n’est-il pas ?

La justice est un domaine très opaque et les avocats sont censés être là pour nous aider, nous seconder et nous conseiller. De notre côté, nous les citoyens censés ne pas ignorer la loi, nous nous trouvons dans l’obligation de leur accorder une confiance aveugle, car leur domaine nous est absolument inaccessible.

Belles théories…

Ah la la, vous n’imaginez pas la taille des bananiers Réunionnais, et quand bien même vous en seriez capables, multipliez le tout par encore plus et vous serez pas loin de la taille des petites pousses…

Pour la suite, j’hésite entre survivaliste et bonnet rouge, je vais encore réfléchir quelque temps.

Quoique… survivaliste à bonnet rouge, c’est pas mal non plus…

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Les banques se foutent vraiment de la gueule du monde…

wp-media-18Et cela ne semble pas les déranger plus que ça !

Il y’a quelque temps de cela, je commettais ici même un petit billet sur le même sujet, relatant par l’exemple comment ma banque se permettait de me voler mon argent en décalant subrepticement les opérations de crédits et de débits de manière à ce que les débits interviennent juste avant les crédits, provoquant ainsi des « incidents » qui bien entendu sont plus que fortement facturés par la banque.

Bien entendu, j’ai immédiatement pris contact avec mon conseiller pour lui demander de décaler mon prélèvement mensuel de manière à ce que j’aie le temps de faire les virements depuis mon autre compte, et bien entendu, il n’a rien fait et j’ai encore 16 € de « frais de vol » à payer ce mois-ci.

Encore une fois, le petit détail qui tue sur le relevé, c’est l’ordre d’affichage qui ne correspond pas aux dates, comme par hasard, et comme vous pouvez le voir sur l’image ci-après, c’est justement le mouvement de mon virement qui est « mal daté » et qui provoque les frais d’interventions.

releve-banquea-2

 

Ce même mouvement qui est pourtant bien passé le mois d’avant à la bonne date (ce prélèvement et l’assurance associée, sont les deux seules choses qui me font conserver ce compte, sinon, il y’a bien longtemps que je l’aurais vaporisé, avec le banquier qui va avec bien entendu).

Sur mon autre compte, la date correspond bien à l’ordre d’affichage, soit le 7 mars…

releve-banqueb-2

Ma lame de guillotine est bientôt terminée, il ne me manque plus que le support.

J’en ai vraiment ras le bol de ses voleurs à cols blancs, et comme je sais que je ne suis pas le seul, j’en suis aujourd’hui à espérer que ça explose au plus vite, histoire de me faire plaisir sur certaines personnes…

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Avocat menteur, ce serait pas un pléonasme ?

wp-media-31Corruption de compétition

Acte 27, paragraphe 22, verset 18…

Après avoir galèré plusieurs mois pour pouvoir exfiltrer mon dossier de chez mon ex-avocate, je suis maintenant en mesure de confirmer la très très mauvaise gestion de celui-ci par celle-là…

Non seulement il y’a manifestement eu du laissé aller, mais en y regardant de plus près, et grâce à l’aide considérable d’un ami avocat qui à bien voulu jeter un œil dans tous ce fourbi juridique, il en ressort un dossier entaché de mensonges absolument infectes qui non content de me mettre dans une situation extrêmement délicate, démontrent surtout le caractère presque criminel du comportement de mon ex-avocate.

Je n’irai pas par quatre chemins, mon avocate est une menteuse, et je le dis sans détour, une menteuse…

Quand je l’ai rencontré la première fois et que je lui ai proposé mon affaire de divorce, j’ai été très clair sur plusieurs points, trois pour être précis :

  • L’adultère (divorce pour faute),
  • La danse (passion dévastatrice qui est à l’origine de la destruction de ma famille),
  • Audition des enfants.

Dès les premiers jours de notre correspondance par courriel, je lui demanderai par exemple :

  • Puis-je changer les serrures ?
  • Puis-je me désolidariser du compte bancaire commun ?

