La délation en France aujourd’hui ?
En des temps reculés, mais non point si éloignés que ça quand même, notre pays fut le théâtre de guerres meurtrières, qui comme chacun sait, on fait de trop nombreuses victimes parmi les citoyens de notre nation.
Sous l’occupation, certains citoyens français, si l’on peut les appeler des citoyens tant leurs actions furent particulièrement détestables, s’adonnèrent à une pratique nauséeuse qui consistait à vendre (gratuitement en plus) certaines informations concernant d’autres citoyens, sous le fallacieux prétexte qu’ils représentaient des ennemis de l’occupant.
Ma grand-mère, qui adorait les adages, me disait pourtant que l’ennemi de mon ennemi est mon ami, mais pour ces sous-citoyens, l’occupant étant devenu leur ami, ils en fut tout autre, et ce fut avec un certain plaisir qu’ils n’hésitèrent point à forniquer avec le diable pour, j’imagine, le petit plaisir personnel.
Leur jeu favori était de dénoncer le « Juif » ou le résistant, sachant pourtant parfaitement quels sorts leur seraient réservés, ils n’en donnèrent pas moins le cœur à l’ouvrage, y mettant toute leur énergie pour satisfaire, et leur ego et l’occupant qui n’en demandait pas tant, mais qui en appréciait quand même les résultats.
Je ne vais pas m’appesantir sur les ravages causés par ces praticiens de l’immonde, l’histoire et les Français ont suffisamment de retours aujourd’hui pour savoir que c’était juste des sous merdes et que cette partie est plus à reléguer aux oubliettes qu’autre chose.
Les Français aujourd’hui n’ont pas oublié ces collabos, ces balances ou bien encore ces raclures de dénonciateurs, et c’est souvent avec mépris qu’ils en parlent, le geste n’est jamais passé, ne passe toujours pas et ne passeras jamais.
Imaginons pourtant que je m’amuse aujourd’hui à publier sur mon site Internet, et ce régulièrement, des informations nominatives concernant certains de mes concitoyens, leurs patronymes, leurs adresses postales, et même pourquoi pas, le nom de leur employeur, les prénoms de leurs enfants ou bien encore carrément, les noms des écoles qu’ils fréquentent.
Bien entendu, pour justifier mon immonde travaille de collabo, je me reposerais sur des accusations absolument abjectes, non fondées et non prouvées, comme l’antisémitisme par exemple, qui est aujourd’hui l’excuse la plus facile à mettre en œuvre et qui ne demande aucune justification, si ce n’est qu’il suffit de dire que vous avez été contredit par quelqu’un qui n’était pas d’accord avec vous.
Il ne se passerait pas deux heures après la publication de mon premier message pour que je sois fort probablement victime d’un accident ou que je sois assigné en justice pour diffamation, ce qui, il faut bien en convenir est tout à fait normal.
Mais voilà, il y’a en ce moment même en France, une communauté dite organisée, reconnue dans d’autres pays comme les États-Unis comme étant une association terroriste, protégée par le ministère de l’Intérieur et logée par nos impôts, qui elle peut tout à fait se livrer à ce genre de pratiques calomnieuses sans que cela n’émeuve un seul instant nos instances dirigeantes. [1]
Pire, non seulement elle peut se livrer à son sport favori, qui consiste à livrer au public toutes les informations qu’elle souhaite sur n’importe qui, mais en plus elle le fait avec l’aval de notre gouvernement, sous prétexte que leur argument-choc, l’antisémitisme, est devenu à les croire l’argument preuve que la personne dénoncée est par avance coupable et qu’elle mérite le lynchage sans procès.
Aujourd’hui en France, on trouve donc sur un site dont je tairai le nom pour ne pas lui faire de pub, des publications invitant les lecteurs à aller « casser » du quenelleur en fournissant toutes les informations nécessaires, du patronyme à l’adresse postale. [2]
Il y’a quelques mois, les Français ont pu assister à un magistral spectacle organisé par le ministre de l’Intérieur, financé par son incompétence et nos deniers et bien entendu relayé par la presse, qui comme à son habitude, se mit aux ordres sans discuter, publiant les messages de propagande de notre illuminé de la place Beauvau, le doigt sur la couture du pantalon, qui pourtant semblait bien baissé sur le coup.
Ah qu’elle fut belle cette affaire de la quenelle, et qu’il est beau notre Dieudonné favori, bouffon adoré et adulé par son vrai public, qui comme lui était, et est toujours grand amateur de ce geste potache et émancipateur.