Par la suite, après la réunion de non conciliation, je constaterai plusieurs infractions à l’ordonnance commise par mon épouse et j’en avertirai mon avocate en presque temps réel :

  • Elle s’introduira à plusieurs reprise à mon domicile en mon absence, vidant les placards (l’ordonnance m’accorde la jouissance exclusive du domicile),
  • Elle va oublier de payer certaines de ses obligations (l’ordonnance lui impose le paiement de certaines sommes),

A ce jour, aucun des faits sus-cités n’à été respecté, ni fait l’objet d’une quelconque réaction de la part de l’avocate, je m’explique (j’ai bien d’autres détails croustillant, mais je m’en tiendrai à ceux-ci pour le moment) :

Premier point concernant la requête initiale et la demande de divorce pour faute, l’ordonnance fait état d’une demande de divorce sans considérations des faits à l’origine de celui-ci… premier mensonge…

Deuxième point, la danse, en absence de divorce pour faute, ce détail disparait de la procédure… deuxième mensonge…

L’audition des enfants, l’ordonnance indique que les enfants ayant été informés par leurs parents de leur droits à être entendus mais n’en ayant pas fait la demande, ils n’ont pas été entendu et ne le seront pas… troisième mensonge…

En possession de l’ordonnance, je me rendrai chez mon avocate pour me faire expliquer ces petits détails que je trouve étrangement peu en rapport avec ma plainte initiale ou ses précédents discours sur le sujet.

Elle me confirmera oralement lors d’un entretiens, que ce ne sont là que des lettres types et que je ne dois pas m’inquiéter, que tout ceci sera débattu lors de la phase contradictoire. Là encore il s’agira d’un énorme mensonge, mais ce n’est que le quatrième…

Concernant notre correspondance électronique, c’est très simple, elle n’a jamais (jamais !) répondu à mes messages, aucune réponse, jamais…

Résultat, mon épouse se pointera à plusieurs reprises à mon domicile car je n’ai pas oser changer les serrures de peur de me mettre en porte à faux avec la loi, un oubli de l’avocate qui va permettre à mon épouse de bien s’amuser.

Concernant la désolidarisation du compte commun, l’oubli de mon avocate se terminera par un découvert et des frais que je devrais assumer alors qu’ils représentent presque le double de ma capacité financière… Mon épouse va oublier de payer certaines de ses obligations, et ce sont mes provisions, à moi qui respecte mes engagements, qui seront absorbées par les oublis de madame… Chômeur, je verrai partir près de trois mois d’indemnités, et devrai en plus rembourser en urgence mes traites (pourtant provisionnées) à un cabinet de recouvrement…

Ces deux oublis me sont extrêmement préjudiciable, si mon avocate m’avait répondu pour les serrures, mon épouse n’aurait jamais pu s’introduire à mon domicile en mon absence, elle n’aurait pas pu vider les placards et ne serait pas partie avec pratiquement tous les documents administratif de la famille.

Si elle m’avait répondu pour la désolidarisation bancaire, je n’aurais pas eu à payer les oublis de mon épouse et je continuerais à jouir des provisions « en avance » que j’avais veillé à toujours verser sur le compte.

Ces deux points constituent à eux deux de multiples infractions à l’ordonnance de non conciliation, pourtant, mon avocate ne fera rien, ne rebondira pas, ne contactera pas la partie adverse, et laissera tranquillement l’eau couler sous les ponts.

Pire, un jour, elle va me promettre (oralement) de déposer un référé pour que mon épouse se fasse tirer les oreilles, mais elle n’en fera rien. Cinquième mensonge…

Aujourd’hui, je suis dans l’obligation de demander une annulation de la procédure en plaidant le manque d’information, mon avocate tenant un discours avec moi et un autre avec la cour, et je ne le découvre malheureusement que maintenant.

Cette demande d’annulation risque d’être refusée, auquel cas, je suis vraiment dégoûté car j’aurais tout perdu en croyant être défendu par un professionnel qui n’était en fait qu’un escroc… aie !

Si elle est acceptée, la partie adverse le prendra pour une déclaration de guerre et la suite de la procédure prendra encore plus de temps, les délais vont s’allonger… déjà que je suis sur la paille, je ne suis pas vraiment sûr de pouvoir tenir le coup, matériellement parlant.

Dans l’état actuel des choses, j’ai payé une avocate pour rien… super !

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Les signes ne mentent jamais…

wp-media-42Et ils étaient nombreux…

La première avocate qui ne fait rien,

La justice qui ne bouge pas alors que la partie adverse commet infraction sur infraction,

Les difficultés pour pouvoir quitter la première avocate,

Les finances qui ne suivent pas,

Le dernier RDV avec le nouvel avocat, pour justement lui payer une partie de ses honoraires, qui est annulé,

L’argent qui reste dans le portefeuille,

Le portefeuille qui est volé…

Je crois que c’est écrit quelque part, ce n’est pas vraiment la peine de continuer et puis avec ce dernier coup du sort, je n’ai vraiment plus le goût à cela.

C’est la vie…

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Maverick partage comme bon lui semble ?

wp-media-28Un carnet d’adresses bien peu étanche…

Stupéfaction hier soir après avoir suivis un lien contenu dans un courriel en provenance de Linkedin m’invitant à valider une demande de contact qui m’avait été envoyée par un ami.

Le connaissant j’ai bien entendu validé la demande, et une fois celle-ci confirmée, j’ai immédiatement été redirigé automatiquement vers une page me proposant des contacts qui pourraient m’intéresser, jusque là rien de bien folichon, et généralement, je ferme la fenêtre sans trop chercher à en savoir plus.

Sauf qu’hier soir, je remarque d’entrée que les contacts proposés me sont pratiquement tous connus.

Partant de là, mon intérêt s’aiguise et je me décide à y jeter un œil de plus près.

Impressionnant, je les connais effectivement presque tous, et si parmi eux j’en remarque certains qui ont un compte Linkedin, je remarque surtout un grand nombre de propositions qui ne sont reconnaissables qu’à leurs adresses courriel affichées en clair.

L’analyse est rapide et très vite je découvre qu’il s’agit en fait de pratiquement tous les contacts de mon carnet d’adresses personnel que je n’ai jamais partagé avec Linkedin. Certains contacts proposés sont en ma possession depuis des années et plusieurs d’entre eux ont changé d’adresse, les adresses affichées ne sont donc plus actives depuis bien longtemps, et jamais leurs propriétaires ne se seraient amusés à ouvrir un compte Linkedin avec des adresses non fonctionnelles…

Je suis un peu courroucé sur le coup, je ne suis pas né de la dernière pluie et je fais extrêmement attention à tous mes comptes sociaux, qui généralement sont très bien configurés pour n’afficher que ce que je veux bien partager et surtout, aucun de mes comptes (aucun !) n’a accès à mon carnet d’adresses personnel.

Alors, comment expliquer que mon carnet d’adresses se retrouve ainsi partagé sur Linkedin sans que j’en aie fait la demande ni même que j’ai à un moment accepté et encore moins validé le partage ?

Mac OS X déciderait-il de lui-même que mes données personnelles méritent d’être partagées ?

Et si oui, de quel droit Apple s’autorise ce genre de décision sans en avertir au préalable l’utilisateur ?

Ou bien, et c’est malheureusement l’explication la plus crédible, ne serait-ce finalement qu’un bug de plus comme il en sors de plus en plus depuis Mac OS X Lion et qui semblent désormais faire partie du quotidien d’Apple ?

J’utilise le matériel Apple depuis mon premier Mac, un Mac + en 1989, et j’ai toujours été très satisfait de mon expérience utilisateur, en grande partie grâce à l’absence de bugs.

Mais voilà, je constate malheureusement une recrudescence des dysfonctionnements en tout genre depuis Lion, et franchement, je regrette vraiment Snow Leopard qui pour moi restera définitivement le dernier vrai système sorti des cartons de Cupertino.

Quant à Mountain Lion et maintenant Maverick, je suis véritablement dégoûté par le nombre impressionnant de bugs, de dysfonctionnements ou tout simplement de nouvelles façons de voir les choses qui font qu’on ne contrôle désormais pratiquement plus rien.

Je ne parlerais pas de cet iCloud qui non content de nous imposer un stockage externe, est très souvent à l’origine de pertes de données significatives que l’on ne peu corriger qu’en le désactivant.