C’était sans compter sur la ci-avant citée communauté terroriste organisée, qui, peu ravie de constater le succès de cette émancipation gestuelle, ne put s’empêcher de ressortir se vielles sorcières afin de pouvoir partit à leur chasse avec toute l’armada qu’on leur connaît, à commencer par un gouvernement obéissant et le sempiternel vocable accusateur d’antisémite, suffisant à lui seul à faire condamner toute personne qui aurait l’outrecuidance de ne pas boire son fiel vomitif et meurtrier.
Les appels, les contres appels, les menaces et les vociférations de notre manolo national, rien n’y fera, l’émancipation avait pris son élan, la quenelle était devenue incontrôlable, elle avait quitté le giron de son géniteur pour être appropriée par le peuple qui trouvait en elle un moyen facile et pas cher de dire ce qu’il pensait à ce gouvernement qui avait encore et encore démontré son mépris envers ceux qui pourtant attendaient tant de lui.
C’est là que la communauté à sorti de son chapeau la définition qui allait faire se retourner dans leur tombe tous les Larousse et tous les Robert du monde : la quenelle est un salut nazi inversé, et par sa définition, mérite que tout soit fait pour que leurs auteurs soient irrémédiablement mis au ban de la société et ce quelques soient les moyens utilisés. Quand la communauté exige, tout est autorisé, le gouvernement se couche et les machines judiciaires, politiques, policières et même militaires se mettent en branle pour aller dénicher le quenelleur lycéen, et tant pis si ça lui fait rater son bac… [3]
Dénichons le simple travailleur, et tant pis si ça lui fait perdre son travail… le pompier, et tant pis pour se carrière, le flic, le militaire, le blanc, le noir, la mère de famille… et tant pis si cela détruit leurs vies, la quenelle est devenue le crime du siècle, leurs auteurs doivent être abattus à vue, et tant pis, là aussi, pour les dommages collatéraux, quand même, merde !
C’est dans ce combat nauséabond que le courageux contributeur du site Internet va œuvrer, non seulement en publiant des informations personnelles et privées sur des quenelleurs qui auraient été reconnus sur des photos publiées sur des réseaux sociaux, mais en plus, en accompagnant ses publications de messages incitant ses lecteurs à retrouver et lyncher les personnes dénoncées. [4]
Bien entendu, on reconnaît bien là le courage mondialement reconnu de ce membre vénéré de la communauté en question qui demande à d’autres de se charger du sale boulot, lui se contentant juste de dénoncer, tranquillement assis derrière son clavier et prêt à prendre l’avion pour son pays d’origine au cas où cela dégénérerait. Ce qui ne manquera pas de se produire, lorsqu’il remarquera que la chose est en train de prendre une tournure qui pourrait se retourner contre lui, qui de par son site est malheureusement connu, et sur ce point, il ne peu s’en prendre qu’à lui même, contrairement à toutes ses victimes, lui n’a pas été dénoncé, au contraire, il signe tous ses articles de son vrai nom. [5]
Ce n’est pas une fiction, c’est en ce moment même en France, et l’origine de cette vague de dénonciation est carrément signée et assumée par la communauté juive de France… glup’s, LICRA, CRIF, LDJ et le fameux site de collabos, tous affichent en grand leur appartenance à cette communauté qui fait le bonheur et l’adhésion de notre ministre de l’intérieur, en gros, cette même communauté qui fut pourtant la principale victime des dénonciations calomnieuses dont je parlais en début d’article et qui furent monnaie courante pendant la Deuxième Guerre mondiale.
Comment une communauté qui à tant souffert du comportement abject de quelques citoyens pendant la guerre, peut elle aujourd’hui user des mêmes méthodes pou lutter contre un ennemi inexistant et le faire lyncher ? [6]
Il est bon à ce moment de rappeler que les associations citées ci-avant, ne sont en rien représentatives de la communauté dont ils affichent pourtant fièrement le nom, je connais bien des pratiquants de ce culte qui ne se reconnaissent absolument pas dans ces groupuscules qui ne sont appréciés par personne, à commencer par les membres de la communauté dont ils se disent pourtant être les représentants.
Attention aux amalgames, la quenelle n’est pas un geste anti Juif, ni même antisémite, c’est juste un geste anti système, un geste d’émancipation qui froisse juste une toute petite partie d’une toute petite partie d’une frange de la population mondiale, une partie que s’affiche comme représentant les Juifs, mais qui en fait n’est que l’officine du mouvement sioniste et qui n’est en rien reconnue ou appréciée par les vrais Juifs de confession, qui eux prônent plutôt le respect et la tolérance.