Encore une conséquence de ce nivellement par le bas qui semble aujourd’hui faire partie de notre vie, tous secteurs confondus…

Triste, vraiment très triste 🙁

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Heures sombres, le retour…

Face à faceLa délation en France aujourd’hui ?

En des temps reculés, mais non point si éloignés que ça quand même, notre pays fut le théâtre de guerres meurtrières, qui comme chacun sait, on fait de trop nombreuses victimes parmi les citoyens de notre nation.

Sous l’occupation, certains citoyens français, si l’on peut les appeler des citoyens tant leurs actions furent particulièrement détestables, s’adonnèrent à une pratique nauséeuse qui consistait à vendre (gratuitement en plus) certaines informations concernant d’autres citoyens, sous le fallacieux prétexte qu’ils représentaient des ennemis de l’occupant.

Ma grand-mère, qui adorait les adages, me disait pourtant que l’ennemi de mon ennemi est mon ami, mais pour ces sous-citoyens, l’occupant étant devenu leur ami, ils en fut tout autre, et ce fut avec un certain plaisir qu’ils n’hésitèrent point à forniquer avec le diable pour, j’imagine, le petit plaisir personnel.

Leur jeu favori était de dénoncer le « Juif » ou le résistant, sachant pourtant parfaitement quels sorts leur seraient réservés, ils n’en donnèrent pas moins le cœur à l’ouvrage, y mettant toute leur énergie pour satisfaire, et leur ego et l’occupant qui n’en demandait pas tant, mais qui en appréciait quand même les résultats.

Je ne vais pas m’appesantir sur les ravages causés par ces praticiens de l’immonde, l’histoire et les Français ont suffisamment de retours aujourd’hui pour savoir que c’était juste des sous merdes et que cette partie est plus à reléguer aux oubliettes qu’autre chose.

Les Français aujourd’hui n’ont pas oublié ces collabos, ces balances ou bien encore ces raclures de dénonciateurs, et c’est souvent avec mépris qu’ils en parlent, le geste n’est jamais passé, ne passe toujours pas et ne passeras jamais.

Imaginons pourtant que je m’amuse aujourd’hui à publier sur mon site Internet, et ce régulièrement, des informations nominatives concernant certains de mes concitoyens, leurs patronymes, leurs adresses postales, et même pourquoi pas, le nom de leur employeur, les prénoms de leurs enfants ou bien encore carrément, les noms des écoles qu’ils fréquentent.

Bien entendu, pour justifier mon immonde travaille de collabo, je me reposerais sur des accusations absolument abjectes, non fondées et non prouvées, comme l’antisémitisme par exemple, qui est aujourd’hui l’excuse la plus facile à mettre en œuvre et qui ne demande aucune justification, si ce n’est qu’il suffit de dire que vous avez été contredit par quelqu’un qui n’était pas d’accord avec vous.

Il ne se passerait pas deux heures après la publication de mon premier message pour que je sois fort probablement victime d’un accident ou que je sois assigné en justice pour diffamation, ce qui, il faut bien en convenir est tout à fait normal.

Mais voilà, il y’a en ce moment même en France, une communauté dite organisée, reconnue dans d’autres pays comme les États-Unis comme étant une association terroriste, protégée par le ministère de l’Intérieur et logée par nos impôts, qui elle peut tout à fait se livrer à ce genre de pratiques calomnieuses sans que cela n’émeuve un seul instant nos instances dirigeantes. [1]

Pire, non seulement elle peut se livrer à son sport favori, qui consiste à livrer au public toutes les informations qu’elle souhaite sur n’importe qui, mais en plus elle le fait avec l’aval de notre gouvernement, sous prétexte que leur argument-choc, l’antisémitisme, est devenu à les croire l’argument preuve que la personne dénoncée est par avance coupable et qu’elle mérite le lynchage sans procès.

Aujourd’hui en France, on trouve donc sur un site dont je tairai le nom pour ne pas lui faire de pub, des publications invitant les lecteurs à aller « casser » du quenelleur en fournissant toutes les informations nécessaires, du patronyme à l’adresse postale. [2]

Il y’a quelques mois, les Français ont pu assister à un magistral spectacle organisé par le ministre de l’Intérieur, financé par son incompétence et nos deniers et bien entendu relayé par la presse, qui comme à son habitude, se mit aux ordres sans discuter, publiant les messages de propagande de notre illuminé de la place Beauvau, le doigt sur la couture du pantalon, qui pourtant semblait bien baissé sur le coup.

Ah qu’elle fut belle cette affaire de la quenelle, et qu’il est beau notre Dieudonné favori, bouffon adoré et adulé par son vrai public, qui comme lui était, et est toujours grand amateur de ce geste potache et émancipateur.

C’était sans compter sur la ci-avant citée communauté terroriste organisée, qui, peu ravie de constater le succès de cette émancipation gestuelle, ne put s’empêcher de ressortir se vielles sorcières afin de pouvoir partit à leur chasse avec toute l’armada qu’on leur connaît, à commencer par un gouvernement obéissant et le sempiternel vocable accusateur d’antisémite, suffisant à lui seul à faire condamner toute personne qui aurait l’outrecuidance de ne pas boire son fiel vomitif et meurtrier.

Les appels, les contres appels, les menaces et les vociférations de notre manolo national, rien n’y fera, l’émancipation avait pris son élan, la quenelle était devenue incontrôlable, elle avait quitté le giron de son géniteur pour être appropriée par le peuple qui trouvait en elle un moyen facile et pas cher de dire ce qu’il pensait à ce gouvernement qui avait encore et encore démontré son mépris envers ceux qui pourtant attendaient tant de lui.

C’est là que la communauté à sorti de son chapeau la définition qui allait faire se retourner dans leur tombe tous les Larousse et tous les Robert du monde : la quenelle est un salut nazi inversé, et par sa définition, mérite que tout soit fait pour que leurs auteurs soient irrémédiablement mis au ban de la société et ce quelques soient les moyens utilisés. Quand la communauté exige, tout est autorisé, le gouvernement se couche et les machines judiciaires, politiques, policières et même militaires se mettent en branle pour aller dénicher le quenelleur lycéen, et tant pis si ça lui fait rater son bac… [3]

Dénichons le simple travailleur, et tant pis si ça lui fait perdre son travail… le pompier, et tant pis pour se carrière, le flic, le militaire, le blanc, le noir, la mère de famille… et tant pis si cela détruit leurs vies, la quenelle est devenue le crime du siècle, leurs auteurs doivent être abattus à vue, et tant pis, là aussi, pour les dommages collatéraux, quand même, merde !

C’est dans ce combat nauséabond que le courageux contributeur du site Internet va œuvrer, non seulement en publiant des informations personnelles et privées sur des quenelleurs qui auraient été reconnus sur des photos publiées sur des réseaux sociaux, mais en plus, en accompagnant ses publications de messages incitant ses lecteurs à retrouver et lyncher les personnes dénoncées. [4]

Bien entendu, on reconnaît bien là le courage mondialement reconnu de ce membre vénéré de la communauté en question qui demande à d’autres de se charger du sale boulot, lui se contentant juste de dénoncer, tranquillement assis derrière son clavier et prêt à prendre l’avion pour son pays d’origine au cas où cela dégénérerait. Ce qui ne manquera pas de se produire, lorsqu’il remarquera que la chose est en train de prendre une tournure qui pourrait se retourner contre lui, qui de par son site est malheureusement connu, et sur ce point, il ne peu s’en prendre qu’à lui même, contrairement à toutes ses victimes, lui n’a pas été dénoncé, au contraire, il signe tous ses articles de son vrai nom. [5]

Ce n’est pas une fiction, c’est en ce moment même en France, et l’origine de cette vague de dénonciation est carrément signée et assumée par la communauté juive de France… glup’s, LICRA, CRIF, LDJ et le fameux site de collabos, tous affichent en grand leur appartenance à cette communauté qui fait le bonheur et l’adhésion de notre ministre de l’intérieur, en gros, cette même communauté qui fut pourtant la principale victime des dénonciations calomnieuses dont je parlais en début d’article et qui furent monnaie courante pendant la Deuxième Guerre mondiale.