Et puis, être antisémite cela veut dire quelque chose de précis et cela s’applique à une région très précise de la planète, alors que les initiateurs et les agitateurs de ces histoires sont eux localisés à une région beaucoup plus petite dans laquelle on ne retrouve que quelques rares représentants de la zone qui les hébergent. [7]
Suis-je anti Européen parce que j’ai eu maille à partir avec mon voisin qui est un habitant de l’Europe, ou suis-je juste un anti voisin ?
L’amalgame est facile et il est très important pour toute personne possédant un esprit critique actif de bien se poser les bonnes questions, les problèmes actuels ne viennent pas des Juifs (jamais ils n’auraient la très mauvaise idée d’utiliser la délation pour servir leurs intérêts sachant toute la douleur que cela représente pour eux, contrairement aux sionistes qui utilisent absolument toutes les ficelles possibles et inimaginables sans se soucier des incohérences ni des dégâts causés, bien au contraire, plus il y’a aura de dégâts et mieux ce sera pour eux), mais des sionistes qui sont reconnus même en Israël pour être des terroristes, ils ne bénéficient de la caution de personne, ils ont juste du pouvoir et de l’argent. Les sionistes sont un mal partout où ils posent les pieds, ne savent faire que la guerre, ne respectent personne, et ne tolèrent absolument rien qui ne soit pas de leur fait. Ce sont les plus gros parasites de notre planète, et contrairement à ce qu’ils essayent de faire croire à tous le monde, ils ne sont qu’un tout petit nombre et n’ont le soutient de personne, tout ce qui les composent n’est qu’une vitrine avec derrière un vide sidéral, et le jour où les citoyens du monde s’en apercevront, je ne donne pas cher de leur survie.
Non les Juifs ne sont pas des collabos, par contre les sionistes… avouez que la question mérite d’être posée non ?
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(\_ _/)
(='.'=)
(")_(") Maître Maa
Notes
[1] : La LDJ, ou Ligue de Défense Juive, ou Ligue des Danseuses Juives, est interdite d’exercice et a été démantelée en Israël et aux États-Unis, car reconnue comme étant une organisation terroriste.
[2] : Le nom de ce site s’écrit en trois lettres, la première est un J et les deux suivantes sont les deux lettres qui à l’époque de cette funeste et dernière grande guerre, désignait pourtant l’ennemi, le tout est suivi par le vocable fort mal placé de « news », je vous laisse découvrir le suffixe du domaine ça ne devrait pas être difficile.
[3] : Fantabuleuse contradiction des accusateurs immaculés de la bien pensense sioniste, si le signe est inversé, c’est qu’il veut dire l’inverse de ce qu’est censé représenter l’original, c’est donc un salut antinazi par définition. On remarquera d’ailleurs un succulent rétropédalage de l’accusateur principal, lui même à l’origine de la cabale anti Dieudonné, qui expliquera plus tard que ce geste n’est antisémite que s’il est pratiqué devant un bâtiment religieux ou un mémorial de la Shoah. La encore on pourrait lui rétorquer qu’une synagogue n’est pas sémite, ni même la Shoah, mais comme il n’en est pas à une contradiction près, on va le laisser s’enliser tranquillement dans ses croyances…
[4] : Là aussi, le travail de destruction sera fait en totale adéquation avec les idées de son auteur, sans vérifications, sans chercher à comprendre quoi que se soit et en se foutant cordialement des dommages collatéraux ou des éventuelles erreurs d’appréciations. Il s’en suivra la dénonciation complètement ridicule et fausse d’un journaliste qui fut un jour surpris de découvrir un article le nommant lui est son employeur (qui n’était autre que lui même, bonjour le sérieux du travail effectué) comme étant un antisémite quenelleur méritant d’être lynché sur la place publique. Bon joueur, celui-ci ne fera que relever le manque de sérieux de la méthode, mais ne portera pas plainte pour dénonciation calomnieuse.
[5] : Une des marques de fabrique de la milice qui agit au nom des délateurs est d’agir à visage couvert, si possible en surnombre et de fuir très vite quand les forces en présence se défendent avec un peu trop de vigueur à leur goût.
[6] : Il faut bien comprendre que pour les sionistes, le simple fait d’être en désaccord avec leurs idées fait de vous un antisémite et le soutien pathétique que leur accordent bon nombre de gouvernement et d’institutions leurs donnent le pouvoir de déclarer qui ils veulent comme étant un ennemi à abattre par tous les moyens, même si le crime ou le délit n’existe que dans leurs petits esprits étriqués.
[7] : La zone géographique occupée par les Sémites est plutôt vaste, sur la carte liée, la zone occupée par les sionistes ne représente que quelques pixels… qu’on se le dise, il existe donc une vraie différence entre être antisémite et antisioniste.