Comment une communauté qui à tant souffert du comportement abject de quelques citoyens pendant la guerre, peut elle aujourd’hui user des mêmes méthodes pou lutter contre un ennemi inexistant et le faire lyncher ? [6]

Il est bon à ce moment de rappeler que les associations citées ci-avant, ne sont en rien représentatives de la communauté dont ils affichent pourtant fièrement le nom, je connais bien des pratiquants de ce culte qui ne se reconnaissent absolument pas dans ces groupuscules qui ne sont appréciés par personne, à commencer par les membres de la communauté dont ils se disent pourtant être les représentants.

Attention aux amalgames, la quenelle n’est pas un geste anti Juif, ni même antisémite, c’est juste un geste anti système, un geste d’émancipation qui froisse juste une toute petite partie d’une toute petite partie d’une frange de la population mondiale, une partie que s’affiche comme représentant les Juifs, mais qui en fait n’est que l’officine du mouvement sioniste et qui n’est en rien reconnue ou appréciée par les vrais Juifs de confession, qui eux prônent plutôt le respect et la tolérance.

Et puis, être antisémite cela veut dire quelque chose de précis et cela s’applique à une région très précise de la planète, alors que les initiateurs et les agitateurs de ces histoires sont eux localisés à une région beaucoup plus petite dans laquelle on ne retrouve que quelques rares représentants de la zone qui les hébergent. [7]

Suis-je anti Européen parce que j’ai eu maille à partir avec mon voisin qui est un habitant de l’Europe, ou suis-je juste un anti voisin ?

L’amalgame est facile et il est très important pour toute personne possédant un esprit critique actif de bien se poser les bonnes questions, les problèmes actuels ne viennent pas des Juifs (jamais ils n’auraient la très mauvaise idée d’utiliser la délation pour servir leurs intérêts sachant toute la douleur que cela représente pour eux, contrairement aux sionistes qui utilisent absolument toutes les ficelles possibles et inimaginables sans se soucier des incohérences ni des dégâts causés, bien au contraire, plus il y’a aura de dégâts et mieux ce sera pour eux), mais des sionistes qui sont reconnus même en Israël pour être des terroristes, ils ne bénéficient de la caution de personne, ils ont juste du pouvoir et de l’argent. Les sionistes sont un mal partout où ils posent les pieds, ne savent faire que la guerre, ne respectent personne, et ne tolèrent absolument rien qui ne soit pas de leur fait. Ce sont les plus gros parasites de notre planète, et contrairement à ce qu’ils essayent de faire croire à tous le monde, ils ne sont qu’un tout petit nombre et n’ont le soutient de personne, tout ce qui les composent n’est qu’une vitrine avec derrière un vide sidéral, et le jour où les citoyens du monde s’en apercevront, je ne donne pas cher de leur survie.

Non les Juifs ne sont pas des collabos, par contre les sionistes… avouez que la question mérite d’être posée non ?

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa

Notes

[1] : La LDJ, ou Ligue de Défense Juive, ou Ligue des Danseuses Juives, est interdite d’exercice et a été démantelée en Israël et aux États-Unis, car reconnue comme étant une organisation terroriste.

[2] : Le nom de ce site s’écrit en trois lettres, la première est un J et les deux suivantes sont les deux lettres qui à l’époque de cette funeste et dernière grande guerre, désignait pourtant l’ennemi, le tout est suivi par le vocable fort mal placé de « news », je vous laisse découvrir le suffixe du domaine ça ne devrait pas être difficile.

[3] : Fantabuleuse contradiction des accusateurs immaculés de la bien pensense sioniste, si le signe est inversé, c’est qu’il veut dire l’inverse de ce qu’est censé représenter l’original, c’est donc un salut antinazi par définition. On remarquera d’ailleurs un succulent rétropédalage de l’accusateur principal, lui même à l’origine de la cabale anti Dieudonné, qui expliquera plus tard que ce geste n’est antisémite que s’il est pratiqué devant un bâtiment religieux ou un mémorial de la Shoah. La encore on pourrait lui rétorquer qu’une synagogue n’est pas sémite, ni même la Shoah, mais comme il n’en est pas à une contradiction près, on va le laisser s’enliser tranquillement dans ses croyances…

[4] : Là aussi, le travail de destruction sera fait en totale adéquation avec les idées de son auteur, sans vérifications, sans chercher à comprendre quoi que se soit et en se foutant cordialement des dommages collatéraux ou des éventuelles erreurs d’appréciations. Il s’en suivra la dénonciation complètement ridicule et fausse d’un journaliste qui fut un jour surpris de découvrir un article le nommant lui est son employeur (qui n’était autre que lui même, bonjour le sérieux du travail effectué) comme étant un antisémite quenelleur méritant d’être lynché sur la place publique. Bon joueur, celui-ci ne fera que relever le manque de sérieux de la méthode, mais ne portera pas plainte pour dénonciation calomnieuse.

[5] : Une des marques de fabrique de la milice qui agit au nom des délateurs est d’agir à visage couvert, si possible en surnombre et de fuir très vite quand les forces en présence se défendent avec un peu trop de vigueur à leur goût.

[6] : Il faut bien comprendre que pour les sionistes, le simple fait d’être en désaccord avec leurs idées fait de vous un antisémite et le soutien pathétique que leur accordent bon nombre de gouvernement et d’institutions leurs donnent le pouvoir de déclarer qui ils veulent comme étant un ennemi à abattre par tous les moyens, même si le crime ou le délit n’existe que dans leurs petits esprits étriqués.

[7] : La zone géographique occupée par les Sémites est plutôt vaste, sur la carte liée, la zone occupée par les sionistes ne représente que quelques pixels… qu’on se le dise, il existe donc une vraie différence entre être antisémite et antisioniste.

Les banques se gavent…

wp-media-40Et elles nous gavent !

Les banques se foutent vraiment de nous et le font sans le moindre scrupule, il faut dire qu’avec les protections offertes par nos gouvernements, elles auraient bien tort de ne pas en profiter.

Ce sont les championnes des frais en tout genre, quand il n’y en a pas, elles en inventent et si malgré tout vous arrivez à éviter le pire, elles trouveront toujours un moyen de vous en faire payer quand même.

Chronologie des faits :

Virement depuis le compte A le 6 janvier pour provisionner le compte B en prévision d’un prélèvement automatique mensuel ayant lieu généralement le 7 du mois.

La banque A le validera le 7…

Bien entendu il sera crédité par la banque B seulement le 8 et bien entendu aussi, le prélèvement sera refusé.

Le 10, la banque B facture deux fois des frais de commission d’intervention de 8 €…

Amusant n’est-il pas ?

Regardons les relevés (copies d’écran des comptes bancaires en ligne) :

La banque A fait bien état d’un virement effectué le 7 est la date de validité est bien le 7… aussi…
releve-banquea

La banque B quant à elle, nous fait une pirouette à la Jean-Richard de la grande époque, c’est carrément épique, il faut bien regarder le tableau…
releve-banqueb
Remarquez la logique dans l’ordre affiché, on commence de haut en bas par le 11, puis le 10, puis… le 7 pour terminer au 8…, bien sûr et comme par hasard, c’est la bonne ligne qui est mal datée, grrr !

Vu de mon logiciel de compta cela donne :
releve-logiciel-compta
Sur cette capture on voit que le découvert est bien provoqué par les deux prélèvements concernant les fameuses commissions d’intervention, sans elles, je passe, grâce à elles, je suis quitte de payer 16 €… pour rien !

Bon, c’est une interprétation comme une autre, et je suis bien conscient que les banques ont de très bons arguments pour expliquer ces petites subtilités, je n’en crois pas un mot bien entendu, tout le monde sait que les banques font ce qu’elles veulent…

Je pose alors cette petite question à ma banque A pour qu’elle m’explique pourquoi tous mes paiements par carte bancaire sont datés de la veille (colonne valeur), tickets de caisses à l’appui ?

Ce petit exemple ne souffre d’aucune ambiguïté quant à son aspect « je me fous de votre gueule en toute impunité et je vous emmerde ».

Quand ça les arrange, elles calculent la veille, sinon, quand ça les arrange, elles calculent au lendemain…

Franchement mes très chères banques, vous croyez vraiment pouvoir échapper à la guillotine là ?

-- 
(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa